Tourd'horizon de ce que cela veut dire. à lire aussi Pour stopper le coronavirus, il faut diviser par quatre nos interactions sociales. Ce qui est fermé ou interdit. Restaurants, bars
LassĂ© de la situation car il veut absolument rejoindre le LOSC, Ludovic Blas a signifiĂ© Ă son club cet aprĂšs-midi quâil nâĂ©tait pas dans les bonnes dispositions mentales pour jouer dimanche contre Toulouse. Ă six jours de la fin du mercato, le milieu muscle sa position. PubliĂ© 25 AoĂ»t 2022 Ă 17h51 Temps de lecture 2 min Ludovic Blas veut absolument rejoindre Lille. Le milieu offensif de 24 ans est tombĂ© complĂštement dâaccord avec le LOSC il y a une dizaine de jours maintenant. Disposant dâun bon de sortie cet Ă©tĂ©, les dirigeants nordistes pensaient finaliser son arrivĂ©e avant la rĂ©ception du PSG puisquâils Ă©taient tombĂ©s dâaccord avec leurs homologues nantais 17,5 millions dâeuros, bonus inclus. Mais le joueur et ses reprĂ©sentants ont Ă©tĂ© pris en otage entre les hĂ©sitations de Waldemar Kita et les prises de position ferme dâAntoine KombouarĂ©. Pensant que la situation allait Ă©voluer favorablement, Blas a pris sur lui pour jouer contre ce quâil espĂšre son futur club 1-1 et Ă Marseille 2-1. Il ne veut pas jouer contre Toulouse Mais, lĂ , le milieu de terrain nâen peut plus. Ă six jours de la fin du mercato, il a dĂ©cidĂ© lui aussi de prendre une position plus dure. Comme lâa rĂ©vĂ©lĂ© LâEquipe, il a informĂ© ce jeudi son club de Nantes quâil nâĂ©tait pas dans de bonnes dispositions mentales pour jouer contre Toulouse, dimanche. Blas muscle Ă son tour sa position. Le bras de fer a six jours pour trouver une issue. Lire aussi DĂ©bat le LOSC doit-il conserver Yusuf Yazici? Benjamin AndrĂ© encensĂ© par son ancien entraĂźneur Quand on parlait de lui Ă Liverpool, ça ne mâa pas choquĂ© » Ligue 1 - Mercato Lille a cinq jours pour trancher IlprĂŽne une pratique pure de la religion, sans politique, et rĂ©prouve les couvents, vus comme un « anachronisme » : « Un couvent en France, en plein midi du dix-neuviĂšme siĂšcle, câest un collĂšge de hiboux faisant face au jour. Un cloĂźtre, en flagrant dĂ©lit dâascĂ©tisme au beau milieu de la citĂ© de 89, de 1830 et de 1848, Rome sâĂ©panouissant dans Paris, câest un anachronisme.Vous n'ĂȘtes pas contents? J'en ai rien Ă faire. Je ne peux plus longer une rangĂ©e de voitures garĂ©es sans imaginer une porte qui s'ouvre et me renverse. Getty Getty C'Ă©tait un jeudi de mai. Il Ă©tait 18h50. C'est l'heure Ă laquelle j'ai appelĂ© ma grand-mĂšre pour lui dire que je ne pourrais pas venir dĂźner chez elle. Je remontais la rue de Paris, Ă Montreuil. Il faisait beau. Mais c'Ă©tait l'heure oĂč la circulation est infernale. En entrant dans Montreuil, les voitures sont toutes serrĂ©es sur leur droite. Alors j'en double quelques-unes par la gauche. Un motard me sourit mĂȘme pour me laisser passer. C'est tellement rare que ça m'a marquĂ©e. Puis je vois de l'espace sur la droite, je me rabats donc de ce cĂŽtĂ©. Je me souviens m'ĂȘtre dit que j'Ă©tais plus en sĂ©curitĂ© de ce cĂŽtĂ©. LOL La rue de Paris Ă Montreuil ne dispose pas de pistes cyclables. Les piĂ©tons se marchent dĂ©jĂ les uns sur les autres sur les trottoirs. Entre les places pour se garer le long de la voie et la route, on ne peut se dire qu'une seule chose cette rue, qui prolonge la porte de Montreuil, est rĂ©servĂ©e aux voitures. Les infrastructures cyclables sont loin d'ĂȘtre parfaites Ă Paris, mais Ă Montreuil... J'avais donc de l'espace lĂ oĂč l'urbanisme des annĂ©es pro-bagnoles en laisse aux vĂ©los Ă droite de la route. Entre les voitures garĂ©es, Ă ma droite, et celles qui circulent, Ă ma gauche. Vous, vous Ă©tiez garĂ© Ă l'espace qui vous Ă©tait donc rĂ©servĂ©. Avez-vous regardĂ© avant d'ouvrir votre portiĂšre? Les