Unex-gardien de camp de concentration âgé de 100 ans comparaît à partir de ce jeudi 7 octobre devant un tribunal allemand, devenant le plus vieil accusé de crimes nazis jamais jugé dans le pays. Josef S., ancien caporal-chef de la division « Totenkopf » (Tête de mort) des Waffen-SS, est poursuivi pour « complicité de meurtres » de
COMMUNAUTE GERMANIQUE x191 Communauté germanique - Germanische Gemeinschaft Par le SS-Ostubaf Franz Riedweg. Ed. de L'Homme Libre. 148 pages illustrées, photos n&b. Album relié, cousu, format 21 x 29,5 cm, papier couché semi-mat 135 grammes. Edition limitée à 500 exemplaire. Réf 121628 Edition en français-allemand de deux brochures publiées pendant la guerre pour la promotion des volontaires non allemand dans la Waffen-SS et consacrée plus spécialement à la Division Wiking. Au moment historique où la faillite de l'idée européenne libérale devient un fait que l'on ne peut plus contester, la réédition en un volume des deux ouvrages publiés sous la direction du SS-Obersturmbannführer Franz Riedweg pendant la guerre est un hommage à ces précurseurs de l’idée européenne que furent les Waffen-SS, qui eut pour source la nécessité de défendre le continent européen contre la menace bolchevique. L'alliance des ploutocraties occidentales et de la Russie stalinienne rendait nécessaire celle de toutes les authentiques forces européennes. Quelques rares esprits lucides l'ont compris très tôt, avant même le tournant de la guerre, la défaite de Stalingrad, à partir de laquelle il devenait évident que l'Allemagne seule ne pouvait plus vaincre. L'extension du recrutement de la Waffen-SS a été une réponse trop tardive et trop pragmatique pour pouvoir être efficace et permettre la conscience vive d'un héritage commun à défendre. Le Suisse Franz Riedweg en fut l'un le grand pionnier et il fit tout ce qu'il put pour insuffler à la Waffen-SS cet esprit européen qui devait préserver les peuples d'Europe. L'héritage résidait pour Franz Riedweg dans la germanité, une unité de chair et de sang, plus que dans le germanisme, qui était encore trop l'expression politique du vieil Etat-Nation prussien. Les cahiers dont il dirigeait la rédaction devaient former la conscience politique, dans le noble sens du terme, évocateur des intérêts supérieurs des peuples, des soldats de race germanique, les nouveaux gardiens du Saint Empire romain germanique et de la liberté de ses peuples, pour qu'ils dressent un rempart contre la barbarie soviétique. Il concevait la défense de l'Europe comme une geste chevaleresque. La poésie de sa conception européenne transparaît magnifiquement dans les volumes rassemblés, où l'image est reine et où le texte fait plus figure d'illustration. Franz Riedweg avait une haute intelligence de la beauté comme instrument de la conscience politique. Il faut saluer la splendide collaboration d’Erna Lendvai Dircksen, qui a su faire de la photographie le nouveau genre artistique pour exprimer l'âme de la race dans les visages d'un peuple, qui dépassait les Gau de l'Allemagne pour resplendir sur les terres norvégiennes, danoises, hollandaises et flamandes. Franz Riedweg a eu au plus haut point l'intuition de la prégnance du sang dans l'identité européenne. Il faut se laisser guider par les instants paysans, artisans ou guerriers, les paysages, les vestiges de l'histoire... ISBN 9782368960295
Laffiche nazie, mesurant 83/59,4 cm, fut éditée aux environs de 1939. Elle fut créée par Hein Neuner pour le parti nazi. « Jugend dient dem führer » veut dire « la jeunesse sert le führer » et « alle zehnjahaigen in die hj » signifie « engagez-vous dans les jeunesses hitlérienne ». Sur cette affiche est représenté un jeune Source MDP - 24/04/2017 1843- PAR VILMAUVE L'ADN idéologique du FN est une composante qu'il sera toujours impossible à effacer. Léon Gaultier, ancien SS, co-fondateur du Front National Léon Gaultier, ancien SS, co-fondateur du Front National © Jack BrteLéon Gaultier fut secrétaire général à l'Information du gouvernement du maréchal Pétain -, chroniqueur à " Radio Vichy ", et fut l'un des fondateurs de la Milice française. Il combattit sous l'uniforme allemand de la Waffen-SS avec le grade de Untersturmführer, il commanda une unité française sur le Front de l'Est durant l'été 1944. En 1972, il compte parmi les membres fondateurs du conseil national du Front cofonde avec Jean-Marie Le Pen la maison d'éditions SERP Société d'études et de relations publiques. Sur un album de La Serp, nous trouvons des discours de Joseph Goebbels ou Pierre Laval, célèbre collabo du régime de Vichy. Aussi, certains disques de chants nazis sont contrebalancés par des chants militaires "historiques" de l'armée allemande, mais aussiUn quadruple album délicatement intitulé Le IIIè Reich – qui sera suivi de trois albums autour du même thème;Un album intitulé Adolf Hitler – discours d'un dictateur;Trois albums nommés Les Waffen SS;Un triple album autour des jeunesses hitlériennes intitulé Hitlerjugend 1926-1945;Un disque de discours de Pétain;Un autre de poèmes déclamés par le collaborationniste Robert Brasillach et considéré comme le plus"émouvant" par le père de la dirigeante du FN. Roland Gaucher ancien milicien co-fondateur du FN © Jack Brte Roland Gaucher ancien milicien co-fondateur du FN © Jack BrteRoland Gaucher, né Goguillot devient de février 1942 à 1944, responsable des Jeunesses nationales populaires, mouvement de jeunesse du collaborationniste Rassemblement national populaire. Le 22 avril 1944, il demande au régime de Vichy de dresser des listes d'otages et des poteaux d'exécution » à un rythme plus soutenu. Il est condamné fin 1944 et libéré en est ensuite journaliste dans de nombreuses publications comme Est Ouest de 1949 à 1959 ou l’Auto-Journal de 1960 à 1965, puis au journal Minute à partir de 1965, en qualité de grand reporter. Journaliste d'investigation, il se spécialise dans la dénonciation des organisations communistes, et travaille en particulier à l'Institut d’histoire sociale de Georges octobre 1972, il est un des fondateurs du Front 1984, il fonde avec Michel Collinot National-Hebdo, l'hebdomadaire du Front national, dont il est le rédacteur en chef jusqu'en 1993. En 1991, il rachète Le Crapouillot avec Jean-François Galvaire, journal qu'il dirige jusqu'en 1994. Il est conseiller régional FN Picardie, 1986-1987 puis Franche-Comté 1992- 1998 , et député européen FN 16 avril 1986 - 24 juillet 19894. Il est également tête de liste FN dans le XIXe arrondissement de Paris en 1983 et en 1988, Well Emmanuel Allot, dit François Brigneau François Brigneau, ancien milicien, vice-président du Front national © Jack Brte François Brigneau, ancien milicien, vice-président du Front national © Jack BrteMembre du Rassemblement national populaire de Marcel Déat, il s'oriente vers la Collaboration durant la Seconde Guerre mondiale. En juin 1944, au lendemain du débarquement allié en Normandie, il s'engage dans la Milice. Un demi-siècle plus tard, il tire une certaine gloire » de cet engagement. Arrêté, il est emprisonné à Fresnes où il partage la cellule de Robert 1972, il participe à la fondation du Front national et devient vice-président du Front National de 1972 à a collaboré en tant qu'éditorialiste, dans les années 1980 et 1990, à l'hebdomadaire National-Hebdo, dont la rédaction est domiciliée dans les locaux du Front national. Il fut également le responsable de la rubrique télévision de National-Hebdo, signant ses articles du pseudonyme féminin de Mathilde Brigneau s'emploie régulièrement dans ses éditoriaux à dénoncer l'influence exercée selon lui par la communauté israélite. Il fut plusieurs fois condamné pour écrits antisémites par la 17e chambre correctionnelle de les élections européennes de juin 2009, François Brigneau écrit avoir été tenté de voter pour la liste anti-sioniste » conduite par Dieudonné Roger Holeindre conseiller spécial de Marine Le Pen © Jack Brte Roger Holeindre conseiller spécial de Marine Le Pen © Jack BrteRoger Holeindre engagé dans l'OAS, il purga une peine de à ses engagements, il continue parallèlement son engagement à l'extrême droite, conseillant les jeunes militants du mouvement Occident. Pour l'élection présidentielle de 1965, il fait partie du service d'ordre de Jean-Louis Mai 68, il fondera d'autres mouvements nationalistes et antigaullistes,dont les Jeunesses patriotes et sociales JPS, et le Parti national populaire, tout en dirigeant la revue Contre-poison. Il tente sans succès d'unifier les mouvements d'extrême droite autour de son 1972, Roger Holeindre participe aux côtés de Jean-Marie Le Pen à la finalisation de la fondation du Front national, initié par Ordre nouveau, mouvement d'extrême droite, dont il est plus tard élu député de la Seine-Saint-Denis 1986-1988.Il est par la suite l'un des vice-présidents du Front dirige la liste Front national aux élections territoriales de Corse en 1998 où il manque le seuil de qualification au second tour. À la suite de l'annulation de ces élections, il retente sa chance en liste complète serait trop longue. Rajoutons toute fois Victor Barthélémy, ancien dirigeant du Parti du Peuple Français de Doriot, stalinien rallié au nazisme, ancien membre du comité central de la LVF, ancien de Sigmaringen, ancien compagnon de Simon Sabiani quel pedigree !, qui participe lui aussi à la création du FN, dont il restera membre jusqu'en le même sujet Présentessur tous les fronts de 1939 à 1945, à l'exception de l'Afrique du Nord, les unités de la Waffen-SS se révélèrent de qualité variable: nombre d'entre elles firent preuve d'une grande combativité, essentiellement sur le front de l'Est, à partir de 1943. Elles se singularisèrent par le nombre de leurs exactions et de leurs crimes sur tous leurs théâtres d'opérations.
