Larticle 1 er de la proposition de loi tend Ă  supprimer les informations qui doivent ĂȘtre mentionnĂ©es par le cĂ©dant dans tout acte de cession amiable d'un fonds de commerce, en abrogeant l'article L. 141-1 du code de commerce prĂ©voyant ces mentions lĂ©gales obligatoires. En cas d'omission de tout ou partie de ces mentions, le cessionnaire

Remarque prĂ©alable ces conditions devront ĂȘtre acceptĂ©es par l'Utilisateur pour avoir accĂšs aux Espaces de dialogue. La prĂ©sente charte dĂ©crit les conditions selon lesquelles l'internaute peut participer en ligne aux Forums de discussion » et RĂ©agir Ă  un article » ci-aprĂšs Les Espaces de dialogue », prĂ©sents sur le site ci-aprĂšs le Site », Ă©ditĂ© par Groupe L'Express. Conditions GĂ©nĂ©rales d'Utilisation - Conditions GĂ©nĂ©rales de Vente pour la souscription des services payants du site Groupe L'Express, SociĂ©tĂ© Anonyme au capital de 37 040,41 euros, dont le siĂšge social est situĂ© au 112, avenue KlĂ©ber 75116 Paris, ImmatriculĂ©e au RCS de Paris sous le numĂ©ro 552 018 681, ci-aprĂšs Groupe L'Express », Ă©dite un site d'informations gĂ©nĂ©rales ci-aprĂšs le Site », permettant un accĂšs Ă  diffĂ©rentes informations, ainsi qu'Ă  diffĂ©rents services complĂ©mentaires, dĂ©taillĂ©s ci-aprĂšs. A cet Ă©gard, le Site propose Ă  l'Utilisateur la consultation de contenus et d'informations prĂ©sents sur le Site, diffĂ©rents services, sous rĂ©serve de son inscription prĂ©alable, lui permettant d'avoir accĂšs Ă  l'espace communautaire de et/ou de bĂ©nĂ©ficier de services spĂ©cifiques ci-aprĂšs les Services ». Les Services regroupent notamment les services suivants des services gratuits permettant aux internautes de RĂ©agir Ă  un article » ci-aprĂšs Espace de dialogue » prĂ©sents sur le Site, un bouquet d'offres payantes ci-aprĂšs les Services Payants», donnant accĂšs Ă  diffĂ©rents contenus. Les prĂ©sentes conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation, CGU », soumises au droit français, ont vocation Ă  rĂ©gir l'utilisation du Site. La navigation dans le Site et/ou l'inscription Ă  un Service emporte de plein droit acceptation expresse et sans rĂ©serve des CGU par l'utilisateur du Site. 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Compte Utilisateur » dĂ©signe l'espace mis Ă  disposition de l'Utilisateur inscrit sur le Site, lui permettant d'accĂ©der, aprĂšs s’'ĂȘtre identifiĂ© par ses identifiants de connexion, aux Services auxquels il aura souscrit. Utilisateur » dĂ©signe tout internaute connectĂ© sur le Site. 2 - Conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation du site CGU Droits et obligations de l'Utilisateur Conditions de participation La crĂ©ation de Compte Utilisateur Groupe L'Express permet Ă  tout internaute d'ouvrir un Compte Utilisateur, lui permettant notamment de consulter les informations concernant son abonnement et de s’abonner Ă  nos newsletters. Lors de l'ouverture du Compte Utilisateur, l'Utilisateur s'engage Ă  fournir des informations exactes, actualisĂ©es et complĂštes dans le Formulaire d’inscription, notamment son nom, son prĂ©nom et son adresse e-mail. 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L'Utilisateur est informĂ© que l’accĂšs libre et gratuit aux contenus et services du Site, ainsi qu’aux Applications hors Ă©dition abonnĂ©s, est financĂ© par les revenus liĂ©s Ă  la publicitĂ© diffusĂ©e sur ces espaces. Il accepte par consĂ©quent l’affichage de la publicitĂ© sur le Site et les Applications. Chaque Service Payant de Groupe L'Express est dĂ©taillĂ© selon le contenu, la durĂ©e de l'abonnement, le prix toutes taxes comprises. En outre, en cas d'offre promotionnelle d'Abonnement, l'offre de Groupe L'Express prĂ©cisera les conditions spĂ©cifiques de l'offre, et notamment la durĂ©e de l'offre la durĂ©e d’engagement s’il y en a une En souscrivant aux Services Payants, l'Utilisateur dĂ©clare utiliser les Services du Groupe L'Express en accord avec le droit applicable et les prĂ©sentes conditions gĂ©nĂ©rales. DisponibilitĂ© Les offres de services et prix de Groupe L'Express sont valables tant qu'ils sont visibles sur le Site ou sur