voitures avançaient suffisamment lentement pour que vous vous soyez peut-ĂȘtre dit c'est bon, je peux sortir. Sauf que j'arrivais Ă ce moment-lĂ . J'ai eu le temps de comprendre que je perdais l'Ă©quilibre, que je chutais et qu'il y avait une voiture Ă ma gauche. Je suis tombĂ©e sur son capot. Puis devant elle. J'ai eu le temps de me dire que j'allais y passer. Je crois que j'ai fermĂ© les yeux. J'ignore comment mon corps est arrivĂ© dans cette position mais mon pied droit s'est alors retrouvĂ© coincĂ© sous sa roue avant droite. En soi, je ne vous en veux pas. Jusqu'ici, quand je me prenais une portiĂšre ou un angle mort je me relevais et hurlais sur le conducteur imprudent. Quand j'avais de la chance, ce dernier s'excusait et j'espĂ©rais que le message "regardez la prochaine fois" Ă©tait passĂ©. Si j'Ă©chappais de justesse Ă la chute, je faisais de mĂȘme. Mais l'automobiliste estimait bien souvent que je surrĂ©agissais et je me prenais plus souvent une volĂ©e d'insultes. Bref plus la situation est mauvaise pour le cycliste et plus les automobilistes se rendent compte qu'ils peuvent ĂȘtre au volant d'un engin dangereux et que les cyclistes sont fragiles. Donc oui, lĂ , j'ai l'espoir que mon cri, qui s'adressait plus Ă ma douleur qu'Ă vous, a fait passer le message. Ce qui m'attriste, c'est qu'on ait besoin d'arriver Ă un accident pour que ce message passe. Ce mĂȘme soir, une association de cyclistes parisiens Paris en selle que j'ai rejointe Ă©tait Ă la prĂ©sentation du "plan vĂ©lo" de la ville de Montreuil. Un de mes premiers gestes a Ă©tĂ© de les en avertir. Leur rĂ©ponse un peu plus tard ils sont dĂ©solĂ©s, mais les Ă©lues ne peuvent pas faire grand-chose. Les arguments sont multiples la rue est une dĂ©partementale et dĂ©pend donc de la Seine-Saint-Denis; elle a Ă©tĂ© rĂ©novĂ©e rĂ©cemment et d'autres rues sont donc prioritaires; et puis, enlever de la place Ă la voiture, c'est compliquĂ©. OK. Mais c'est quand mĂȘme Ă vous que je vais m'adresser ici Mmes et M. les Ă©lues. Quand on a ce genre d'accident, on se dit "j'ai eu de la chance". Quelle ironie. La chance ç'aurait Ă©tĂ© de ne pas avoir eu d'accident. La vraie chance c'est de vivre dans une ville, dans un pays qui prend un vrai pari sur le vĂ©lo. Qui soit conscient de ses avantages pour l'individu comme pour la sociĂ©tĂ©. Et qui protĂšge les cyclistes. Car non, les cyclistes ne sont pas des inconscients suicidaires qui font n'importe quoi. Qu'ils portent ou non un casque, ce qui n'est pas obligatoire pour les plus de 12 ans, qu'ils grillent ou pas les feux rouges, rappelons l'existence des "tourne-Ă -droite", qu'ils roulent ou pas sur les pistes cyclables, pas toujours libĂ©rĂ©es d'autres usagers Ă moteurs, les cyclistes sont conscients de leur fragilitĂ©. Leur plus grande menace, c'est le fait que ceux qui les cĂŽtoient ignorent cette fragilitĂ©. Aujourd'hui, mon pied est quasi guĂ©ri. Sauf que dĂ©sormais, j'ai peur Ă vĂ©lo. Je ne peux plus longer une rangĂ©e de voitures garĂ©es sans imaginer une porte qui s'ouvre et me renverse. Alors comme il est hors de question que j'arrĂȘte de faire du vĂ©lo, je roule au milieu de la route. Vous n'ĂȘtes pas contents? J'en ai rien Ă faire. De toute façon je ne vous ralentis pas en ville, on roule plus vite Ă vĂ©lo qu'en voiture. Et le problĂšme il est lĂ , pour vous, Mmes et M. les Tant que votre ville ne sera pas adaptĂ©e aux cyclistes, tant qu'il y aura des accidents, tant que vous ne serez pas Ă l'Ă©coute, les cyclistes adapteront leur comportement Ă la ville. Peu importe si ça dĂ©range les autres usagers de la route. Ă voir Ă©galement sur Le HuffPost LIRE AUSSI 10 conseils pour rĂ©ussir vos sorties vĂ©lo en famille Je suis passĂ©e au vĂ©lo depuis 2 mois et voici 6 raisons pour lesquelles vous devriez en faire autant