La 11 division SS Nordland La division Nordland est formée suite à une directive de Heinrich Himmler du 11 février 1943, réorganisant les légions de volontaires d'Europe du nord servant dans la waffen-SS au sein d'une même formation. Cette note explique que la nouvelle division comportera essentiellement trois régiments d'infanterie, qui prendront les noms de Nederland, Danmark et Norge. Quand à la division elle-même, Himmler propose de l'appeler retenu, cette 11° division recevra finalement le 17 mars le nom de Nordland. Cette division serait alors associée avec la Wiking pour former le tout nouveau III. germanisches SS-Panzerkorps. La mise sur pied de cette 11. SS-Division débute en mars 1943 au camp d'entraînement de Gräfenwöhr. Le noyau en est est constitué par le SS-Panzergrenadier Regiment Nordland, détaché de la division Wiking et les Freiwilligen Legion Norwegen et Freikorps Danmark. Afiche de recrutement du régiment Norge à l'époque encore un bataillonUn troisième régiment devait être formé à partir de la Freiwilligen Legion Niederland, mais cette dernière formera une brigade indépendante à 2 régiments, la Nederland. Le premier commandeur de la division sera le SS-Brigadeführer Fritz von Scholz, ancien chef du régiment beaucoup des personnels sont des vétérans, l'entraînement est achevé en août 1943, et la division déclarée opérationnelle. La division Nordland entre en action dès septembre dans le nord de la Croatie, pour combattre les partisans communistes de Tito. L'armistice italien qui tombe voit la division participer au désarmement de la 57° division italienne "Lombardie". Fin novembre la division quitte la Croatie pour le nord du front Est, assignée à la 18. 14 janvier 1944, le secteur Orienbaum sur le golfe de Finlande est attaqué par la 2° Armée de Choc soviétique. Inférieur numériquement, les allemands combattent à quatre contre un. La situation de la division devient critique suite à la défection d'une unité de la wehrmacht. Soumise à une forte pression, la division tient solidement ses lignes, parvenant même à lancer des contre attaques avec le régiment Norge. Après deux jours de durs combats, la division ainsi que la brigade Nederland sont contraintes de reculer sur la rivière Luga. Le 25 janvier, une attaque soviétique anéanti complètement le I./ Danmark. dans la soirée du 30 janvier, les unités allemandes sont forcées d'abandonner leurs positions pour se retirer sur la ligne - 45 Narva, Courlande et PoméranieEntre février et août 1944, les unités du III. germanisches SS-Panzerkorps réussissent à conserver leurs positions autour de Narva, en dépit de la pression continuelle exercée par l'Armée rouge. Les positions allemandes sont écrasées sous de perpétuelles bombardements d'artillerie, le plus dru tombant sur les positions tenus par la brigade Nederland. La division nordland dépechent alors des renforts pour maintenir les positions de cette brigade. Durant cette période de guerre de position, les unités les plus durement éprouvés, les I./ Norge et Danmark sont retirés du front et envoyés en Allemagne pur y être 22 juin 1944, l'Arme Rouge déclenche l'opération Bagration qui enfonce les lignes du Heeresgruppe Centre sur 400 kilomètres. Le front baltique du nord est maintenant en danger et menacé d'être complètement isoler. En juillet les positions allemandes sont reculées sur la ligne Tannenberg. Là, de nouveaux assauts sont repoussées au prix de lourdes pertes, dont le commandeur le de la division, le SS-Brigadeführer von Scholz, tué au cours d'un la mi septembre les forces allemandes en Estonie reçoivent l'ordre de reculer en lettonie. Le 23 septembre, la Nordland prend position au sud-est de Riga, ou elle participe à la défense de la ville. Le 6 octobre, le Heeresgruppe Nord, auquel est attaché la division retraite en direction de la Courlande, région située à l'ouest de la Lettonie. Le 12 elle prend position au sud de la poche et le 13 les derniers ponts sur la rivière Daugaua sont détruits et Riga abandonnée au 20 janvier 1945, l'Armée Rouge lance une nouvelle offensive, et la régiment Danmark est presque totalement anéanti. Il est décidé d'évacuer la très affaiblie division par mer en direction de l'Allemagne pour y être reconstituée. Embarquée à Libau, elle appareille le 28 janvier. Débarquée en Poméranie, elle est attachée à la 11. Panzerarmee du Heeresgruppe Steiner. A la mi février, le II. germanisches SS-Panzerkorps lance une offensive contre les flancs du 1er front russe de Zhukov dans la région de Arnswalde. Conçu sur un large front, l'offensive "Sonnenwende" est réduite par ordre de Hitler en contre attaque localisée. L'assaut de la division est un succès, elle repousse l'ennemi jusqu'au lac Ihna, secoure la garnison de Arnswalde et facilité l'évacuation de la population civile. Passé la surprise du premier choc, la résistance russe se durcit et le SS-Oberstgruppenführer Steiner décide finalement de retraiter. Le 28 février la nordland est de retour dans le région de Stargard - Stettin sur l' 1945 BerlinLe 1er mars 1945 l'Armée rouge déclenche le plus grand bombardement d'artillerie. Les défenseurs allemands reculent lentement devant la poussée des chars ennemis, et après une semaine de combat, la Nordland est repoussée jusqu'à l'Altdamm, dernier pont allemand sur la rive est de l'Oder. Le 14 mars, elle traverse la rivière et se retrouve dans la ville même. Au cours des jours suivant, les volontaires combattent dans les décombre d'Altdamm. Le 19 mars, elle est retirée des lignes et envoyée dans la région de Schwendt - Angermünde, 65 kilomètres au nord est de Berlin ou elle reçoit un contingent de renfort provenant pour la plupart de la Lutwaffe et de la finale russe est déclenchée le 16 avril. La Nordland est alors à l'est de la capitale avec le LXI. Panzerkorps. Dès le 18 avril elle est repoussée vers les faubourgs et intégré dans la garnison. Réorganisée en kampfgruppen, les volontaires nordiques battent en retraitent à travers Mahlsdorf, Biesdorf et Neukölln vers l'aéroport de Te mpel hof. Au plus fort des combats, le bataillon blindé Herman von Salza lance une contre attaque qui stoppe les soviétiques aux environs de Treptow. Un Panther du bataillon Herman von Salza .Cependant, lorsque la division reçoit l'ordre d'attaquer le 25 avril, son commandeur le SS-Brigadeführer Ziegler refuse de sacrifier une nouvelle fois ses hommes dans des actions inutiles. Il est relevé de son commandement et remplacé par le SS-Brigadefüherr Dr. Gustav Krukenberg, qui vient d'arriver avec 300 français de la division Charlemagne. Un 251 de la division détruit lors de la tentative de percée du 1er Mai 1er mai, les survivants combattent dans les ruines autour de la Chancellerie. Krukenberg autorise à tenter une percée que seule une poignée réussiront, le reste étant tué ou capturé dans les derniers jours de la résistance. Un Untersturmführer du régiment la patte de col solaire ,la bande de bras et le drapeau Norvégien sur la manche .Quelques informations diverses La division avait des pattes de col de plusieurs type Les runes classiques pour allemands ,la roue solaire pour les étrangers ,le drapeau danois pour le régiment Danmark et trois lions pour la régiment Norge . [img][/img]Une patte de col solaire . 27 hommes de la division Nordland seront décorés de la bande bras de la régiments de la Nordland portaient des titres honorifiques Le SS-Grenadier-Regt. 23 Norge Le SS-Grenadier-Regt. 24 DanmarkLa SS-Pz. Abt. 11 Hermann von SalzaLa division a commis un crime de guerre recensé Le massacre de 100 civils et partisans à Popovaca le 16 septembre 1943.[img][/img]Sources Axis historyWaffen-ss combattant sites et livres divers .Amicalement Victor.
Le2 août, répondant aux appels de Habib Meyer et Éric Ciotti, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a accusé la gauche d'antisémitisme. Son gouvernement ne ce

403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID ieoIJ9dime_3ggnTxazeMhFOgY6uk9Nw4njr7Y0yEiTCYzusueGF0Q==

Sesouvenir de moi Non recommandé sur les ordinateurs partagés. Connexion. Mot de passe oublié ? Ou connectez-vous avec l’un de ces services. Se connecter avec Facebook. Se connecter avec Twitter. Se connecter avec Google. Inscription Membres Actu et Débats Quotidien Culture Loisirs Informatique Jeux Vidéo Sports ForumFr Plus. Plus
296 669 475 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidéosEntrepriseSélectionsPanierBonjour!Créer un compteSélectionsNous contacterSélectionsPartagez des images Alamy avec votre équipe et vos clientsCréer une sélection ›EntrepriseTrouvez le contenu adapté pour votre marché. Découvrez comment vous pouvez collaborer avec EntrepriseÉducationJeuxMuséesLivres spécialisésVoyagesTélévision et cinémaRéservez une démonstrationRechercher des imagesRechercher des banques d’images, vecteurs et vidéosFiltresAffiche de recrutement waffen ss Photos Stock & Des Images0
AffichesDe Propagande Ww2. Ludwig Hohlwein 1874 - 1949 architecte et plasticien allemand. Propagande Seconde Guerre Mondiale. Affiches Historiques. Affiche Propagande. Photos Militaires. Histoire Militaire. Racisme. Affiches Rétro. Poster Affiche. Allemagne. La seconde guerre mondiale au jour le jour "Venez au nord avec nous" Affiche de recrutement norvégienne
Les SS français auraient été les derniers défenseurs » du bunker, le Bataillon Charlemagne ayant été la seule unité encore présente jusqu'au 2 mai, afin d'empêcher les Soviétiques de le prendre pour la fête du 1er mai Jusque dans les années 1990, les pensions étaient versées par le gouvernement allemand aux anciens combattants français de la division SS Charlemagne. L'un des derniers combattants français INTRODUCTION "Ne soyez pas effrayés si nous sommes si peu nombreux. A travers l'histoire, depuis des temps immémoriaux, c'est toujours une poignée d'hommes qui a forcé le destin" Joseph Darnand. Jean Marie Balestre Avec la guerre, commence la période la plus trouble et contradictoire de la biographie de Jean-Marie Balestre. En 1939 et 1940, il écrit régulièrement comme journaliste militant dans Le Droit de vivre, journal de la Ligue Internationale contre l’Antisémitisme que dirige Bernard Lecache2 et dont il est membre du service d'ordre avant la guerre. Dans un de ses articles intitulé Il n'y a plus de métèques, en décembre 1939, il écrit cette barbarie qu'est le racisme ». Il devient maréchaliste et, en 1940, réfugié à Toulouse, adhère aux organisations d'extrême droite Jeunes du Maréchal » puis Jeune Front », où il fait la rencontre deRobert Hersant qui en est l'un des dirigeants. Il est également proche de Pierre Clémenti. Dès l'été 1940, on le trouve impliqué dans des violences antisémites en compagnie de Robert Hersant. En 1941 et 42, il codirige avec ce dernier le Centre de jeunesse maréchal Pétain de Brévannes, un camp d'embrigadement aux principes vichystes En mars 1944, dans le Journal de la communauté européenne, Devenir, il écrit un article intitulé Les soldats du Führer » dans lequel il énonce Les jeunes Français ont endossé leur uniforme de la Waffen SS, ils défendent son drapeau et son prestige ; ils ont embrassé un idéal intransigeant et appartiennent maintenant à un Ordre que l'on ne quitte que par la mort... Ils sont les soldats du Führer, ils sont les soldats fanatiques et fidèles d'Adolf Hitler qui leur a accordé par deux fois le plus grand des honneurs. » Ces faits révélés par le journaliste Pierre Dubreuil dans son ouvrage Des bolides en or paru en 1984 ne seront pas démentis par le principal intéressé qui explique toutefois avoir agi en tant qu'agent infiltre pour les faux réseaux de résistance En mai 1944, il est arrêté par la Gestapo parce que, d'après ses dires, il préparait un attentat. Des résistants affirment qu'il a été pris la main dans le sac à truquer des factures d'imprimerie, à revendre du papier journal contingenté et que, d'autre part, il s'était livré au marché noir. Il est mis au secret à Fresnes puis, le 17 août 1944, au moment de la débâcle allemande, est transféré dans le dernier convoi en partance pour l'Allemagne, comme droit commun et non comme prisonnier politique, puis interné dans le camp Dantzig, Oranienburg, Dachau et Hersbruck. Il est délivré par les Américains en avril 1945, et dès son retour en France, rejoint les rangs de la résistance française, mais est dénoncé comme ancien SS par les membres de la communauté juive. Après son incarcération à la prison de Fresnes, le 16 juin 1945 pour atteinte à la sûreté de l'État, un non-lieu est rendu le 16 mai 1947. Par décision ministérielle du 7 avril 1954, le soldat Jean-Marie Balestre se voit décerner le certificat et la médaille d'appartenance à la Résistance intérieure française pour service accomplis dans la Résistance du 1er avril 1942 au 4 mai 1945. En juin 1957, le ministre des Anciens Combattants et Victimes de guerre lui attribue le titre, la carte et la médaille de déporté résistant Il est fait chevalier de la Légion d’honneur en