les applications. Prix Les prix des Services Payants sont indiquĂ©s en euro toutes taxes comprises. Toutes les commandes, quelle que soit leur origine, sont payables en euros. Groupe L'Express se rĂ©serve le droit de modifier ses prix Ă  tout moment sans prĂ©avis. Les tarifs promotionnels d'Abonnement s'appliquent lors de la premiĂšre souscription. En cas d’abonnement ou de RĂ©abonnement Ă  DurĂ©e Libre par prĂ©lĂšvement, Groupe L’Express pourra ĂȘtre amenĂ© Ă  rĂ©viser le montant prĂ©levĂ© pĂ©riodiquement au titre de l’Abonnement ou du RĂ©abonnement. Dans ce cas, elle devra en avertir au prĂ©alable l’Utilisateur dans un dĂ©lai qui permette Ă  celui-ci de mettre un terme Ă  son Abonnement ou son RĂ©abonnement avant la mise en Ɠuvre effective de cette rĂ©vision. Souscription et gestion des Abonnements Groupe L'Express fait ses meilleurs efforts pour apporter aux Utilisateurs les informations les plus complĂštes concernant les Services Payants proposĂ©s sur le Site et les Applications. L'accĂšs aux Services Payants est rĂ©alisĂ© en cliquant sur l’offre correspondante, dont les conditions sont dĂ©crites, notamment les rĂ©ductions de prix Ă©ventuelles. La passation d'une commande s'effectue en ligne, en sĂ©lectionnant les offres des Services Payants disponibles, par la crĂ©ation d'un Compte Utilisateur sur le Site, et notamment par la saisie des donnĂ©es demandĂ©es nom, prĂ©nom, adresse email, mot de passe et Ă©ventuellement une adresse postale. La sĂ©curitĂ© des paiements est assurĂ©e par le service de paiement sĂ©curisĂ© Stripe. La plateforme Stripe ne communique aucune information financiĂšre du Client Ă  Groupe L’Express. Les donnĂ©es confidentielles sont saisies et transmises cryptĂ©es sur les serveurs de Stripe. Stripe fournit les outils de paiement nĂ©cessaires Ă  la souscription aux Services Payants par les Utilisateurs paiement par carte bancaire, Apple Pay, Google Pay. 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Pour les Abonnements avec dotation, le client s’engage Ă  renvoyer ou restituer la prime sans retard injustifiĂ© et au plus tard dans les quatorze 14 jours suivant la communication de sa dĂ©cision de se rĂ©tracter. Les remboursements seront effectuĂ©s dans un dĂ©lai infĂ©rieur ou Ă©gal Ă  14 jours aprĂšs la rĂ©ception de la demande. Dans le cadre de la souscription Ă  un contrat d’abonnement, le client autorise Groupe L’Express Ă  exĂ©cuter l’abonnement immĂ©diatement sans attendre un dĂ©lai de quatorze 14 jours francs, Ă©tant prĂ©cisĂ© que le client conserve la possibilitĂ© d’exercer son droit de rĂ©tractation. RĂ©siliation L'Utilisateur ayant souscrit un abonnement digital 100% numĂ©rique sur le site peut Ă  tout moment demander la rĂ©siliation de son Abonnement Ă  partir de son compte personnel, en se rendant dans la rubrique Abonnement et en cliquant sur “Me dĂ©sabonner”. Il doit adresser un courrier Ă©lectronique avec pour objet Demande de rĂ©siliation de mon abonnement L’Express » Ă  l’adresse suivante resiliation en prĂ©cisant obligatoirement son identifiant client email de connexion Ă  son Compte Utilisateur et son numĂ©ro d’abonnĂ© disponible dans dans la rubrique Abonnement de son Compte Utilisateur. Sa demande devra ĂȘtre effectuĂ©e dans un dĂ©lai de dix jours avant sa prochaine date de renouvellement pour que la rĂ©siliation soit prise en compte. L’abonnĂ© ayant souscrit un abonnement incluant la rĂ©ception du magazine L’Express dans sa version papier doit imprimer ou recopier sur papier libre le formulaire accessible ici et l’envoyer par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception au Service Client L’Express Service abonnements rĂ©siliation - 45 avenue du GĂ©nĂ©ral Leclerc - 60643 Chantilly Cedex. 4 - PropriĂ©tĂ© intellectuelle Groupe L'Express dispose des droits exclusifs de propriĂ©tĂ© intellectuelle sur l'ensemble des textes, commentaires, ouvrages, illustrations, photographies, images, vidĂ©os, sons, plans, noms, logos, marques, crĂ©ations et Ɠuvres protĂ©geables diverses, reproduits sur les sites et applications mobiles A ce titre et conformĂ©ment aux dispositions du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle, seule est permise l'utilisation pour un usage privĂ© sous rĂ©serve de dispositions diffĂ©rentes, voire plus restrictives, du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle. 