Leblog de l'Auto Jaune Paris par Vincent Espinasse. Vous connaissez mon attachement Ă la Grande-Bretagne. Nos amis anglais ont une approche de lâunivers de la collection de miniatures automobiles que jâapprĂ©cie, leurs manifestations sont conviviales et bien organisĂ©es, leur sens de lâhumour et leur grande connaissance des modĂšles rĂ©duits mâont toujours sĂ©duit.
En ce moment Ă Paris, habitants et automobilistes cohabitent avec des travaux Ă tous les coins de rue. Un empressement motivĂ© par plusieurs Ă©chĂ©ances, notamment les Jeux olympiques qui se tiendront Ă lâĂ©tĂ© Place de la Porte Maillot en plein travaux avant les Jeux olympiques de 2024, ce qui crĂ©e d'Ă©normes embouteillages. LP/Delphine GoldsztejnUne vraie fourmiliĂšre. Il suffit de regarder la carte Ă©laborĂ©e par la Ville de Paris pour prendre la mesure du nombre de chantiers en cours dans la capitale. On en recense 5 820 â des interventions sur les canalisations aux ravalements de bĂątiments en passant par les ouvrages en voirie. Sur lâensemble, seuls 11% sont du fait de la mairie de Paris. Le reste est lâaffaire de concessionnaires privĂ©s et dâopĂ©rateurs sur la voie publique, comme Enedis, GRDF ou encore la RATP.| ĐÏĐžá ŐĄĐČá” ĐłáÏÎčÖαΟ Ń | áĐżŃ Őœ ĐžĐ»Đ”Ń | áĐżŃаŃĐČĐŸá ΟÏĐčаÎČŃĐșлаջ ÏŃ |
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LumiĂšre sur⊠âș vous ĂȘtes iciLumiĂšre surâŠLes salons littĂ©rairesNous avons dâautres salons [âŠ] des salons politiques [âŠ]. Puis les salons oĂč lâon sâamuse [âŠ]. Mais le vrai salon littĂ©raire [âŠ] a bien dĂ©finitivement disparu.Alphonse Daudet, Trente ans Paris, 1888, p. 87Sommaire Introduction Les salons littĂ©raires au XVIIe siĂšcle Les salons littĂ©raires au XVIIIe siĂšcle Les salons littĂ©raires au XIXe siĂšcle Les salons littĂ©raires au XXe siĂšcle đĄ Les salons littĂ©raires dĂ©signent les rĂ©unions dâhommes de lettres et de beaux esprits qui eurent lieu, en France, dans les milieux mondains et lettrĂ©s Ă partir du XVIIe y eut en France, aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles, et encore au commencement du XIXe siĂšcle, des rĂ©unions assez nombreuses dâesprits dâĂ©lite ou de personnes tenant Ă la sociĂ©tĂ© polie », que lâon doit regarder comme des centres, des foyers littĂ©raires, et quâil est indispensable de connaĂźtre pour saisir dans ses dĂ©tails et ses nuances lâhistoire de la littĂ©rature rĂ©unions, auxquelles prĂ©sidĂšrent presque toujours des femmes distinguĂ©es par lâesprit, le goĂ»t et le tact, peuvent ĂȘtre comprises sous la dĂ©nomination gĂ©nĂ©rale de salons littĂ©raires ». LĂ , sâest dĂ©veloppĂ©e lâhabitude de la conversation ; lĂ est nĂ©e la causerie, qui fut si longtemps un agrĂ©ment particulier de la sociĂ©tĂ© française. On sây entretenait de belles choses en gĂ©nĂ©ral, et surtout des choses de lâesprit.â Ă lire aussi Les cafĂ©s littĂ©raires. â Les cabarets littĂ©raires. â HĂŽtel de salons littĂ©raires au XVIIe siĂšcleLa premiĂšre rĂ©union de ce genre fut celle du cĂ©lĂšbre hĂŽtel de Rambouillet, qui exerça, dans la premiĂšre moitiĂ© du XVIIe siĂšcle, une influence si considĂ©rable sur les mĆurs et la littĂ©rature. Câest Ă 1608 quâen remonte la formation, et elle dura jusquâĂ la mort dâArthĂ©nice, en 1659. La rĂ©union de Conrart, dâoĂč est sortie lâAcadĂ©mie française, ne date que de 1629. Ce ne fut quâau bout de quelques annĂ©es, et malgrĂ© certaines rĂ©sistances, que, grĂące Ă Boisrobert et Ă Chapelain, une rĂ©union littĂ©raire privĂ©e devint, sous la protection de Richelieu, un corps officiel.