démontre l'existence et les faux réseaux de maquis montes par le régime de Vichy Le noyau de la DCER implique dans un vaste scandale de faux papiers de la résistance et déportation Paris le 22 Mars 1958 Le CSM Comite Secret Militaire qui fut à l'origine le BCRA Bureau central de Renseignement et d'Action ancêtre de la trop fumeuse DGRE de l'homme de confiance du Général de Gaule l'Ex colonel Passy a donne lieu à un retentissant scandale Le CSM délivrait de faux papiers de résistance dont certains furent homologués par des services officiels comme pour Monsieur Balestre Par la loi du 22 juillet 1943, le Président Laval, avec l'assentiment du Chef de l'Etat, Monsieur le Maréchal Pétain, a reconnu à tous les français le droit de s'engager dans les formations de laWaffen SS à l'Est, afin d'y prendre part aux combats pour l'existence et l'avenir de l'Europe. En vertu de cette loi, les volontaires pour la Waffen-SS jouissent du même statut légal que les membres de la le gouvernement français a ainsi montré qu'il appréciait l'offre faite par le Führer et qu'il est prêt à prendre sa part des devoirs que commandent des heures décisives pour le sort de l'Europe. Il est évident que la constitution d'une unité de volontaires français au sein de la Waffen-SS représente un nouveau pas très important, dans l'union de la Jeunesse européenne contre le nihilisme bolcheviste. Le fait est que l'afflux des volontaires de presque tous les pays de l'Europe qui, côte à côte avec leurs camarades allemands, se sont distingués par leurs vaillance au front de l'Est, la SS, fondement essentiel du Parti National-Socialiste, qui n'avait, à l'origine, qu'une valeur politique interne allemande, s'est transformée aujourd'hui en une communauté indissoluble de la Jeunesse européenne luttant pour le maintien de ses valeurs culturelles et de sa civilisation. Que la Jeunesse française ait d'instinct compris la portée de ce nouveau pas, est démontré par le fait qu'en quelques jours et sans la moindre propagande, plus de volontaires se sont présentés. Le premier bataillon existe et bientôt le premier Régiment SS français sera en mesure de faire la preuve de la permanence des hautes traditions militaires françaises et de l'esprit combatif de sa Jeunesse. La SS se fera un point d'honneur et considérera comme une tâche essentielle d'employer les qualités militaires et la volonté de combat de chaque Français disposé à engager sa vie dans la lutte pour l'existence et l'avenir de l'Europe, contre le bolchevisme pour la justice sociale, pour la victoire ! Photo prise à l'Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS à Paris. Plusieurs vétérans y travaillent comme Jean Balestre qui aurait fourni à la résistance, selon la rumeur, une longue liste comportant le nom et l'adresse des volontaires français. Curieusement il ne sera jamais inquiété à la libération malgré ses articles élogieux au national-socialisme dans le journal "Devenir". Alphonse Godin est un ancien sous-officier de carrière de l'armée française. Il combat en Pologne en 1920 dans les rangs de l'armée Weygand. Il obtient la barrette du ruban de l'ordre de la Pologne restaurée mais aussi le ruban de la médaille militaire. Ensuite il se tourne vers la Cagoule d'Eugène Deloncle et milite au MSR. Il s'engage dans la LVF puis devient recruteur à la Waffen SS. Lui aussi travaille à l'ErsatzkommandoFrankreich der Waffen-SS Conditions d'engagement A l'exception de juifs et de ceux qui ont encouru une condamnation infamante, tous les français, célibataires ou mariés, normalement développés, aptes aux exigences d'une instruction militaire, peuvent s'engager à la Waffen-SS - Age de 17 à 40 ans. Taille minima m Conditions d'avancement dans la Waffen-SS. Les volontaires simples soldats lors de leur engagement, qui présenteront les aptitudes requises, pourront être admis dans les écoles de sous-officiers ou d'officiers de la Waffen SS. L'admission dans ces écoles ne sera pas déterminées par les diplômes ou les titres universitaires des candidats mais seulement par les qualités personnelles dont ils auront fait preuve et par leur aptitude au commandement sous l'uniforme allemand, Henri Fenet, un chef de bataillon, est mort en septembre 2002. Il avait reçu la croix de chevalier de la Croix de fer, décoration allemande portant la croix gammée, en avril 1945 sous l'heure d' division sera la dernière a défendre Hitler a Berlin Par la loi du 22 juillet 1943, le Président Laval avec l’assentiment du Chef de l’Etat, Monsieur le Maréchal Pétain, a reconnu à tous les Français le droit de s’engager dans les formations de la Waffen-SS à l’Est, afin d’y prendre part aux combats pour l’existence et l’avenir de l’Europe. En vertu de cette loi, les volontaires pour la Waffen-SS jouissent du même statut légal que les membres de la L. V. F. Le Gouvernement français a ainsi montré qu’il appréciait l’offre faite par le Führer et qu’il est prêt à prendre sa part des devoirs que commandent des heures décisives pour le sort de l’Europe. Il est évident que la constitution d’une unité de volontaires français au sein de la Waffen-SS représente un nouveau pas très important dans l’union de la jeunesse européenne contre le nihilisme bolcheviste. Le fait est que par l’afflux des volontaires de presque tous les pays de l’Europe qui, côte à côte avec leurs camarades allemands, se sont distingués par leur vaillance au front de l’Est, la SS, fondement essentiel du Parti national-socialiste, qui n’avait, à l’origine, qu’une valeur politique interne allemande, s’est transformée aujourd’hui en une communauté indissoluble de la jeunesse européenne luttant pour le maintien de ses valeurs culturelles et de sa civilisation. Que la jeunesse française ait d’instinct compris la portée de ce nouveau pas est démontré par le fait que, en quelques jours et sans la moindre propagande, plus de quinze cents volontaires se sont présentés. Les deux premiers bataillons existent, et bientôt le premier régiment SS français sera en mesure de faire la preuve de la permanence des hautes traditions militaires françaises et de l’esprit combatif de sa jeunesse. La SS se fera un point d’honneur et considérera comme une tâche essentielle d’employer les qualités militaires et la volonté de combat de chaque Français disposé à engager sa vie dans la lutte pour l’existence et l’avenir de l’Europe, contre le bolchevisme, pour la justice sociale, pour la victoire Les Grandes Enigmes de l’Occupation ‟Les Waffen-SS français” Ed. de Crémillé, 1970. Par Jean MABIRE L'acte de naissance officiel d'une unité française de la Waffen-SS 1 date du 22 juillet 1943. Pierre LAVAL, chef du gouvernement, la mèche en bataille, l'éternel mégot collé sous la moustache, signa lui-même cette loi, après avoir entendu, pour la forme, le conseil de cabinet. Trois articles, d'une sécheresse tout administrative ARTICLE PREMIER. - Les Français peuvent contracter un engagement volontaire pour combattre le bolchevisme hors du territoire dans les formations constituées par le gouvernement allemand Waffen-SS, pour y être groupés dans une unité française. ARTICLE II. - Ceux qui, appartenant à cette unité, combattront effectivement hors du territoire bénéficieront des avantages prévus par les lois et règlements relatifs à la Légion des volontaires français2 contre le bolchevisme. ARTICLE III. - Le présent décret sera publié au Journal officiel et exécuté comme loi de l'Etat. Quelques jours plus tard, c'est à Paris, et non plus à Vichy, que fut tirée, au cours d'une conférence de presse, la morale » de cette décision Le gouvernement français a ainsi montré qu'il appréciait l'offre faite par le Führer et qu'il est prêt à prendre sa part des devoirs que commandent des heures décisives pour le sort de l'Europe. » Ce n'était certes pas de gaieté de cœur que les dirigeants officiels de l'Etat cautionnaient l'engagement de jeunes Français dans cette force de frappe militaire du mouvement national-socialiste la Waffen-SS. On ne peut s'empêcher ici de penser à un mot du poète Jean COCTEAU Puisque ces événements nous dépassent, feignons d'en être les organisateurs... » Près de quarante mille Français volontaires dans les armées de Hitler En effet, depuis le début de la guerre à l'Est, d'assez nombreux jeunes Français s'étaient engagés dans les armées du IIIe Reich. Le tempérament individualiste des Français et la minutie organisatrice des Allemands les avaient regroupés en unités homogènes ou, au contraire, dispersés dans de multiples formations. Trente ans plus tard, il est bien difficile de donner un chiffre d'ensemble, qui apparaît de l'ordre de trente mille à quarante mille hommes, pour les seules forces combattantes sur le front de la guerre régulière, hors du territoire français. Les premiers furent, dès l'été 1941, ceux de la Wehrmacht, où ils formaient le régiment 638, plus connu sous le nom de LVF, et qui vit passer plus de six mille hommes. Le gouvernement de Vichy tenta par la suite une opération de récupération de cette unité, qui porta un temps le nom de Légion tricolore et dont certains cadres rejoignirent la Phalange africaine combattant, avec l’Afrika-Korps, sur le front de Tunisie. Des Français, parfois déserteurs de la LVF, s'engagèrent à titre individuel dans différentes divisions de la Wehrmacht qui remontaient vers le front et acceptaient de les prendre en charge, souvent à titre temporaire, notamment à la Gross-Deutschland. On estime à environ cinq mille le nombre des Français qui servirent dans les Schutz-Kommandos3 de l'Organisation Todt, où ils encadraient des travailleurs recrutés bon gré mal gré, dans toute l'Europe, pour construire le Mur de l'Atlantique ». D'autres avaient préféré, dans cette même Organisation Todt, la brigade Speer, qui avait des tâches plus militaires qu'architecturales. La Kriegsmarine tenta de deux mille à trois mille Français. Ils subirent leur entraînement militaire et leur endoctrinement politique... en Alsace, puis furent répartis par petits groupes, dépassant rarement une demidouzaine de volontaires, à bord de vedettes lance-torpilles, de dragueurs de mines et même, pour quelques rares spécialistes, de sous-marins. Quant à la Brandenburg, troupe opérationnelle des services secrets de l'Abwehr dont les tâches peuvent s'apparenter à celles du bataillon de choc de l'armée française, elle passa de l'effectif d'un bataillon au début de la guerre à celui d'une division. On y trouvait de nombreux éléments étrangers, dont, bien entendu des Français. Il y eut, au fur et à mesure que de nouvelles unités du IIIe Reich recrutaient des volontaires étrangers, des Français partout conducteurs, téléphonistes, artilleurs de batteries côtières ou de batteries antiaériennes parmi ces derniers, on compta même un certain nombre de jeunes filles françaises, puisque, à la fin de la guerre, même des femmes servirent dans la Flak4 pour essayer d'enrayer les raids, de plus en plus nombreux, contre les villes européennes. On trouva des infirmières françaises dans les hôpitaux militaires allemands et, au fin fond de l'Europe en guerre, on pouvait rencontrer quelques mariniers français qui avaient quitté leurs péniches pour servir sur des remorqueurs armés, naviguant sur le Danube... Au mois de juillet 1942, un an après la création de la LVF, un contingent d'environ deux mille Français s'engagea dans la Luftwaffe, où ils furent regroupés au sein d'une formation de la NSKK5 . Certains d'entre eux devaient jouer un rôle déterminant dans la création d'une unité française de la Waffen-SS. En effet, la NSKK constituait, comme la SS, une formation politique allemande devenue, avec la guerre, une unité militaire internationale. Créée en 1931 par Adolf HÜHNLEIN, cette troupe avait pour rôle, dans les années qui précédèrent la prise du pouvoir par les nationaux-socialistes, de transporter les militants du parti et spécialement les hommes des sections d'assaut. A la fois train des équipages et unité de choc quand le besoin s'en faisait sentir, la NSKK était, avec la SA6 et la SS, une des formations paramilitaires essentielles du mouvement nazi. La guerre devait faire de ces prétoriens » des soldats. Mais ils restaient des soldats politiques, liés davantage au parti qu'à l'armée. Plutôt que de s'engager à la LVF, qui vivait, sur le front de l'est, l'antagonisme de l'esprit cocardier français et du rigide militarisme prussien, de jeunes Français avaient préféré la NSKK, armée politique et unité internationale. Ils partirent à l'entraînement au camp de Schotten, près d'Anvers. Deux compagnies françaises furent engagées par la suite en Russie, trois en Italie et deux en Hongrie. Au mois de juillet 1943, une trentaine de volontaires, qui se trouvaient à l'entraînement, désertèrent et vinrent se présenter au bureau de recrutement de la Waffen-SS d'Anvers, pour s'y faire engager. Depuis quelques mois, des Français avaient déjà réussi à entrer dans la Waffen-SS, mais à titre individuel. Il y en eut ainsi dans des