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La reproduction d'un ou de plusieurs des contenus et services prĂ©sents sur les sites de dans leur intĂ©gralitĂ© ou non, est soumise Ă  des droits de reproduction et doit faire l’objet d’une demande d’autorisation prĂ©alable auprĂšs du service syndication. Dans le cadre de la copie privĂ©e usage personnel, la demande devra faire l’objet d’une demande prĂ©alable auprĂšs du CFC. 5 - DonnĂ©es personnelles Groupe L'Express, sociĂ©tĂ© Ă©ditrice du Site et des applications mobiles sous la marque L’Express, respecte la vie privĂ©e de ses Utilisateurs. Il s'engage Ă  ce titre Ă  ce que toutes les informations qu'il recueille, en particulier concernant l'utilisation par l'Utilisateur du service de commerce Ă©lectronique afin d'acheter ou d'obtenir un Service du Site, permettant d'identifier ce dernier, soient considĂ©rĂ©es comme des informations confidentielles. A ce titre, Groupe L'Express respecte la loi Informatique & LibertĂ©s» n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiĂ©e, ainsi que la loi pour la confiance dans l'Ă©conomie numĂ©rique » n° 2004-575 du 21 juin 2004 article L. 33-4-1 du Code des postes et tĂ©lĂ©communications et article L. 121-20-5 du Code de la consommation. Groupe L'Express utilise les informations personnelles qu'il recueille auprĂšs de ses Utilisateurs, pour permettre la fourniture des services qu'il propose. ConformĂ©ment aux dispositions de la loi du 6 janvier 1978 relative aux fichiers, Ă  l'informatique et aux libertĂ©s, les traitements de donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel mis en œoeuvre par Groupe L'Express ont Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©s auprĂšs de la CNIL. En application des dispositions des articles 39 et 40 de la loi Informatique & LibertĂ©s», les Utilisateurs peuvent demander la communication des donnĂ©es personnelles les concernant et exiger que soient, selon les cas, rectifiĂ©es, complĂ©tĂ©es, mises Ă  jour, verrouillĂ©es ou effacĂ©es les donnĂ©es personnelles les concernant, qui sont inexactes, incomplĂštes, Ă©quivoques, pĂ©rimĂ©es, ou dont la collecte, l'utilisation, la communication ou la conservation est interdite. Ce droit s'exerce, soit en en modifiant ses informations personnelles en ligne, soit auprĂšs de L'Express Service Abonnements 112, avenue KlĂ©ber 75016 Paris ConformĂ©ment au dĂ©cret n°2007-451 du 25 mars 2007 pris pour l'application de la loi Informatique & LibertĂ©s», les demandes devront ĂȘtre prĂ©sentĂ©es par Ă©crit et devront ĂȘtre signĂ©es et accompagnĂ©es de la photocopie d'un titre d'identitĂ© portant la signature de l'Utilisateur. La demande devra prĂ©ciser l'adresse Ă  laquelle devra parvenir la rĂ©ponse. Groupe L'Express disposera d'un dĂ©lai de 2 deux mois pour rĂ©pondre, suivant rĂ©ception de la demande. En ce qui concerne la souscription aux Services Payants, l'Utilisateur est informĂ© que ses donnĂ©es personnelles sont transmises aux prestataires de gestion de Groupe L’Express. L’Utilisateur peut se renseigner sur la politique de confidentialitĂ© directement auprĂšs de Groupe L’Express. Si l'Utilisateur a donnĂ© son accord lors de son inscription, ses donnĂ©es personnelles, peuvent Ă©galement ĂȘtre transmises Ă  des tiers partenaires de Groupe L'Express qui pourront lui adresser des messages promotionnels. 6 - Utilisation des cookies Lors de la consultation de notre site des cookies sont dĂ©posĂ©s sur votre ordinateur, votre mobile ou votre tablette. Notre site est conçu pour ĂȘtre attentif aux besoins et attentes de nos lecteurs. C'est entre autre pour cela que nous faisons usage de cookies afin par exemple de vous identifier et d'accĂ©der Ă  votre compte. 