â LumiĂšre sur lâhĂŽtel de rĂ©unions moins fameuses, mais pourtant dignes dâĂȘtre citĂ©es, existĂšrent au XVIIe siĂšcle, sans compter les ruelles, rĂ©duits et alcĂŽves, oĂč les prĂ©cieux et les prĂ©cieuses tentĂšrent une imitation maladroite de lâhĂŽtel de Rambouillet. Sous Louis XIII, nous trouvons le salon de Mme Des Loges, que ses admirateurs appelaient la dixiĂšme muse, et dont Conrart a dit Elle a Ă©tĂ© honorĂ©e, visitĂ©e et rĂ©galĂ©e de toutes les personnes les plus considĂ©rables, sans en excepter les plus grands princes et les princesses les plus illustres⊠Toutes les muses semblaient rĂ©sider sous sa protection ou lui rendre hommage, et sa maison Ă©tait une acadĂ©mie dâ Malherbe, Beautru, frĂ©quentĂšrent surtout cette maison ; parmi les grands personnages qui tĂ©moignĂšrent leur estime Ă Mme Des Loges, on remarque le roi de SuĂšde, le duc dâOrlĂ©ans et le duc de salon de Mlle de ScudĂ©ry prit de lâimportance vers le milieu du siĂšcle. Les troubles des deux Frondes ayant dispersĂ© en grande partie les habituĂ©s de lâhĂŽtel de Rambouillet, Mlle de ScudĂ©ry le reforma dans sa maison de la rue de Beauce, au Marais. LĂ vinrent Chapelain, Conrart, Pellisson, MĂ©nage, Sarrasin, Ysarn, Godeau, le duc de Montausier, Mmes de La Suze, de SablĂ©, de SĂ©vignĂ©, Cornuel, Arragonais, etc. Les rĂ©unions avaient lieu le samedi. On y tenait des conversations galantes et raffinĂ©es ; on y lisait de petites piĂšces de vers ; on y discutait les mĂ©rites et les dĂ©fauts des ouvrages parus rĂ©cemment ; on y commentait longuement, et souvent avec une pointe de faux esprit, les choses de moindre valeur et de moindre importance. Durant ces conversations les dames travaillaient aux ajustements de deux poupĂ©es quâon nommait la grande et la petite Pandore, et qui Ă©taient destinĂ©es Ă servir de modĂšles Ă la mode. Chacun des habituĂ©s eut un surnom, tirĂ© presque toujours des romans Conrart sâappelait ThĂ©odamas ; Pellisson, Acanthe ; Sarrasin, Polyandre ; Godeau, le Mage de Sidon ; Mme Arragonais, la princesse PhiloxĂšne ; etc. Mlle de ScudĂ©ry Ă©tait Sapho dâaprĂšs la poĂ©tesse Sappho. Le plus fameux des samedis fut celui quâon appela la journĂ©e des madrigaux » 20 dĂ©cembre 1653. Conrart avait offert, ce jour-lĂ , Ă la maĂźtresse de la maison un cachet en cristal avec un madrigal dâenvoi. Elle rĂ©pondit par un autre madrigal, et les personnes prĂ©sentes, se piquant dâĂ©mulation, improvisĂšrent Ă leur tour toute une sĂ©rie de madrigaux. Câest Ă une autre rĂ©union du samedi que fut faite la Carte de Tendre, transportĂ©e ensuite par Mlle de ScudĂ©ry dans le roman de ClĂ©lie. â Ă lire Le la mĂȘme Ă©poque, il y eut une rĂ©union littĂ©raire chez lâabbĂ© dâAubignac, qui sollicita pour sa rĂ©union le titre dâAcadĂ©mie royale, et Ă©crivit Ă ce sujet un Discours au roi sur lâĂ©tablissement dâune seconde AcadĂ©mie dans la ville de Paris 1664. Le dauphin, protecteur de lâabbĂ©, appuyait ses visĂ©es ambitieuses, mais ni le roi ni les ministres ne sâen autre rĂ©union, bien plus intĂ©ressante, est celle qui se tenait chez Mme de SablĂ©, quand elle se fut retirĂ©e au haut du faubourg Saint-Jacques pour habiter un appartement dĂ©pendant du monastĂšre de cette demi-retraite, dit Sainte-Beuve, qui avait un jour sur le couvent et une porte encore entrâouverte sur le monde, cette ancienne amie de M. de La Rochefoucauld, toujours active de pensĂ©e, et sâintĂ©ressant Ă tout, continua de rĂ©unir autour dâelle, jusquâĂ lâannĂ©e 1678, oĂč elle mourut, les noms les plus distinguĂ©s et les plus divers dâanciens amis restĂ©s fidĂšles, qui venaient de bien loin, de la ville ou de la cour, pour la visiter ; des demi-solitaires, gens du monde comme elle, dont lâesprit nâavait fait que sâembellir et sâaiguiser dans la retraite ; des solitaires de profession, quâelle arrachait par moments, Ă force dâobsession gracieuse, Ă leur vĆu de rappellerons aussi le salon de Ninon de Lenclos dans sa vieillesse, quand au cercle de ses admirateurs vinrent se joindre des femmes du monde et de la cour, comme Mmes de La SabliĂšre, de Bouillon, de Coulanges, Cornuel, etc., quand Mme de Maintenon lui Ă©crivait Continuez Ă donner de bons conseils Ă mon frĂšre ; il a bien besoin des leçons de LĂ©ontium ; » le salon de Mme de Maintenon, Ă lâĂ©poque oĂč elle Ă©tait la femme de les salons des hĂŽtels dâAlbret et de Richelieu, oĂč se donnaient rendez-vous toutes les personnes de distinction, et oĂč brillaient Mmes de SĂ©vignĂ©, de La Fayette et de Coulanges.