formations purement allemandes comme le régiment Der Führer ou la division Totenkopf. D'autres rejoignirent des unités à recrutement national, telle la brigade Wallonie. Par la suite, d'autres Français entrèrent dans le régiment Kurt EGGERS, unité des correspondants de guerre de la Waffen-SS. Un de ces journalistes sera tué sur le front de Normandie ; un autre recevra la croix de fer de première classe, pour avoir pris spontanément la tête d'une formation antichar et détruit plusieurs blindés soviétiques il effectuait un reportage dans le secteur de la Baltique quand survint une percée russe et il réagit en artilleur plus qu'en écrivain... Origines de la Waffen-SS » Le décret du 22 juillet 1943 ne faisait donc qu'officialiser un processus inévitable et tentait de regrouper les Français fascinés par le redoutable creuset que leur proposait la Waffen-SS. En cette année 1943, la SS, Etat dans l'Etat, et dans une certaine mesure nation au-dessus des nations, incarnait le mythe de l'Europe combattante d'Adolf HITLER. Son organisation politique et guerrière, la Waffen-SS, éclipsait, par la magie de la propagande, le souvenir de la Wehrmacht, nationaliste et traditionnelle, des premières années quarante. La Waffen-SS n'était plus, à en croire ses recruteurs, une force uniquement allemande. Elle se disait et se voulait internationale. Tous les murs du continent se couvraient d'une même affiche, où défilaient des soldats armés et casqués, portant au col les deux lettres runiques. La légende proclamait, en des langues différentes selon les pays de recrutement AVEC TES CAMARADES EUROPEENS SOUS LE SIGNE SS TU VAINCRAS ! Plus d'un million d'hommes furent ainsi appelés à vivre une aventure politique et guerrière qui n'avait pas eu d'équivalent dans l'histoire - si ce n'est lors de la première campagne de Russie, lorsque NAPOLEON avait Incorporé, dans le cadre de sa Grande Armée, pour près de la moitié, des combattants étrangers, venus de la plupart des pays d'Europe. Mais, cette fois, on proposait aux volontaires de rejoindre la garde impériale ellemême. Dans les premières années du mouvement national-socialiste, quelques militants issus de la SA avaient prêté un serment personnel à Adolf HITLER et prirent le nom de Stabwache7 . L'unité deviendra ensuite la Stosstruppe8 Adolf HITLER. A sa sortie de prison, après l'échec du coup d'Etat de Munich de 1923, le Führer décida, parallèlement à l'action politique, de développer deux organisations paramilitaires la SA, troupe de masse, et la SS, unité d'élite. Je me disais à l'époque, écrira-t-il, que j'avais besoin d'une troupe de gardes du corps ; elle pouvait être peu nombreuse, mais il fallait qu'elle me fût entièrement dévouée. Mieux vaut n'avoir dans une ville que vingt hommes à soi sur lesquels on puisse compter absolument que d'avoir la confiance de la masse versatile. Le 21 septembre 1925, chaque section du parti national-socialiste reçut l'ordre de créer une Schutzstaffel. Les premiers SS n'étaient pas plus de dix dans chaque ville seul Berlin en possédait vingt. Ils portaient alors la chemise brune, comme les SA, mais arboraient, sur une casquette noire, la tête de mort des vieux régiments de hussards impériaux. En 1926, les SS reçurent la garde du drapeau du sang », celui des nazis tués le 9 novembre 1923, lors du putsch avorté de Munich. En butte aux coups des adversaires et au mépris de la SA - la vieille jalousie entre les troupes de ligne et la garde - la SS adopta pour première devise Noblesse se tait. Elle ne comprenait encore que deux cent quatre-vingts hommes, quand, le 6 janvier 1929, Adolf HITLER plaça à sa tête un garçon de vingt-huit ans, qui voulait devenir officier, puis ingénieur agronome. C'était lui qui portait la bannière du mouvement nationaliste, la Reichskriegflagge, lors du putsch de Munich. Il se nommait Heinrich HIMMLER. Au début de 1930, les SS comptaient deux mille hommes, qui devinrent cinquante-deux mille lors de la prise du pouvoir et deux cent cinquante mille à la veille de la guerre. Tandis que se développait l'Allgemeine-SS, ou SS générale, se constituaient d'autres branches, de l'organisation. Dès 1931, deux ans avant la prise du pouvoir, Himmler avait créé le SD9 , service officiel de renseignement du parti national-socialiste. En 1936, HIMMLER devint le chef de la police allemande et reçut le titre de Reichführer SS. Dès la prise du pouvoir, la SS-Stabwache, sous la direction de Sepp DIETRICH, forma la garde personnelle d'Adolf Hitler, pour prendre, peu après, le nom de Leibstandarte Adolf HITLER et devenir le noyau de la première division de la Waffen-SS. Lors du rétablissement du service militaire obligatoire, en 1935, il fut créé des unités permanentes les SS-Verfügungstruppe10 VT, qui furent entraînées au combat aussi bien, et même souvent mieux, que des unités militaires. Il y eut ainsi deux régiments de VT. Ils servirent de noyau à la deuxième division de la Waffen-SS, la division bas Reich. Par ailleurs, il existait des formations de SS encasernées les SS-Totenkopfverbände, chargées de la garde des prisonniers du régime, qui comprenaient quatre régiments en 1938 et douze en 1939, et contribuèrent à la formation de la troisième division de la Waffen-SS, la division Totenkopf11 . HIMMLER tenait à ce que les hommes de la SS, choisis selon des critères physiques et moraux draconiens, ne soient pas des planqués » dans un conflit futur, mais deviennent les meilleurs soldats du front. De cette idée naquit la Waffen-SS. A la fin de la campagne de Pologne, il existait déjà quatre divisions de la Waffen-SS dont une division de police. Dès le printemps 1940 se constitua le noyau d'une cinquième unité, la division Wiking. Son originalité était d'admettre dans ses rangs des volontaires germaniques » Danois, Norvégiens, Hollandais ou Flamands. Le moins qu'on puisse dire est que la Wehrmacht traditionnelle ne voyait pas d'un bon œil la constitution de troupes d'élite échappant totalement à son contrôle. Si la valeur militaire des SS apparaissait incontestable, leur fanatisme politique, leur recrutement international et leur réputation impitoyable ne pouvaient qu'inquiéter les militaires allemands classiques». Aussi le Gruppenfùhrer1 Gottlob BERGER, bras droit de HIMMLER pour tout ce qui concernait la WaffenSS et ses problèmes de personnel, eut-il un certain mal à recruter des hommes en Allemagne même. La Wehrmacht ne tolérait guère l'écrémage de son recrutement. C'est ainsi que, par la force des choses, qui compte autant parfois que l'idéologie, les Waffen-SS formèrent leurs divisions avec de jeunes Allemands résidant hors des frontières du Reich les Volksdeutsche et de jeunes étrangers séduits par le national-socialisme. Deux cent mille non-Allemands dans la Waffen-SS » Finalement la Waffen-SS compta dans ses rangs, au cours de la guerre, quatre cent mille Allemands natifs, trois cent mille Volksdeutsche dont de nombreux Alsaciens, cinquante mille Germaniques» et au moins deux cent mille Européens. Plus de trois cent mille hommes de la Waffen-SS devaient trouver la mort au combat. La politique d'intégration totale d'éléments non germaniques » dans la Waffen-SS posait un certain nombre de problèmes, notamment sur le plan linguistique, et aussi psychologique, par rapport aux gouvernements ou aux partis politiques des différentes nations européennes. Si on continua à encourager les engagements individuels, certains chefs estimèrent nécessaire d'opérer un regroupement par nationalité. Le début de la guerre à l'est, en juin 1941, donna un nouveau coup de fouet au recrutement l'idée de la lutte commune contre le bolchévisme vint prendre la relève de l'idée raciale germanique. Ainsi naquirent des régiments, des brigades et même des divisions nationaux ». Le chef du Germanische Leitstelle13 de la Waffen-SS, l’Obersturmbannfûhrer RIEDWEG, un chirurgien militaire d'origine suisse, fit beaucoup pour cette européanisation », rompant pour cela quelques lances avec les tenants du pangermanisme classique. Au moment où les Français furent autorisés officiellement à former une unité de la Waffen-SS, on y comptait déjà des formations nationales » de Danois, de Norvégiens, de Hollandais, de Flamands, de Finlandais, de Croates, d'Ukrainiens, de Bosniaques, de Lettons, d'Estoniens et de Wallons. Les originaires des pays neutres, Suisses ou Suédois, se trouvaient répartis selon leurs affinités, tandis que des Luxembourgeois, des Tchèques, des Lituaniens ou des Polonais avaient été enrôlés dans des unités allemandes ou multinationales. Après les Français devaient être formées d'autres unités nationales avec les Albanais, les Slovènes, les Hongrois, les Ruthènes, les Italiens, les Serbes, les Cosaques, les Roumains, les Bulgares, les Tyroliens, les Grecs et surtout les Russes. Il y eut même un détachement de Britanniques. Quant aux Espagnols auxquels se joignirent un certain nombre de Portugais, ils restèrent dans la Wehrmacht, où ils formaient la division Azul. Dans les derniers mois de la guerre, on vit naître des formations caucasiennes, asiatiques, arabes et indiennes. Plus de trente nations fournirent ainsi des contingents de volontaires. En juillet 1943, l'idée de la Waffen-SS connaissait son apogée. Ce n'était plus la troupe victorieuse de la guerre éclair, mais pas encore la poignée des fanatiques du dernier carré. On venait de former une nouvelle division de la Waffen-SS, la division Hitlerjugend15 avec dix mille volontaires, âgés de dix-sept ou même de seize ans. Commandée par un Standartenführer16 de trente-cinq ans, Fritz WITT, qui sera tué au combat le 12 juin 1944, près de Caen, cette unité de benjamins montrait que l'Allemagne était décidée à exiger de sa propre jeunesse les plus grands sacrifices. Les divisions de la Waffen-SS se battaient très durement sur tous les fronts et jouaient une partie que l'on devinait décisive. La situation était sérieuse pour le IIIe Reich. Lorsque de jeunes Français s'engagèrent alors dans la Waffen-SS, ce n'était certes pas pour voler au secours de la victoire. Le 10 juillet 1943, les Alliés avaient débarqué en Sicile et, le 24, Benito MUSSOLINI avait été démissionné » par le Grand Conseil fasciste. Il se trouvait prisonnier et il semblait que l'Italie allait changer de camp. Rome avait tenté de se soulever contre les Allemands. Sur le front de l'est, la plus grande bataille de chars de la guerre, engagée le 5 juillet dans la région de Koursk, tournait à la défaite en une dizaine de jours ; pour les Allemands, c'était un désastre peut-être plus grave que Stalingrad. La retraite commençait devant le rouleau compresseur » de l'armée rouge. En août, Orel, Bielgorod et Kharkov devaient être repris par les Russes. La guerre aérienne contre les Anglo-américains était perdue. La guerre sous-marine dans l'Atlantique se révélait un autre échec. Les Italiens capitulaient le 8 septembre, mais, quatre jours plus tard, MUSSOLINI, gardé prisonnier dans un hôtel perdu en pleine montagne, dans les Abruzzes, était délivré par un commando parachutiste dirigé par un officier de la Waffen-SS Otto SKORZENY. Plus que jamais, l'arme à laquelle SKORZENY appartenait était l'arme des hommes décidés à se battre jusqu'au bout. 8 JUILLET 1941 Après l'invasion de la Russie par la Wehrmacht, le Maréchal Pétain autorise la création en France, sur la demande de plusieurs partis d'extrême-droite notamment du Rassemblement National Populaire de Marcel Déat et du Parti Populaire Français de Jacques Doriot, de la Légion des Volontaires Français contre le Bolchevisme» Cette unité sous commandement allemand avec encadrement français porte la tenue vert de gris, les bottes et le casque allemand et un écusson bleu blanc rouge sur le bras. C'est une association, loi de 1901. La raison principale est que la France n'a pas déclaré la guerre à l' Par conséquent les membres de la qui seraient pris par les soviétiques seraient considérés comme des francs-tireurs et pas comme des prisonniers de guerre et pourraient ainsi être fusillés sans la protection des conventions de Genève. Elle recrute, entr'autre, parmi les anticommunistes, les chômeurs, les anciens militaires et aussi des aventuriers ou des membres de divers mouvements politiques français d'extrême-droite Francisme de Bucard, Ligue Française de Costantini, Parti Populaire Français de Doriot et Rassemblement National Populaire de Déat. Eugène Deloncle ancien Camelot du Roi, leader de la Cagoule fondée le 6 février 34, en est le premier Président. L'état-major siégera au 12 rue Auber dans les anciens locaux de l'Intourist soviétique. 