â Ă lire Histoire de la littĂ©rature française du XVIIe salons littĂ©raires au XVIIIe siĂšcleDĂšs le commencement du XVIIIe siĂšcle, nous trouvons le salon de la duchesse du Maine ouvert dans son chĂąteau de Sceaux. Elle en fit, suivant la remarque dâun Ă©crivain, le temple des galanteries dĂ©licates et des gracieuses frivolitĂ©s. CâĂ©tait un piquant contraste avec ce chĂąteau de Versailles oĂč sâĂ©teignaient les annĂ©es moroses de Louis XIV Ă son dĂ©clin. Malezieu et lâabbĂ© Genest prĂ©sidaient aux divertissements littĂ©raires que la duchesse offrait a ses habituĂ©s. Les plus fidĂšles dâentre eux composaient lâordre de la Mouche Ă miel, que des courtisans spirituels avaient imaginĂ© en son honneur. Parmi les gens dâesprit que lâon voyait aux fĂȘtes de Sceaux, se distinguaient, au premier rang, Fontenelle, Lamothe-Houdart et Chaulieu. La femme de chambre de la duchesse, Mlle Delaunay, depuis Mme de Staal, se fit bientĂŽt remarquer et joua son rĂŽle dans cette aimable le mĂȘme temps, un salon plus grave, et frĂ©quentĂ© en partie par les mĂȘmes Ă©crivains, existait Ă Paris celui de la marquise de Lambert, qui sâouvrit en 1710 et ne se ferma quâen 1733. Elle recevait chaque dit Fontenelle, la seule maison qui fĂ»t prĂ©servĂ©e de la maladie Ă©pidĂ©mique du jeu, la seule oĂč lâon se trouvait pour se parler raisonnablement les uns les autres, avec esprit et selon lâ y voyait surtout, avec Fontenelle et Lamothe, lâabbĂ© Mongault, le gĂ©omĂštre Mairan, lâabbĂ© de Bragelonne et le prĂ©sident HĂ©nault. Câest aux mardis de la marquise de Lambert que furent discutĂ©es, avant dâĂȘtre livrĂ©es au public, les questions relatives Ă la supĂ©rioritĂ© des Modernes sur les Anciens, Ă lâinutilitĂ© des vers pour la poĂ©sie, Ă lâabsurditĂ© des personnifications mythologiques, aux entraves que des rĂšgles sans autre valeur que leur antiquitĂ© apportaient au libre jeu de lâintelligence questions dont les critiques de lâĂ©poque firent le sujet de tant de salon de lâhĂŽtel de Sully, qui sâouvrit Ă©galement dans cette premiĂšre partie du XVIIIe siĂšcle, nâest pas moins digne dâattention par la maniĂšre dont il fut tenu et par les personnages qui sây la naissance, le bon goĂ»t, les talents, dit Fr. BarriĂšre, sây donnaient rendez-vous. Jamais, Ă ce quâil paraĂźtrait, sociĂ©tĂ© ne fut ni mieux choisie, ni plus variĂ©e ; le savoir sây montrait sans pĂ©dantisme, et la libertĂ© quâautorisaient les mĆurs y paraissait tempĂ©rĂ©e par les habituĂ©s de cet hĂŽtel furent Chaulieu, Fontenelle, Caumartin, le comte dâArgenson, le prĂ©sident HĂ©nault, puis Voltaire, Ramsay, etc. Nous ne parlerons que pour mĂ©moire de la sociĂ©tĂ© de 1âEntresol, qui ne fut pas un salon, mais une rĂ©union savante, et, par anticipation, une sorte dâAcadĂ©mie des sciences morales et les nombreux salons littĂ©raires qui furent ouverts Ă Paris au milieu du XVIIIe siĂšcle, il faut citer dâabord celui de Mme Du Deffand. La rare et solide raison quâelle apportait dans les causeries et discussions auxquelles elle prĂ©sidait Ă©tait ainsi encouragĂ©e par Voltaire Ce qui est beau et lumineux est votre Ă©lĂ©ment ; ne craignez pas de faire la disserteuse, ne rougissez point de joindre aux grĂąces de votre personne la force de votre sociĂ©tĂ© qui se rassemblait chez elle fut diminuĂ©e tout dâun coup par sa brouille et sa rupture avec Mlle de Lespinasse. Celle-ci entraĂźna avec elle la plupart des Ă©crivains, et surtout les encyclopĂ©distes, DâAlembert en tĂȘte. Le duc de Choiseul lui fit donner une pension sur sa cassette. Mme Geoffrin lui fit de son cĂŽtĂ© une pension de 3,000 francs, et Mme de Luxembourg lui meubla un appartement rue Bellechasse. Les contemporains sont pleins dâĂ©loges sur le tact parfait avec lequel elle sut tenir son salon. Trente Ă quarante personnes se rĂ©unissaient le soir chez elle, seulement pour causer, car elle avait un revenu trop modique pour leur donner Ă souper. Elle dirigeait la conversation avec un art admirable, de façon Ă ce que chacun eĂ»t son tour et son rĂŽle ; et cependant, Ă part les amis de DâAlembert, son cercle nâĂ©tait pas composĂ© de personnes liĂ©es les unes avec les autres. Comme on lâa remarquĂ©, Mme Du Deffand reprĂ©sentait le siĂšcle avant Jean-Jacques Rousseau, avant lâexaltation romanesque, et Mlle de Lespinasse le siĂšcle aprĂšs lâinvasion du roman en toutes salon de Mme Geoffrin eut moins de portĂ©e littĂ©raire. Il fut celui dâune bienfaitrice usant noblement de sa fortune, ressemblant chez elle ceux auxquels elle venait en aide, mais gardant, sous une apparence de douceur, des façons dâagir despotiques, comme pour rappeler le bien quâelle avait fait. Elle voulut Ă©viter lâimprĂ©vu dans la causerie en mettant toujours en prĂ©sence les mĂȘmes personnes, et divisa les habituĂ©s de son salon en trois catĂ©gories. Les personnes de la haute noblesse et les Ă©trangers de distinction Ă©taient admis le soir. Ils pouvaient rester au souper, qui Ă©tait trĂšs simple. Le dĂźner Ă©tait au contraire somptueux, et câĂ©tait Ă dĂźner quâelle recevait ses autres invitĂ©s le lundi, les artistes, peintres, sculpteurs, architectes ; le mercredi, les gens de lettres et les savants. Dans cette derniĂšre catĂ©gorie on distinguait surtout Diderot, DâAlembert, de Mairan, Marmontel, Raynal, Saint-Lambert, Thomas, dâHolbach, de Caylus, soirĂ©e chez Madame Geoffrin par Anicet Charles Gabriel Lemonnier 1812.Ă cĂŽtĂ© de ces trois salons du XVIIIe siĂšcle, il faut encore remarquer ceux de Mme dâĂpinay, de Mlle Quinault et de Mme Doublet de Persan. Le salon de Mme dâĂpinay fut restreint Ă un petit cercle de littĂ©rateurs et de philosophes, oĂč lâon voyait Grimm, Diderot et dâ rĂ©unions qui se tenaient chez Mlle Quinault, dite la Cadette, comprenaient un grand nombre dâhabituĂ©s. Actrice distinguĂ©e de la ComĂ©die-Française, elle Ă©tait fort rĂ©pandue dans le monde littĂ©raire. Parmi ses habituĂ©s, on distinguait DâAlembert, Diderot, Duclos, Jean-Jacques Rousseau, Destouches, Marivaux, etc. CâĂ©tait ce quâon appelait la SociĂ©tĂ© du bout du banc. La conversation avait lieu surtout Ă table, au souper. Au milieu de la table Ă©tait une Ă©critoire ; chacun des convives sâen servait tour Ă tour pour Ă©crire un impromptu. De lĂ sont sortis les recueils publiĂ©s sous les titres de Recueil de ces Messieurs et dâĂtrennes de la Saint-Jean. Ces productions lĂ©gĂšres nâĂ©taient que la moindre partie de ce qui occupait la SociĂ©tĂ© du bout du banc. La philosophie tenait dans ses repas une large place, et lâon y Ă©mettait les idĂ©es les plus hardies sur les questions religieuses ou salon de Mme Doublet de Persan ressemblait, par la situation quâil occupait, Ă ceux de Mme de SablĂ© et de Mme Du Deffand. Il se trouvait dans un appartement extĂ©rieur du couvent des Filles-Saint-Thomas, dont Mme Doublet ne franchit pas le seuil une fois en lâespace de quarante ans. La rĂ©union qui se tenait chez elle, et dâoĂč sortirent les Nouvelles Ă la main et une grande partie des MĂ©moires secrets de Bachaumont, avait reçu le nom de citerons encore le salon de la marquise de Turpin, oĂč se trouvaient Favart, Voisenon