21 AOÛT 1941 Les premiers volontaires sont dirigés sur trois bataillons regroupés dans la caserne BORGNIS-DESBORDES à Versailles. Les échanges postaux de cette courte période sont ceux de la poste civile, avec dans la caserne de recrutement, un vaguemestre. Les plis postés à la caserne bénéficieront de la Franchise Postale à partir du 13 septembre. Photo prise à l'Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS à Paris. Plusieurs vétérans y travaillent comme Jean Balestre qui aurait fourni à la résistance, selon la rumeur, une longue liste comportant le nom et l'adresse des volontaires français. Curieusement il ne sera jamais inquiété à la libération malgré ses articles élogieux au national-socialisme dans le journal "Devenir". Alphonse Godin est un ancien sous-officier de carrière de l'armée française. Il combat en Pologne en 1920 dans les rangs de l'armée Weygand. Il obtient la barrette du ruban de l'ordre de la Pologne restaurée mais aussi le ruban de la médaille militaire. Ensuite il se tourne vers la Cagoule d'Eugène Deloncle et milite au MSR. Il s'engage dans la LVF puis devient recruteur à la Waffen SS. Lui aussi travaille à l'ErsatzkommandoFrankreich der Waffen-SS Conditions d'engagement A l'exception de juifs et de ceux qui ont encouru une condamnation infamante, tous les français, célibataires ou mariés, normalement développés, aptes aux exigences d'une instruction militaire, peuvent s'engager à la Waffen-SS - Age de 17 à 40 ans. Taille minima m Conditions d'avancement dans la Waffen-SS. Les volontaires simples soldats lors de leur engagement, qui présenteront les aptitudes requises, pourront être admis dans les écoles de sous-officiers ou d'officiers de la Waffen SS. L'admission dans ces écoles ne sera pas déterminées par les diplômes ou les titres universitaires des candidats mais seulement par les qualités personnelles dont ils auront fait preuve et par leur aptitude au commandement. CONDITIONS MATÉRIELLES - I. SOLDE. - La solde est payée directement à chaque volontaire, conformément au barème ci-dessous Francs SS-Mann et Sturmmann - soldat................... 600. » Rottenfubrer Unterscharfuhrer Scharfuhrer Oberscharft~hrer Hauptscharfuhrer Sturmscharfuhrer Untersturmfiihrer Obersturmfuhrer Hauptsturrnfuhrer Sturmbannfuhrer - caporal.................. - sergent.................. - sergent de carrière………….. - sergent-chef………………………………. - adjudant……………………………………... - adjudant-chef ……………………….. - sous-lieutenant………………... - lieutenant……………………...... - capitaine……………………………………. - commandant………………….…………….. 720. » 840. » 900. » » » » » » » » En outre tous les volontaires, quel que soit leur grade, reçoivent un supplément de Frs 20. par jour tant qu’ils se trouvent en première ligne. Tous les officiers reçoivent une indemnité mensuelle d’habillement de Frs 600. ». SOUTIEN FAMILIAL. — A. Soutien de la femme. L’allocation est basée sur le revenu net antérieur du volontaire, suivant une échelle dégressive, à savoir jusqu’à Frs » l’allocation s’élève à Frs » » - » » - » » - » » - » 7000. » - 3600. » » - » - » - » - » - » au-delà de - » B. Indemnité aux enfants. — Outre l’allocation à la femme, il sera alloué pour chaque enfant de moins de I6 ans a demeurant avec la femme ou les parents du volontaire Frs 400. » b ne demeurant pas avec la femme ou les parents du volontaire Frs 600. » C. Indemnité aux parents. — Il est accordé au père ou à la mère du volontaire une allocation spéciale dans le cas où celui-ci intervenait pour au moins un quart dans le revenu de la famille. L’allocation est calculée suivant le barème ci~dessous I parent francs 2 parents francs Pour une aide de Frs 700. » au moins 700. » - 701. » à » » - » à » » - plus de » » Il est admis que l’aide apportée par le volontaire ne saurait dépasser les deux tiers de son propre revenu, un tiers étant considéré comme nécessaire à ses propres besoins. En outre, il est accordé pour chaque frère ou sœur de moins de I6 ans une allocation de Frs 200. ». D. Indemnité de loyer. — En supplément à l’allocation prévue ci-dessus au § II A et B il est versé une indemnité égale au loyer effectivement payé par la femme du volontaire. Si le volontaire ou sa femme sont propriétaires d’une habitation, il est alloué une indemnité basée sur la valeur locative de l’habitation. II n’est pas alloué d’indemnité de loyer aux parents du volontaire § II C. III. ALLOCATiON AUX CELIBATAIRES Les volontaires célibataires n’ayant ni enfants ni parents à soutenir reçoivent une allocation suivant le barème ci-dessous. Cette allocation est versée directement mais créditée à leur compte. Il leur est loisible de faire venir en France des sommes à valoir sur ce compte. francs francs SS Mann et Sturmmann. » Hauptscharführer...... » Rottenfûhrer......... » Sturmscharführer...... » Unterscharfuhrer..... » Untersturmführer...... » Scharfubrer.......... » Obersturmführer....... » Oberscharftjhrer..... » Hauptsturmführer...... » Sturmbannführer………… » IV. PENSIONS En ce qui concerne les pensions d’invalidité et les pensions aux ayantsdroit des volontaires disparus, le régime est identique à celui de tous les membres de l’armée allemande. Il est notoire que celui-ci garantit aux invalides des conditions très libérales. V. La fixation et le règlement des différentes allocations familiales sont effectués par le Fürsorgeoffizier der Waffen-SS, qui examinera tous les cas spéciaux non prévus dans l’exposé ci-dessus. Le Fürsorgeoffizier est également compétent pour assurer la défense des droits des volontaires ou de leur famille sous tous les points de vue. Voici trois frères, trois volontaires néerlandais de la Waffen-SS Suis leur exemple, n’attends pas plus longtemps, présente-toi dès aujourd’hui. A PARIS, à l’Ersatzkommando Frankreich der Waffen-SS, 24, avenue Recteur-Poincaré métro Ranelagh ; en PROVINCE, à la Police allemande Kommando der Ordnungspolizei au siège des Préfectures régionales adresses ci-dessous ; en Allemagne à l’Ergänzungstelle der Waffen-SS la plus proche. LISTE DES KOMMANDOS PARIS……………………………………………………… Erzatzkommando Frankreich der Waffen-SS. 24, Avenue Recteur-Poincaré. 28, Rue Lu Boétie. RENNES I-et-V.…………………………. Kommando der Ordnungspolizei. 8. Boulevard Volney. MARSEILLE Kommando der Ordnungspolizei. 4. Boulevard Rivet. LIMOGES Hte-Vienne………………. Kommando der Ordnungspolizei. 15. Rue Montalembert. BRIVE Corrèze……………………... Kommando der Ordnungspolizei. 11, Rue de l’Hôtel-de-Ville POITIERS Vienne.......... Kommando der Ordnungspolizei, 12. Avenue de Bordeaux. SAINT-QUENTIN Aisne…………. Kommando der Ordnungspolizei, 2. Rue Charles-Picard. ROUEN Seine-Inf.......... Kommando der Ordnungspolizei. 53. rue de Reims. Rue Alain-Blanchard. ANGERS Maine-et-Loire………. Kommando der Ordnungspolizei, 19. Rue de la Préfecture. 40 Rue Saint-Julien. DIJON Côte-d’Or………………….. Kommando der Ordnungspolizei. 13, Cours du Parc. Hôtel Morot. 3 bis, Avenue du Maréchal-Foch. GRENOBLE Isère........... Kommando der Ordnungspolizei. Hôtel de Savoie. BORDEAUX Gironde......... Kommando der Ordnungspolizei, 328, Av. du Maréchal-Pétajn, Le Bouscat. 25, Allées de Tourny. CHALONS-SUR-MARNE Marne…. Kommando der Ordnungspolizei, 57, Allée Paul-Doumer, 16, Allée Paul-Doumer ORLEANS Loiret……………… …. Kommando der Ordnungspolizei. 31, Rue Jules-Lemaître. 9, Rue du Grenier-à-SeL CLERMONT-FERRAND Kommando der Ordnungspolizei. 63, Avenue du Maréchal-Pétain,. PERIGUEUX Dordogne....... Kommando der Ordnungspolizei. Hôtel Régina. MONTPELLIER Hérault...….. Kommando der Ordnungspolizei 25, Avenue Bouisson-Bertrand. TOULOUSE Haute-Garonne……. Kommando der Ordnungspolizei. 1, Rue Boulingrin. BESANÇON Doubs........... Kommando der Ordnungspolizei Promenade de Chamars. NANCY Meurthe-et-Moselle… Kommando der Ordnungspolizei. 31, Boulevard Aibert-Ier.
RMENH432 – RECRUTEMENT DE WAFFEN SS 2ème Guerre mondiale 1943 affiche de recrutement de propagande de langue française «sous les SS européens, vous gagnez» pour l'armée militaire allemande SS seconde Guerre mondiale RM 2JHY2HX – Russe WW2 Poster de propagande présentant une caricature de caricature d'Adolf Hitler .

296 669 475 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidéosEntrepriseSélectionsPanierBonjour!Créer un compteSélectionsNous contacterSélectionsPartagez des images Alamy avec votre équipe et vos clientsCréer une sélection ›EntrepriseTrouvez le contenu adapté pour votre marché. Découvrez comment vous pouvez collaborer avec EntrepriseÉducationJeuxMuséesLivres spécialisésVoyagesTélévision et cinémaRéservez une démonstrationRechercher des imagesRechercher des banques d’images, vecteurs et vidéosFiltresFührer of nazi Photos Stock & Des Images0

Lesbénéficiaires de cette pension, dont le montant oscillerait entre 400 et 1 300 euros, ont fait partie de la Wehrmacht ou de la Waffen-SS. Cette dernière aurait recruté quelque 10 . Ce documentaire historique 0h56 raconte l'histoire secrète des Waffen SS, les sinistres troupes allemandes de l’ordre noir d'Hitler qui furent sans pitiés pour les soldats et les civils sous l'ocupation. Pendant la seconde guerre mondiale, sous les ordres de Heinrich Himmler, les SS, nés sur les ruines de la république de Weimar, se développèrent en une vaste armée privée. De cet état dans l’état, froid et bureaucratique, se distinguèrent bientôt les Waffen SS, dont la force de combat inspirait à la fois la crainte et l’admiration face à cette armée européenne. Elle fut conçue à l'origine comme une armée politique, uniquement constituée de nationaux socialistes convaincus, soumis à de sévères critères de sélection notamment basés sur les théories raciales nazies. La Waffen SS est constituée des SS Totenkopfverbände, chargée de la garde des camps de concentration commandée par Theodor Eicke, l'assassin d'Ernst Röhm. Au fil du temps, et surtout à partir de la fin de l'année 1942, elle intégra des troupes de toutes origines, des Volksdeutsche dans une première phase, puis des personnes essentiellement issues des pays occupés, de la Belgique à l'Albanie, du Danemark à l'Ukraine, sans se soucier de leur éventuelle origine germanique. Ces unités non allemandes furent largement majoritaires à partir de 1944, avec près de 700 000 hommes sur un total de près d'un million de membres de la Waffen SS, pendant toute la durée du conflit. Durant la longue période de retraite et le déclin des allemands, la discipline guerrière des Waffen SS demeura inchangée, et leurs ardeurs au combat inégalée jusqu’à la dernière minute, lorsqu'ils combattirent dans les ruines de Berlin. . . - Voir aussi luniforme de la Waffen-SS, l’autre officiant pour le SipoSD), vient de signer un ouvrage remarqué avec un rescapé de la Shoah. Bart De Wever, président de la N-VA, et son frère Bruno, historien respecté et renommé, I l fallait le voir, Léon, le beau Léon, déposer des bises sur les joues de ses anciens camarades du front de l’Est.
296 669 475 banque de photos, images 360° panoramiques, vecteurs et vidéosEntrepriseSélectionsPanierBonjour!Créer un compteSélectionsNous contacterSélectionsPartagez des images Alamy avec votre équipe et vos clientsCréer une sélection ›EntrepriseTrouvez le contenu adapté pour votre marché. Découvrez comment vous pouvez collaborer avec EntrepriseÉducationJeuxMuséesLivres spécialisésVoyagesTélévision et cinémaRéservez une démonstrationRechercher des imagesRechercher des banques d’images, vecteurs et vidéosFiltresWaffen ss Photos Stock & Des Images0
WaffenGrenadier-Division der SS „Charlemagne“ (französische Nr. 1), dite Division Charlemagne, est l'une des 38 divisions de la Waffen-SS qui sert durant la Seconde Guerre mondiale. Elle est constituée de Français volontairement engagés sous l'uniforme Waffen-SS pour combattre le bolchevisme. La Division Charlemagne a été formée à partir de la Sturmbrigade, de la LVF et
403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID w3gPMM9plvtAxQvo8Fos1uVkT_UHlSTk6ye4_ful4gbR0B5h5xuFSA==
JeanLeymarie du lundi au vendredi à 7h50. En Allemagne, un opéra de Wagner provoque un scandale. Le metteur en scène a transposé "Tannhäuser" à
Consulter les messages sans réponse Consulter les sujets actifs Auteur Message Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 19 Oct 2009 805 Modérateur Général Inscription 27 Oct 2007 934Messages 2625Localisation Myrelingues la brumeuse Narduccio a écrit J'ai dans ma bibliothèque un livre de témoignages de "Malgré-Nous" enrôlés de force dans les waffen-SS. On a posé à tous ces gens des questions identiques et à la question "vous a-t-on fait subir des épreuves d'admissions, des rites initiatiques ?", ils ont tous répondu "non". J'aurais donc tendance à croire que ça ne se faisait pas ou que ça ne se faisait plus en est une question de date! avant 1940-41, les SS correspondaient aux critères de sélection physique et raciale. Le genre de tests de sélection, a parfaitement pu avoir lieu dans cet environnement fortement motivé voire fanatisé. Après, la priorité change et on n revient à des critères beaucoup plus souples,comme dans toutes les armées du monde. J''ai dans mes archives des affiches invitant à rejoindre la SS. Si de la pub est faite, c'est que les candidatures spontanées sont insuffisantes et on ne peut plus se permettre d'être trop regardant. _________________ C'est l'ambition qui perd les hommes. Si Napoléon était resté officier d'artillerie, il serait encore sur le Prudhomme Haut WüstenFuchs Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 19 Oct 2009 1716 Inscription 23 Juin 2009 1607Messages 184 Cuchlainn a écrit Pour ma part je n'ai pas entendu parler d'épreuve initiatique plus ou moins ésotérique. On remplissait des dossiers de candidature autour des critères physiques et raciaux, on subissait un endoctrinement intense, le SS, selon Himmler, devait être prêt à exécuter sa mère si l'ordre en était donné, mais d'épreuve... La SS, après et même avant la prise du pouvoir, n'était pas une secte ni une êtes très proche de la vérité/rélaité Cuchlainn. Mon grand-oncle a été appelé dans la Waffen SS en 1943 et un an plus tard il trainait sa propre mère par les cheveux à travers la cuisine et frappait ma grand-mère. Ils ont en fait un propos du recrutement, je sais qu'il y avait une lutte entre la Wehrmacht et la SS. Quand le recruteurs de la SS étaient en face d'un type hésitant, ils posaient une simple question du genre Vous avez quelque'chose à nous reprocher ? Haut PaulRyckier Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 19 Oct 2009 2143 Inscription 21 Sep 2008 2329Messages 1522Localisation Belgique Re Message du 19 Octobre 18h15Wüstenfuchs,avez-vous vu le film Napola? C'est un Allemand qui m'avait l'annoncé sur le forum histoire du BBC. Par hasard j'ai pu l'acheter dans une boutique pour 5 Euros. Après on a discuté le film sur le Haut Narduccio Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 19 Oct 2009 2201 Inscription 15 Avr 2004 2226Messages 15197Localisation Alsace, Colmar PaulRyckier a écrit Re Message du 19 Octobre 18h15Wüstenfuchs,avez-vous vu le film Napola? C'est un Allemand qui m'avait l'annoncé sur le forum histoire du BBC. Par hasard j'ai pu l'acheter dans une boutique pour 5 Euros. Après on a discuté le film sur le le rapport avec cette discussion ? Et les autres on n'a pas le droit de participer à la discussion ? Et les non anglophones ? _________________Une théorie n'est scientifique que si elle est Charlie Haut Tourblanche Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 19 Oct 2009 2209 Inscription 20 Avr 2007 547Messages 555Localisation Nouvelle-France Citer - Dégoupiller une grenade et la tenir en équilibre jusqu'à explosion sur son casque en gardant un garde à vous impeccableQu'est-ce que vous dites ? Pouvez vous parler plus fort ? Pouvez vous répéter SVP ? Dépouiller une panade ? Pas très vraisemblable . Haut Narduccio Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 19 Oct 2009 2235 Inscription 15 Avr 2004 2226Messages 15197Localisation Alsace, Colmar Tourblanche a écrit Pas très vraisemblable .D'après plusieurs témoignages, il semblerait bien que oui. En fait, il s'agit souvent d'une grenade d'exercice. Ensuite, on se retrouve dans une espèce de cône ou il y a peu d'effets. Donc, c'est très spectaculaire et peu dangereux ... sauf si on tremble et qu'on fait glisser la grenade et qu'elle vous explose au visage. Mais, on ne gagne pas à tout les coups aux jeux de cons. _________________Une théorie n'est scientifique que si elle est Charlie Haut Lord Foxhole Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 19 Oct 2009 2237 Inscription 28 Mai 2009 2152Messages 1633Localisation Belgique Tourblanche a écrit Citer - Dégoupiller une grenade et la tenir en équilibre jusqu'à explosion sur son casque en gardant un garde à vous impeccableQu'est-ce que vous dites ? Pouvez vous parler plus fort ? Pouvez vous répéter SVP ? Dépouiller une panade ?Pas très vraisemblable .Ben ça dépend quel genre de grenade aussi... Certaines faisaient plus de bruit que de mal ! Ou alors, ils avaient des casques spéciaux, trés épais ! En tous cas, dans cette discussion, je crois que l'on s'embrouille un peu... A commencer par le fait que ce sujet à été placé dans la rubrique " Entre deux guerres ", ce qui aurait tendance à laisser supposer que l'on s'intéresse d'abord à la SS d'avant la guerre ! Or, ici, on mélange un peu tout... SS et Waffen-SS, période d'avant-guerre et période de la Seconde guerre mondiale ! Rappelons que la SS, organisation tentaculaire, a beaucoup évolué au cours des années, et qu'elle s'est impliquée dans de nombreuses tâches... Y compris celles concernant la Solution Finale ! _________________“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard Haut PaulRyckier Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 002 Inscription 21 Sep 2008 2329Messages 1522Localisation Belgique Re Message du 19 Octobre mon message est un peu "trompant", mais le sujet du film est le recrutement dans le SS et le lien est un résumé en français de la chaîne franco-allemande Haut Tourblanche Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 421 Inscription 20 Avr 2007 547Messages 555Localisation Nouvelle-France Citer Certaines faisaient plus de bruit que de mal ! Et la surdité ? Ils n'obéissaient qu'aux ordres écrits par la suite ?Citer Or, ici, on mélange un peu tout... SS et Waffen-SS, C'était justement le sujet que j'aborde ici Haut WüstenFuchs Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 1013 Inscription 23 Juin 2009 1607Messages 184 PaulRyckier a écrit Re Message du 19 Octobre 18h15Wüstenfuchs,avez-vous vu le film Napola? C'est un Allemand qui m'avait l'annoncé sur le forum histoire du BBC. Par hasard j'ai pu l'acheter dans une boutique pour 5 Euros. Après on a discuté le film sur le Paul,Je n'ai pas vu le film, en revanche, j'ai lu l'article accompagnant le film, je n'avais jamais entendu parler des Napola. Mais, cela explique peut-être les actes crimes de mon triste histoire en tous cas Il a même tenté d'assassiner mon grand-père après la guerre car celui-ci s'est rendu aux anglais. Haut Barns Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 1134 Inscription 09 Juil 2006 1143Messages 332 Theodose a écrit , il n'a eu de relation sexuel avec qu'une femme que vers 21 ansil me semble, et une seconde fois vers 28 alors ? _________________"la guerre est la paix" "la liberté est l'esclavage" "l'ignorance est la force" 1984 d'URL dans les signatures SVP voir la charte Haut Barns Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 1158 Inscription 09 Juil 2006 1143Messages 332 lespagnol a écrit visitant le musée de Vassieux en Vercors, on y apprend l'existence de ces rites - Arracher les yeux d'un chat sans le tuer et sans protection et les présenter intact à l'examinateurchez nous en France, je l'ai fais en stage commando, on tue les poulets avec les dents,des camarades particulièrement cruels faisaient subir à ces pauvres animaux des sévices avant de les tuer donc des cinglés il y en a partout, mais je suis quand même étonné pour l'histoire des chats...lespagnol a écrit - Dégoupiller une grenade et la tenir en équilibre jusqu'à explosion sur son casque en gardant un garde à vous impeccablealors çà j'aimerais le voir de mes yeux une OF grenade offensive générant peu d'éclats fais quand même un sacré boucan, sans compter le souffle et la a écrit creuser une fosse à la pelle de tranchée où se blottir sachant qu'un char vous fonce dessusJe l'ai fais aussi, trou de combat et au coup de sifflet on se baisse, le char vous passe au dessus, puis on sort du trou et il faut toucher l'arrière, il roule doucement. Plus difficile allongé et en appui sur une main un bras tendu vers l'avant, la chenille ou la trouille vous touche et vous rouler sur le côté, mouvement effectué à Pont-st-Vincent en 1989 tout celà n'a rien d'exceptionnel pour une arme d' y a bien pire. Jlespagnol a écrit e ne connais pas le caractére systématique de ces rites et/ou épreuves dans la SS ; mais franchement il s'agisait bien de VRAIS cinglés ...!!!Je ne crois pas que Meyer, Wünsche s et tant d'autres soient cinglés. _________________"la guerre est la paix" "la liberté est l'esclavage" "l'ignorance est la force" 1984 d'URL dans les signatures SVP voir la charte Haut lespagnol Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 1204 Inscription 26 Juin 2008 1731Messages 331 Il me semble avoir insisté sur le caractére cinglé de ces épreuves - le chat , je l'ai lu de mes yeux lu - la grenade aussi, il est même précisé que parfois cela donné un estropié - le char FONCAIT sur la recrue ... Haut X20 Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 1212 Inscription 06 Sep 2007 919Messages 47 Barns a écrit chez nous en France, je l'ai fais en stage commando, on tue les poulets avec les dents,Allons, allons... Je l'ai fais aussi, trou de combat et au coup de sifflet on se baisse, le char vous passe au dessus, puis on sort du trou et il faut toucher l'arrière, il roule doucement. Plus difficile allongé et en appui sur une main un bras tendu vers l'avant, la chenille ou la trouille vous touche et vous rouler sur le côté, mouvement effectué à Pont-st-Vincent Sauf que le trou était déjà creusé et bétonné et que le char avançait très doucement... Haut noisette7 Sujet du message Re Le recrutement dans la SSPublié 20 Oct 2009 1536 Inscription 11 Fév 2009 2001Messages 142 A une époque, j'ai lu pas mal de livres à ce ce qui concerne la période avant-guerre, la sélection était effectivement rigoureuse il fallait prouver son origine aryenne et ses convictions pro-nazies, ensuite les critères physiques mettaient la barre très haut on ne tolérait même pas une dent plombée!. L'entraînement se passait dans les châteaux de l'Ordre la SS, un Ordenburg. Par contre, je ne me souviens pas avoir lu quoique ce soit sur les chats pauvres matous mais plutôt sur les chiens on apprenait aux recrues à tuer un chien sans autres armes que leurs mains. Tout cela donnait sûrement de "bons soldats", d'admirables machines à tuer obéissant au doigt et à l'oeil; cependant, au sein de la Waffen SS, il y avait un problème d'encadrement car l'accent mis uniquement sur les critères raciaux et idéologiques délaissait fâcheusement les qualités purement militaires et beaucoup de ces superbes icônes aryennes étaient incapables ou plus-que-médiocres sur un champ de bataille. Haut Qui est en ligne ? Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur inscrit et 1 invité Vous ne pouvez pas publier de nouveaux sujets dans ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumVous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forumVous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forumVous ne pouvez pas insérer de pièces jointes dans ce forum
Lasa connaît également un grand succès et les 1 240 (certaines sources évoquant même le chiffe de 1 500) membres de la Standarte 174 peuvent accueillir le Stabschef sa Viktor Lutze le 18 mai 1941 pour la prestation de serment. La ss semble avoir beaucoup plus de peine dans le recrutement de membres .
PinterestExploreWhen autocomplete results are available use up and down arrows to review and enter to select. Touch device users, explore by touch or with swipe Pins 3yCollection by Christophe SchmittSimilar ideas popular nowHistoryGerman HistoryWorld War IIWwii Propaganda PostersPolitical PostersLudwigPoster AdsMilitary HistoryWorld War IiVintage PostersIllustrationsRecruitment PosterLudwig Hohlwein 1874 - 1949 architecte et plasticien PropagandaWw2 PostersGermany Ww2Germany NorwayPostal VintageVintage SkiLuftwaffe"Venez au nord avec nous" Affiche de recrutement norvégienne pour le bataillon de ski norvégien de la SSGerman Soldiers Ww2German ArmyMilitary PhotosChurchillAfrika KorpsWinter AttireBerlinJosef "Sepp" DietrichDarth VaderFictional CharactersT ShirtsMilitary PersonnelFantasy CharactershitlerPropaganda PostersGerman UniformsThe Third ReichCoat Of ArmsInsigniaLegionFirst "Langemarck". Kampfgruppe Berlin 1945Tom PatchMilitary ArtAlbanian LanguageNon Commissioned OfficerWwii UniformsWarsaw PactFlag TattooMilitary Insignia21st Waffen Mountain Division of the SS Skanderbeg - WikipediaMilitary PosterIi GmGerman StampsSotaPanzer DivisionMilitary DrawingsNurembergLégion SS flamandeLegion122MilitaireWorld War TwoOdessa"Kameraden" German WWII Waffen propaganda/recruiting poster of 6th SS Mountain Division NordHistory Of GermanyPicture PostcardsStatOld Advertisements3rd Reich NSKOV 2nd Saxony Veterans Day Propaganda CardBuilding An EmpirePennant BannersHand WrittenBlack LinenArm BandWw2World WarEvilHow To Memorize ThingsEarly SS "Motorstandarte 10" flag_Roughly 46cm x 46cm. White and black linen construction. Machine embroidered early eagle over "M10". Has numerous tear and stains. Still attached to its original wooden dowel. Hand written to the bottom left corner is the word "Hechingen". ArmyMilitariaJewelry RingsCuff BraceletsGermanSkullRings For MenSilver RingsBeltKrishan SriyanthaMilitaireMilitary RanksMilitary UniformMilitary WeaponsCollar tabs kragenspiegel des volontaires étrangers de la Waffen-SS Par colonne, de haut en bas puis de gauche à droite - Runes - 5. SS-Panzer-Division „Wiking“ - 33. Waffen-Grenadier-Division der SS „Charlemagne“ französische Nr. 1 - 7. SS-Freiwilligen-Gebirgs-Division „Prinz Eugen“ - 11. SS-Freiwilligen-Panzergrenadier-Division „Nordland“ - 13. Waffen-Gebirgs-Division der SS „Handschar“ kroatische Nr. 1 - 14. Waffen-Grenadier-Division der SS ...Ww2 PicturesWwii PhotosNordlandJoachim PeiperBeast's CastleZoom in real dimensions 599 x 777Ww2 HistoryArmy DivisionsWw2 PhotosA handy little ID guide to the more common World War II German insignia’s. I grabbed this because I noticed that in the tagged WW2 photos there were a number I could not ID. A 34th SS Gren Division “Nederland Storm Country B-23rd Volunteer Panzer Gren Div. “Nederland” C-24th Waffen SS Mountain Div. “Karst Jager” D-25th Waffen SS Gren Div. “No Hungarian. 2” D-26th Waffen SS Gren Div. “Hungarian no. 3” R-15th Waffen SS Gren Division ...Wwii PropagandaBillboardRetroPaper ArtGermanyAdvertisingArmy DrawingMan Of WarAngel Of DeathWeird FactsSocialismWaffen-SSHans DeckerMilitaire