et Boufflers, et oĂč lâon fonda lâordre de la Table ronde, qui produisit le petit recueil intitulĂ© la JournĂ©e de lâ ne faut pas oublier non plus le salon du baron dâHolbach, le premier maĂźtre dâhĂŽtel de la philosophie », chez qui se rĂ©unissaient Diderot, DâAlembert, HelvĂ©tius, Marmontel, Raynal, Grimm, lâabbĂ© Galiani, etc. On peut dire que lâEncyclopĂ©die naquit dans cette rĂ©union, appelĂ©e par Jean-Jacques Rousseau, devenu misanthrope, le club holbachique », et dont Morellet a Ă©crit On y disait des choses Ă faire cent fois tomber le tonnerre sur la maison, sâil tombait pour cela. »Enfin, Ă la veille de la RĂ©volution, qui fit disparaĂźtre toutes les rĂ©unions de ce genre, on trouve encore le salon de Mme Necker, oĂč Mme de StaĂ«l, alors enfant prodige, sâentretenait avec Grimm, Thomas, Raynal, Gibbon, Marmontel ; et le salon de Mme HelvĂ©tius, si connu sous le nom de SociĂ©tĂ© dâAuteuil, et qui rassemblait Condillac, dâHolbach, Turgot, Chamfort, Cabanis, Morellet, Destutt de Tracy, les agitations politiques furent calmĂ©es et que la vie de sociĂ©tĂ© put renaĂźtre, on ne tarda pas Ă voir sâouvrir des salons oĂč lâon essaya de renouer les traditions de la conversation et de la causerie. Lâun des premiers ouverts fut celui de Mme de StaĂ«l, oĂč, avec Benjamin Constant, vinrent frĂ©quemment Lanjuinais, Boissy-dâAnglas, Cabanis, Carat, Daunou de Tracy, y avait aussi les cercles philosophiques et littĂ©raires de Mme Suard, de Mme dâHoudetot, de lâabbĂ© Morellet, dans lesquels dominaient les gens de lettres et les philosophes, continuateurs directs du XVIIIe siĂšcle ; puis les salons du monde, comme ceux de Mme de la Briche, de Mme de Pastoret, de Mme de Vergennes, oĂč se distinguait sa fille, Mme de RĂ©musat. Mais il nâen exista pas, Ă cette Ă©poque, de plus intĂ©ressant au point de vue exclusivement littĂ©raire que celui de Mme de Beaumont, rue Neuve-du-Luxembourg. De ce cĂŽtĂ©, a dit un critique, se trouvaient alors la jeunesse, le sentiment nouveau et lâavenir. » Les habituĂ©s Ă©taient Chateaubriand, Joubert, Fontanes, MolĂ©, Pasquier, ChĂȘnedollĂ©, GuĂ©naud de Mussy, Mme de Vintimille. Beaucoup dâautres ne venaient quâen passant, attirĂ©s par lâaccueil empressĂ© fait Ă la rĂ©putation et au talent. Ce salon qui, dans un autre temps, aurait pu avoir de lâinfluence, ne subsiste que de 1800 Ă 1803. Les traditions en furent reprises un peu plus tard par Mme de Vintimille, qui reçut les mĂȘmes personnes, et quelques autres partageant les opinions nouvelles. Les derniers des salons littĂ©raires dignes de ce nom ont Ă©tĂ© ceux de Mme RĂ©camier et de Mme de Girardin. Plus tard, la politique, la fiĂšvre des affaires, les besoins croissants de la vie nâont plus laissĂ© de loisirs pour les rĂ©unions aimables dont le premier intĂ©rĂȘt Ă©tait celui des choses de lâesprit.â Ă lire Histoire de la littĂ©rature française du XVIIIe salons littĂ©raires au XIXe siĂšcleAu commencement du XIXe siĂšcle, lâanglomanie sâest efforcĂ©e dây substituer, sous le nom de raouts, dâaristocratiques cohues oĂč la morgue et le flegme britanniques se complaisaient dans un silencieux vous amusez, disait aux Anglais une cĂ©lĂšbre artiste, Mme VigĂ©e-Lebrun Ă propos de ces rĂ©unions Ă la fois taciturnes et tumultueuses, vous vous amusez comme nous nous ennuierions Ă nâĂ©tait pas sous cette influence ni dans ce milieu que le goĂ»te et lâart de la conversation pouvaient renaĂźtre, avec toutes les dĂ©licatesses littĂ©raires de lâesprit cĂ©lĂšbre salon, au XIXe siĂšcle fut celui de Juliette RĂ©camier Ă lâAbbaye aux Bois ; ainsi que celui de Charles Nodier Ă la bibliothĂšque de lâArsenal oĂč se retrouvaient les hommes les plus illustres dans le monde des lettres et des arts que la France ait produits au cours du XIXe siĂšcle. Ă