Celivre fait l'itinéraire de milliers d'anciens soldats allemands de la Wehrmacht et de la Waffen-SS qui ont combattu pour la France en Indochine après avoir servi de

Drapeau de la Légion flamande. Affiche de recrutement pour la Légion flamande. La Légion flamande Vlaams Legioen fut une unité militaire composée de volontaires flamands qui combattirent, aux côtés des allemands, l'Armée rouge sur le front de l'Est durant la Seconde Guerre mondiale. Historique Précurseurs de la Légion Standarte Westland et Standarte Nordwest Dès la création de la Waffen-SS, un conflit opposa le Reichsführer-SS Heinrich Himmler et l'armée régulière allemande la Wehrmacht. Les généraux allemands voyaient dans la Waffen-SS, qui était en quelque sorte le bras armé d'une organisation politique, une menace pour leur position. La Wehrmacht reçut d'Adolf Hitler la promesse qu'annuellement seulement 2% des recrues allemandes seraient autorisées à rejoindre les rangs de la Waffen-SS. Après l'invasion de la Norvège et du Benelux, Himmler a vu l'occasion pour la Waffen-SS d'accroître ses effectifs avec des soi-disant volontaires germaniques, qui seraient recrutés en dehors de l'Allemagne et ne seraient donc pas soumis à l'arrangement avec la Wehrmacht. À la fin juin 1940, le Standarte Westland fut créé et des appels parurent dans la presse flamande. L'Algemeene-SS Vlaanderen était particulièrement engagée dans le recrutement de volontaires. À Anvers, l'occupant allemand ouvrit une bureau de recrutement appelée Ergänzungsstelle sous la direction du Hauptsturmführer Leib, mais en raison des critères sévères en matière de sélection, il ne restait que 45 volontaires pour le régiment SS-Westland, composé de Flamands et de Néerlandais. Ces volontaires flamands furent finalement absorbés par la 5e Panzerdivision SS Wiking. Afin d'intégrer le grand nombre de personnes non-sélectionnées, Himmler décida le 3 avril 1941 de créer le Freiwillige SS Standarte Nordwest, y assouplissant les conditions d'admission strictes. La taille minimale fut réduite à 1,65 m et l'enquête généalogique fut moins approfondie. Les campagnes de recrutement eurent plus de succès et environ 450 recrues flamandes se rendirent en Allemagne pour y suivre un entraînement. Convictions des volontaires Bien que chaque volontaire eut ses propres raisons pour s'engager dans la Waffen-SS, on admet généralement que les 5 principales raisons furent Le charisme d'une armée allemande victorieuse. À l'été 1940, les Allemands semblaient invincibles et leur armée utilisait du matériel et les tactiques les plus modernes. L'aventure a attiré beaucoup de jeunes. L'aspect pécuniaire. Un aspect qui ne peut certainement pas être sous-estimé la Flandre a connu une crise majeure caractérisée par un taux de chômage élevé. L'incorporation signifiait la sécurité financière également pour les autres membres de la famille.[réf. nécessaire] Le nationalisme flamand. C’est l’une des motivations les plus importantes la Belgique était perçue comme un pays incapable de répondre aux besoins flamands [réf. nécessaire] et ils souhaitaient que la Flandre prenne en main son destin. L'admiration pour le nazisme. Le VNV, le Verdinaso et l'encore plus fanatique DeVlag, les trois plus importants partisans de la collaboration en Flandre, prirent au fil du temps certains aspects de l'Allemagne nazie pour exemple et voulait contribuer au développement d'une Europe dominée par l'Allemagne. Certains membres pensaient pouvoir jouer un rôle dans la gestion de la Flandre après la victoire allemande. Parce que le nationalisme flamand était à l'origine de ces partis, ce point et le précédent sont, dans une certaine mesure, interconnectés. Les croyances des volontaires. Un exemple typique est la résistance au communisme athée en tant que motif important pour rejoindre la Légion flamande. Juillet 1941 création de la Légion flamande Initialement, le recrutement en Flandre pour la Waffen-SS ne concernait que l'Algemeene-SS Vlaanderen. En avril 1941, le VNV décida de soutenir la campagne de recrutement pour la Waffen-SS. Staff Declercq espérait ainsi accroître son influence politique. Le général SS Gottlob Berger, chef du SS-Hauptamt und SS-Ergänzungsamt, avait en effet promis au VNV qu'en échange d'un recrutement actif, le VNV deviendrait le seul parti politique en Flandre. La campagne de recrutement du VNV a vraiment commencé après l'attaque allemande contre l'Union soviétique le 22 juin 1941. Reimond Tollenaere, chef de la propagande du VNV, fut la principale inspiration de cette campagne de recrutement qui appelait la jeunesse flamande à combattre le communisme sans Dieu. Le 7 juillet 1941, Staf Declercq annonçait la création d'une légion flamande. Selon les promesses qu'il avait reçues de l'occupant allemand, cette unité serait entièrement composée de Flamands, aussi bien officiers que soldats, et se battraient sous leur propre drapeau, le lion flamand. Le commandement serait dirigé par un commandant SS, mais ils ne feraient pas partie de la Waffen-SS. Des personnalités du VNV telles que Reimond Tollenaere, Jef François et Paul Suys postulèrent pour la légion. Le 6 août 1941, environ 450 volontaires quittèrent Bruxelles pour le camp d'entraînement Dębica en Pologne. Entraînement Immédiatement après leur arrivée au camp d’entraînement, les premiers problèmes se posèrent. En plus de la Légion de volontaires néerlandais, les Waffen-SS flamands du Standarte Nordwest se trouvaient également à Dębica. Le Hauptsturmführer Otto Reich, commandant du camp d'entraînement, ordonna de réunir les Flamands dans une seule unité. Les hommes du Standarte Nordwest considéraient les légionnaires comme des soldats inférieurs et refusaient de coopérer avec eux. Les légionnaires quant à eux, ont tenu les promesses faites par Staf Declercq et refusèrent de porter un uniforme SS. Il était clair que le SS-Hauptsturmführer Otto Reich n'était pas au courant des éventuels accords et qu'il n'allait pas s'immiscer dans ces différends politiques. Il rassembla tous les Flamands et leur proposa le choix de se battre contre le bolchevisme ou de rester en réserve derrière le front. Environ la moitié choisit de se battre et ils furent affectés au Standarte Nordwest. Le reste fut temporairement affecté à la Légion de volontaires néerlandais. Au cours de la dure formation, il y avait peu de temps pour mener des discussions politiques. La discipline militaire ne faisait aucune distinction et les instructeurs allemands les entraînaient à la limite de leur endurance. Le 24 septembre 1941, le SS-Hauptamt et le SS-Ergänzungsamt décidèrent de procéder à une profonde réorganisation. Pour des raisons de propagande, il fut décidé qu'il était plus intéressant d'utiliser des légions de volontaires. Le Standarte Nordwest fut supprimé et transformé en la SS-Freiwilligen Legion Niederlande et la SS-Freiwilligen Legion Flandern. Sur le front Le 4 novembre 1941, le commandement de l'armée allemande estima que l'entraînement de la Légion flamande était terminé et l'unité fut envoyée au front. Environ 1100 soldats rejoignirent le front à Léningrad dans des conditions météorologiques difficiles. Initialement, la Légion ne fut pas utilisée comme unité de première ligne, mais employée dans la lutte contre les partisans. Les dirigeants de l'armée allemande ne faisaient pas suffisamment confiance aux unités de volontaires étrangers pour les déployer au front. Dans le cadre de la 2. SS-infanteriebrigade, la légion joua le rôle d'unité de surveillance des ponts et des voies ferrées. Les premiers légionnaires sont morts durant des combats contre les partisans. Cette façon de combattre donna aux Flamands l'expérience nécessaire et, au bout de six semaines, la légion fut déployée comme unité de première ligne. La Légion flamande s'est vue attribuer un secteur de front dans la région marécageuse de Wolchow. Les volontaires espagnols se trouvaient au nord des flamands. Le 7 janvier 1942, la 2e Armée de choc soviétique lance une attaque en direction de Leningrad dans l'espoir de briser l'encerclement de la ville par les Allemands. Les Russes ont fait un écart de 20 km dans les lignes de défense allemandes, mais l’attaque s’enlisa vite dans les marais. De concert avec les Espagnols, la Légion flamande réussi à maintenir sa position aux prix de lourdes pertes. L'entêtement avec lequel les Flamands défendirent leurs positions donna aux Allemands la possibilité d'envoyer des renforts. Durant ces combats, Reimond Tollenaere est tué dans son bunker, touché par l'artillerie espagnole. Directement après sa mort, le VNV démarra une campagne de propagande autour de sa personne, dissimulant habilement qu'il avait été tué par sa propre artillerie. Le 19 mars 1942, la contre-attaque allemande commença et la 2e armée de choc soviétique fut encerclée. La Légion flamande fut ensuite chargée de détruire les troupes soviétiques encerclées. Ces combats furent extrêmement difficiles car les Soviétiques s'étaient fermement retranchés dans d'innombrables bunkers et tranchées. Ce n'est que le 29 juin 1942 que les dernières unités soviétiques se rendirent. Pendant les combats, la Légion flamande fut mentionnée à trois reprises dans le Wehrmachtbericht. Après six mois de front ininterrompus, la Légion flamande épuisée fut relevée. Sur les 1100 soldats d'origine, il n'en restait qu'une centaine. Après une période de repos et l’'arrivée de nouvelles recrues, la Légion flamande fut de nouveau envoyée sur le front à Léningrad le 21 juillet 1942. Les légionnaires se distinguèrent dans cette guerre de position. Par petits groupes, ils attaquaient les bunkers soviétiques et la nuit, leurs patrouilles pénétraient profondément dans les lignes ennemies, où ils effectuaient des embuscades. Le 12 janvier 1943 l'Armée rouge lança sa seconde tentative pour libérer Léningrad. Le 10 février 1943, la 55e armée russe attaqua les positions de la division Azul pour tenter de dégager la route reliant Léningrad à Moscou. Près de Krasny Bor, les Espagnols résistèrent à trois divisions soviétiques, mais la force d'attaque soviétique fut finalement trop grande. La Légion flamande a reçu l'ordre de lancer une contre-attaque pour reprendre les hauteurs de Staraïa Roussa. Bien que cette action fut un succès, la Légion ne comptait plus que 50 soldats après la bataille. Le 14 avril 1943, la Légion flamande fut renvoyée au camp d'entraînement de Dębica et transformée en la 6. SS-Freiwilligen-Sturmbrigade Langemarck. Une partie des volontaires refusèrent de prêter serment. Ils considéraient leur intégration dans la Waffen-SS comme une violation des accords passés avec les dirigeants du VNV lors de la création de la Légion flamande. Commandants Nom Grade Début Fin Michael Lippert SS-Sturmbannführer Septembre 1941 Avril 1942 Hans-Albert von Lettow-Vorbeck SS-Obersturmbannführer Avril 1942 Juin 1942 Hallmann SS-Hauptsturmführer Juin 1942 Juin 1942 Josef Fitzthum SS-Obersturmbannführer Juin 1942 Juillet 1942 Conrad Schellong SS-Sturmbannführer Juillet 1942 Mai 1943 Voir aussi Algemeene-SS Vlaanderen Division Langemarck Lien externe nlLégion Flandres Bibliographie nlBruno De Wever, Oostfronters. Vlamingen in het Vlaams Legioen en de Waffen-SS, 1984, ISBN 9789020911923 nlWilly Massin, Limburgers in het Vlaams Legioen en de Waffen-SS, 1991 nlKarl Unruh, Langemarck. Legende und Wirklichkeit, 1995, ISBN 3763759492 nlKristof Carrein, Vlamingen in de Waffen-SS en het Vlaams Legioen. Een sociografie, licentiaatsthesis UGent, 1998 nlPieter Jan Verstraete, Vlamingen aan de Narva. Kampfgruppe D'Haese, zomer 1944, 2015, ISBN 9789461536648 nlFrank Seberechts, Drang naar het Oosten. Vlaamse soldaten en kolonisten aan het oostfront, 2019, ISBN 9789463100830 Sources nl Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en néerlandais intitulé Vlaams Legioen » voir la liste des auteurs.

Viewsold price and similar items: Affiche de recrutement pour la Waffen SS française en papier, dessin en noir et blanc de Ottomar Anton (1895-1976) représentant deux soldats de la Waffen SS en tenue camouflée. Texte en français « Coude à coude contre l’ennemi commun ! from Caen Encheres on Invalid date CET.

3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 2034 Introduction Pris en tenaille entre les totalitarismes hitlériens et staliniens, les Ukrainiens ont dans leur immense majorité vaillamment combattu pour la liberté et l'indépendance de leur terre. Un grand nombre d'entre eux se sont employés au péril de leur vie à sauver des Juifs. A ce titre, la prestigieuse institution israelienne Yad Vashem a établi que l'Ukraine constitue le quatrième pays d'où sont originaires les justes parmi les nations. Mais tandis que ces hommes et ces femmes faisaient briller des lumières d'humanité, quelques Ukrainiens se sont perdus dans un irréparable engagement au service de l'occupant. Il convient de faire la lumière avec objectivité sur cette infime minorité dont les obscurs desseins ne sauraient ternir le flambeau de la résistance ukrainienne. L’idée de former des troupes slaves chargées de lutter contre l’URSS avait déjà germé, chez les militaires allemands et dans l’entourage de Rosenberg, ministre nazi chargé des Territoires de l’Est dès après le début de l’Opération Barberousse. L’hostilité des populations contre le régime communiste semblait leur donner raison. Hitler et son entourage rejeta cette proposition il n’était pas question de former de grandes unités indépendantes composées majoritairement d’untermenschen slaves. Au début de l’année 1943, les pertes s’accumulant, les critères d’enrôlement dans la Waffen-SS s’assouplirent et on vit la formation de plusieurs divisions dans les Pays Baltes, France, Croatie, Belgique Wallonie, etc. De son côté, le Gouverneur allemand du District de Galicie, Otto von Wächter, appuyé en cela par le Comité Central Ukrainien siégeant à Kraków Cracovie, le gouvernement en exil de l’UNR et diverses organisations dont une partie de l’Eglise Gréco-catholique, pris la décision de créer une division de Waffen-SS dans son territoire et destinée à combattre uniquement sur le front de l’Est. Cette décision fut annoncée officiellement le 28 avril 1943. Pour faire passer la pilule, le nom choisi pour la division fut SS Freiwilligen Division Galizien’, reprenant ainsi le vieux nom de la province autrichienne qui permettait d’éviter l’adjectif Ukrainische’. De nombreux volontaires se présentèrent. Comme toujours, on y trouvait de tout des aventuriers, des gens qui pensaient échapper à leurs conditions de vie, des volontaires qui croyaient intégrer une nouvelle Légion Ukrainienne identique à celle les Sichovi Striltsi qui avait combattu contre les Russes dans l’Armée austro-hongroise au cours du premier conflit mondial, des adhérents au gouvernement en exil de l’UNR et des nationalistes orientés par l’OUN, tendance Melnyk laquelle jouissait d’une certaine faveur auprès d’une partie du clergé Gréco-Catholique de cette époque. Beaucoup croyaient que c’était le premier pas pour la formation de la future armée de l’Ukraine indépendante. Il est à remarquer que l’OUN b, c-à-d OUN tendance Bandera marqua nettement son hostilité et donna des instructions pour éviter l’embrigadement de jeunes ukrainiens dans cette unité. Pour contrebalancer la propagande allemande, elle pris immédiatement l’initiative de former en Galicie des Unité Populaires d’Auto-Défense Ukrayinska Narodna Samooborona - UNS, lesquelles prirent le nom d’UPA-Ouest en janvier 1944. L’OUN tendance Melnyk, eut une attitude plus équivoque. Elle ne s’opposa pas à l’enrôlement de jeunes ukrainiens en invoquant le prétexte que de jeunes recrues formées par les militaires allemands seraient très utiles pour des luttes futures. LA DIVISION Commandement La SS Freiwilligen Division Galizien’ était commandée par des officiers allemands et ukrainiens. Les postes d’officiers supérieurs étant uniquement occupés par les Allemands. On comptait 600 officiers détachés par Berlin dont la moitié étaient Hollandais et l’autre moitié provenait de Prusse orientale. Il y avait aussi 300 officiers ukrainiens qui avaient servit dans l’armée austro-hongroise au cours de la 1e guerre, une centaine d’ukrainiens de Galicie ex-officiers de l’armée polonaise et une autre centaine qui avaient commandé dans les rangs de l’UNR du Dniepr » en 1917-1921. Outre les officiers supérieurs, les corps techniques étaient uniquement composés de troupes allemandes, ce qui créa des frictions vu leur dédain pour les Galiciens/Ukrainiens. Le commandant en chef fut, au départ, le SS Oberführer Fritz Freitag, et son chef d’Etat-major le Sturmbannführer Commandant Wolf Heike. Tous les commandants de régiments étaient allemands Les Sturmbannführer Binz et l’Obersturmbannführer Lieutant-Colonel Franz Lechthaler commandaient les régiments de police. Les Soldats Les soldats qui étaient sélectionnés devaient mesurer au moins 1,65 m et devaient avoir de 18 à 35 ans. Les membres de l’OUN-B étaient interdits même si un certain nombre parvint à s’infiltrer sur ordre. L’uniforme était celui de la Wehrmacht ; sur l’épaule droite était cousu un écusson représentant le Lion de Galicie et trois couronnes. Il était interdit de porter le trident ukrainien le Lion de Galicie était un symbole régional au contraire du trident qui était un symbole national. Au 23 juillet 1943, la commission de recrutement avait examiné candidats. Seuls furent trouvés physiquement aptes pour le service. Il est vrai qu’un nombre non négligeable de jeunes hommes bien portant » avait déjà été raflés pour le travail obligatoire en Allemagne ! Le Hauptführer K. Schultz fit le rapport suivant pour Berlin Si environ volontaires s’étaient présentés, seuls avaient été acceptés. Parmi eux, furent dirigés vers d’autres tâches, furent utilisés pour des travaux divers, furent pris comme recrues, furent libérés » pour raison de santé et furent incarcérés dans des camps ! La division se composait de trois régiments d’infanterie, d’un d’artillerie et d’un régiment de réserve à l’entraînement. Les unités adjointes consistaient en trois bataillons de fusillers, des troupes du génie, des services de communication et de DCA ainsi qu’un hôpital de campagne. BATAILLES Après une formation en Prusse orientale et en Silésie, la division fut envoyée sur le front au début de l’année 1944. Malgré son manque d’expérience, elle était bien équipée et avait subi un entraînement sévère. Brody La division fut dirigée dans la région de Brody où avait lieu des combats très durs et attachée au 13e Corps d’Armée qui comptait six autres divisions d’infanteries allemandes déjà éprouvées. Le 8 juillet 1944, le 13e Corps fut transféré à la 1e Panzer Armée qui dut faire face à l’offensive des forces soviétique sous les ordres du Maréchal Konev. Le 19 juillet, après de féroces combats, la division et les autres unités allemandes étaient encerclées. Toutefois une partie de ses éléments parvint à s’échapper. Sur les soldats présents à Brody, environ rejoignirent immédiatement la division. autres réapparurent plusieurs mois après s’être cachés dans les forêts avoisinantes et environ rejoignirent l’UPA. Environ hommes avaient été tués et capturés. Slovaquie et Slovénie Les Allemands reconstituèrent la division, ce qui prit plusieurs mois, à l’aide des troupes de réserve et de bataillons de police. Ces derniers, inclus sous la contrainte, n’étaient guère disposés à se transformer en combattants SS. N’ayant plus de valeur combative, la division fut envoyée début octobre 1944 en Slovaquie pour réduire le soulèvement qui s’y était produit. Fin janvier 1945, elle fut déplacée en Slovénie pour y combattre les partisans de Tito tout en y maintenant des relations amicales avec la guérilla anti-communiste serbe des Tchetnik. Bien qu’un ordre supérieur fût donné pour la désarmer, elle fut ensuite dirigée vers le front autrichien pour y boucher les trous ». Graz Du 1er avril 1945 jusqu’à la fin de la guerre, la division, forte d’environ hommes et complétée par des prisonniers de guerre soviétique d’origine ukrainienne, eut à combattre contre l’Armée rouge dans la région de Graz en Autriche. 1e Division Ukrainienne UNA Le 17 mars 1945, des Ukrainiens émigrés mirent en place le Comité National Ukrainien pour représenter les intérêts des Ukrainiens devant les autorités du IIIe Reich Bandera, sorti du camps de concentrations de Sachsenhausen fin 1944 déclina cette invitation ». Parallèlement, on créa l’Armée Nationale Ukrainienne sous les ordres du Général Pavlo Chandruk. La division Galizien’ devint alors la 1ère division ukrainienne et les troupes prêtèrent un nouveau serment, celui de loyauté au peuple ukrainien. A la capitulation allemande, la plupart des soldats environ se rendirent aux forces britanniques qui les transférèrent à Rimini, en Italie - il y passèrent deux ans comme prisonniers de guerre - puis en Angleterre. Lors de la reddition, environ 200 hommes avaient choisi de passer dans l’Armée polonaise commandée par le Général Anders. Ils travaillèrent en Grande-Bretagne comme ouvriers puis furent libérés. La plupart émigrèrent aux Etats-Unis. Le changement de nom de la division, le fait que ces soldats étaient jusqu’en 1939 citoyens polonais ainsi que l’intervention du Vatican évitèrent pour ces hommes une tragique déportation vers les geôles d’URSS. Accusations d’atrocités Voir en anglais Le 23 février 1944, il semble démontré qu’un petit détachement de la division qui resta à l’entraînement jusqu’en mai 1944 pris part à une action de police contre des partisans soviétiques et des soldats de l’Armée de l’Intérieur AK polonaise dans le village de Huta Pieniacka région de Lwów / L’viv. Voir le lien ci-dessus pour plus de détails. Quant à l’allégation de sa prétendue participation à la répression du soulèvement de Varsovie d’août-octobre 1944, elle fut démentie par des historiens et chercheurs polonais. Il s’agit d’une confusion due à la présence sur les lieux de la Brigade SS Kaminski. NOTE En discutant de la collaboration avec l’Allemagne, le Prof. Davies fit remarquer Un grand nombre de volontaires de la Waffen SS provenait d’Europe occidentale. Le pays qui fournit le plus grand nombre de divisions était les Pays-Bas quatre. Il y eut deux divisions belges, il y en eut aussi une en France. A mon avis, il est plutôt surprenant que l’Ukraine, qui était un plus grand pays, n’en ait fourni qu’une seule … Il est surprenant qu’il y eut si peu d’Ukrainiens [dans l’Armée allemande]. Beaucoup de gens ignorent, par exemple, qu’on compta beaucoup plus de combattants Russes dans la Wehrmacht ou dans les diverses forces armées allemandes qu’il n’y en eut qui étaient Ukrainiens … Grâce à la propagande soviétique, la contribution russe à l’effort de guerre nazi a été oubliée* tandis que la participation ukrainienne a été soulignée, je pense, exagérément. » * Que dire de la période 1939-1941, lors de l’agression de la Pologne, de la France, de la Belgique, des Pays-Bas et de l’Angleterre ? Bibliographie Etc. Auteur PAVLO Source Note de l'auteur J’ai voulu faire un récit neutre, même si au détour de quelques phrases on peut deviner mes sentiments. Pourtant, je me dois de reconnaître qu’il ne pouvait en être ainsi. Sur un tel sujet, la neutralité n’est pas de mise. Aussi, je vous fais part de mon sentiment qui, comme tous mes autres textes n'engage que moi. Jamais je n’approuverai les Ukrainiens qui se sont engagés dans cette 14e SS Division. Les recrues non politisées furent au minimum des cocus, c’est-à-dire des hommes trompés et ça n’excuse rien ! Tous prirent le parti de l’ennemi et comme tels sont, pour moi, des gens qui ne méritent aucune considération ni reconnaissance nationale, régionale ou autre. Ils obéissaient à des organisations ukrainiennes qui jusqu’alors s’était montrées coopératives avec les Allemands, y compris dans la collaboration affichée allant jusqu’au crime, et cela a eu pour conséquence qu’allant jusqu’au bout de cette logique, ils ont endossé l’uniforme de ceux qui ouvertement voulaient dominer l’Ukraine en réduisant ses habitants en esclavage. Pourtant, les crimes racistes, les arrestations et exécutions publiques des indépendantistes, les déportations massives de leurs compatriotes hommes et femmes pour le travail obligatoire en Allemagne étaient autant de signaux d’alarme que les plus aveuglés ne pouvaient ignorer. Comme d’autres divisons SS levées en Occident, cette formation ne devait combattre que sur le front de l’Est, contre les Bolcheviks. Pourtant, après la dégelée reçue à Brody perte de la moitié des effectifs engagés y compris trois mille hommes qui par sursaut d’orgueil rejoignirent les véritables patriotes, à savoir l’UPA, cette unité jugée incapables de tenir le front fut dirigée vers la Slovaquie et la Slovénie pour effectuer des missions de police. On imagine tristement ce que cela signifie comme destructions, meurtres, terreur, etc. et on ne peut non plus oublier le massacre de Huta Pieniacka au début de l’année 1944, avant même d’avoir été dirigé sur le front, qui coûta la vie à un millier de personnes. De plus, compte tenu de l’éloignement du théâtre d’opérations, l’excuse de la lutte contre l’Armée Rouge ne tenait plus et n’importe qui, même ceux qui avaient l’esprit le plus étroit, pouvaient le constater. Pourquoi ont-il suivi les Allemands jusqu’à la défaite. Quel serment avait-ils prêté ? Comme il est dit dans mon résumé, s’ils parvinrent à échapper au rapatriement » en URSS qui aurait coûté la vie à la plupart, ce fut grâce au changement de nom de l’unité qui quelques semaines plus tôt avait troqué son nom de 14e SS Division pour 1e Division ukrainienne, au fait que la Galicie orientale était formellement polonaise jusqu’en 1939 … et aussi à l’intervention du Vatican. Je ne vois aucun titre de gloire qui puisse s’accoler au nom de cette division. Les Allemands eux-mêmes se montrèrent très avares dans la distribution de décorations à ses combattants. Je suis contre les amalgames et je sursaute à chaque fois que j’apprends que dans telle ville d’Ukraine occidentale, on rend un hommage égal aux soldats de l’UPA et aux anciens SS. C’est d’autant plus grave, qu’ainsi, ces responsables municipaux ne font que renforcer les arguments de la propagande de l’ex-URSS, toujours bien vivante en Russie, Ukraine et en Occident, laquelle condamnait sur un pied d’égalité tous ceux qui s’étaient opposés à la Patrie des Travailleurs ». Ainsi, les indépendantistes qui s’étaient battus depuis 1942 jusqu’en 1956 contre les Nazis et les Soviets, à savoir l’UPA, d’abord bras armé de l’OUN puis force armée de l’UHVR, manière de gouvernement provisoire de l’Ukraine libre qui rassemblait tous les partis politiques luttant pour une Ukraine indépendante libre de toute ingérence extérieure, se trouvent une fois encore assimilés à ces individus et aux organisations qui les avaient incité à trahir. Finalement, pour rappel, je reprends la fin de la déclaration du Prof. Davies Grâce à la propagande soviétique, la contribution russe à l’effort de guerre nazi a été oubliée tandis que la participation ukrainienne a été soulignée, je pense, exagérément. » Cette participation est toujours soulignée aujourd’hui et sert encore à stigmatiser et disqualifier l’Ukraine devant la communauté internationale. Une série d’articles qui paraissent ces derniers temps dans divers journaux français, on se doute d’où cela provient, ravive ces récriminations. C'est pourquoi j'estime qu'il est de mon devoir de mettre les points sur les i. Published by Franco-ukrainien - dans Histoire

f8QVAKj.
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/68
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/294
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/351
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/163
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/343
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/140
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/275
  • 5i8svc3s9f.pages.dev/67
  • affiche de recrutement pour la waffen ss