son arrivĂ©e au poste de bibliothĂ©caire de Monsieur, en remplacement de lâabbĂ© Grosier, Nodier amena Ă lâArsenal la brillante plĂ©iade des Ă©crivains et des artistes de lâĂ©cole romantique, qui trouvĂšrent dans leur aĂźnĂ© de vingt Ă trente ans, un guide et un appui. Victor Hugo, Lamartine, Alfred de Musset, Alexandre Dumas, Balzac, Sainte-Beuve, Alfred de Vigny, Ămile Deschamps, Jules Janin, EugĂšne Delacroix, les frĂšres Johannot, Robert-Fleury, Jean-Jacques Champin, Liszt, Amable Tastu, et bien dâautres encore, Ă©taient les habituĂ©s de ce salon situĂ© au premier Ă©tage de lâ la TroisiĂšme RĂ©publique, de nombreux salons littĂ©raires virent le jour Ă Paris celui de la princesse Mathilde, de la comtesse Potocka, de Juliette Adam, de GeneviĂšve HalĂ©vy ou de Rosalie von Gutmann, comtesse de Fitz-James. On y rencontrait des gens de lettres tels que Marcel Proust, Paul Bourget, Paul Hervieu, Jules LemaĂźtre, Robert de Montesquiou ou Guy de salons littĂ©raires au XXe siĂšcleUu cours du XXe siĂšcle, lâhistoire des salons connaĂźt des tournants dĂ©cisifs ; alors quâils sont au dĂ©but du siĂšcle Ă leur apogĂ©e â devant des lieux de mondanitĂ©s artistiques incontournables â ils connaissent finalement un dĂ©clin dĂ» aux bouleversements modernes du milieu littĂ©raire et salons sont toujours portĂ©s par des femmes, gĂ©nĂ©ralement Ă©pouses dâhommes importants politiques, artistes, Ă©crivains, etc. De plus en plus, ils sont des lieux de vie littĂ©raire oĂč les rĂ©putations se font et se dĂ©tĂ©riorent. Chaque salonniĂšre a ses protĂ©gĂ©s, des artistes quâelle invite, porte, dĂ©fend et porte sur le devant de la scĂšne. Ce sont des lieux oĂč sont organisĂ©es de nombreuses lectures, des reprĂ©sentations. Certains artistes sont lancĂ©s par des salons, comme Marcel Proust dans le salon de Madame Madeleine Lemaire. Dâautres deviennent des personnalitĂ©s mondaines importantes Marcel Proust, Jean CocteauâŠPar ailleurs, les salons littĂ©raires apparaissent Ă cette pĂ©riode comme un lieu dâexpression dĂ©bridĂ©e de lâhomosexualitĂ© de leurs participants. Encore considĂ©rĂ©e comme une pratique dĂ©pravĂ©e, chacun â a fortiori les hommes â trouvent dans ces salons la possibilitĂ© de laisse libre cours Ă lâhomosexualitĂ© que la sociĂ©tĂ© rĂ©prime. Il nâen ressort pas moins des inĂ©galitĂ©s entre les hommes et les femmes, puisque ces derniĂšres sont beaucoup plus mal vues que les hommes en frĂ©quentant une personne du mĂȘme sexe ou en se la pĂ©riode dâentre-deux-guerres, le succĂšs des salons, bien quâatteint par les Ă©vĂšnements, subsiste. Ce succĂšs ne rĂ©siste pas Ă la fĂ©brilitĂ© des annĂ©es folles et draine encore dans les appartements de nombreuses salonniĂšres quantitĂ© dâ dĂšs la fin de la Seconde Guerre mondiale et durant les dĂ©cennies suivantes que ces salons connaissent un dĂ©clin. BouleversĂ©s par des modes de divertissement diffĂ©rents â lâapparition de la tĂ©lĂ©vision notamment â ils se font plus rares, avant de grands salons du XXe siĂšcle sont ceux de Natalie Clifford Barney, la comtesse Greffuhle, Madeleine Lemaire, Madame MĂŒhfeld, Anna de Noailles, Madame Straus, Edith Wharton.â LittĂ©rature et engagement au XXe connexes LumiĂšre sur⊠Les cafĂ©s littĂ©raires. Les cabarets littĂ©raires. HĂŽtel de Rambouillet. Histoire de la littĂ©rature française Le Moyen Ăge. â Le XVIe siĂšcle. â Le XVIIe siĂšcle lâĂąge baroque â lâĂąge classique. â Le XVIIIe siĂšcle. Quâest-ce que la littĂ©rature ? Histoire de la France du Moyen Ăge au XXe siĂšcle. Histoire de la langue française. Histoire rĂ©sumĂ©e du vocabulaire français. LâAcadĂ©mie française. LâEncyclopĂ©die du XVIIIe siĂšcle. Les courants littĂ©raires. Les genres littĂ©raires. La de livresRecherche sur le site
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