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Dans le cas oĂč la responsabilitĂ© de Groupe L'Express serait recherchĂ©e en raison d’un manquement par un Utilisateur aux obligations qui lui incombent aux termes de la loi ou des prĂ©sentes CGU/CGV, ce dernier s’engage Ă  garantir Groupe L'Express contre toute condamnation prononcĂ©e Ă  son encontre, cette garantie couvrant tant les dommages et intĂ©rĂȘts qui seraient Ă©ventuellement versĂ©s que les frais y affĂ©rents. La responsabilitĂ© de Groupe L'Express se limite Ă  la seule offre des Services et ne saurait en aucun cas ĂȘtre engagĂ©e en raison de leur utilisation par l'Utilisateur. 8 - Force Majeure Le cas de force majeure suspend les obligations de Groupe L'Express nĂ©es de l'utilisation ou de la souscription d’un Service. 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Si elles ne parviennent pas Ă  remplacer cette disposition de façon mutuellement acceptable et applicable, cette disposition sera exclue des prĂ©sentes CGU/CGV, et le reste des conditions gĂ©nĂ©rales seront interprĂ©tĂ©es comme si ladite disposition Ă©tait exclue et resteront applicables. 9 - Autonomie des clauses des CGU/CGV Dans l'Ă©ventualitĂ© oĂč l'une quelconque disposition des prĂ©sentes CGU/CGV serait rĂ©putĂ©e inapplicable en vertu du droit en vigueur, l'Utilisateur et Groupe L'Express conviennent de la renĂ©gocier en toute bonne foi afin de prĂ©server la position Ă©conomique dont elles bĂ©nĂ©ficient au plus prĂšs de celle mentionnĂ©e au titre de la disposition rendue inapplicable. Si elles ne parviennent pas Ă  remplacer cette disposition de façon mutuellement acceptable et applicable, cette disposition sera exclue des prĂ©sentes CGU/CGV, et le reste des conditions gĂ©nĂ©rales seront interprĂ©tĂ©es comme si ladite disposition Ă©tait exclue et resteront applicables. 10 - IntĂ©gralitĂ© de l'accord Les CGU/CGV reprĂ©sentent l'intĂ©gralitĂ© de l'accord passĂ© entre l'Utilisateur et Groupe L'Express interactif relatif Ă  l'objet visĂ©. 11 - Modifications des CGU/CGV Groupe L'Express se rĂ©serve le droit de modifier les prĂ©sentes CGU/CGV Ă  tout moment, afin notamment de se conformer Ă  toutes Ă©volutions lĂ©gales, jurisprudentielles, Ă©ditoriales et/ou techniques. Groupe L'Express informera l'Utilisateur des modifications par courrier Ă©lectronique et l'invitera Ă  donner son accord sur les modifications. Dans l'Ă©ventualitĂ© oĂč l'Utilisateur n'accepterait pas les nouvelles CGU/CGV, il ne sera plus en mesure d’utiliser les Services. 12 - Droit applicable Juridiction Les prĂ©sentes CGU/CGV sont rĂ©gies et interprĂ©tĂ©es conformĂ©ment au droit français. La langue des prĂ©sentes CGU/CGV est la langue française. En cas de litige avec des professionnels et/ou commerçants, les tribunaux de Paris France seront compĂ©tents. En cas de litige avec un consommateur, les tribunaux français seront compĂ©tents. Il est rappelĂ© qu'en application des dispositions de l’article L. 141-5 du Code de la consommation, le consommateur peut saisir Ă  son choix, outre l'une des juridictions territorialement compĂ©tentes en vertu du Code de procĂ©dure civile, la juridiction du lieu oĂč il demeurait au moment de la conclusion du contrat ou de la survenance du fait dommageable ». Article L.141.1 du code de SĂ©curitĂ© Sociale) CA. NĂ©e en 1973, cadre. Le Praticien expert procĂšde Ă  l'examen du malade dans les cinq jours suivant la rĂ©ception du prĂ©sent protocole. Le Praticien expert Ă©tablit immĂ©diatement les conclusions motivĂ©es et adresse sous 48 heures un exemplaire Ă  la Caisse de SĂ©curitĂ© Sociale. Le Version en vigueur depuis le 21 septembre 2000 Le privilĂšge du vendeur d'un fonds de commerce n'a lieu que si la vente a Ă©tĂ© constatĂ©e par un acte authentique ou sous seing privĂ©, dĂ»ment enregistrĂ©, et que s'il a Ă©tĂ© inscrit sur un registre public tenu au greffe du tribunal de commerce dans le ressort duquel le fonds est exploitĂ©. Il ne porte que sur les Ă©lĂ©ments du fonds Ă©numĂ©rĂ©s dans la vente et dans l'inscription, et Ă  dĂ©faut de dĂ©signation prĂ©cise, que sur l'enseigne et le nom commercial, le droit au bail, la clientĂšle et l'achalandage. Des prix distincts sont Ă©tablis pour les Ă©lĂ©ments incorporels du fonds, le matĂ©riel et les marchandises. Le privilĂšge du vendeur qui garantit chacun de ces prix, ou ce qui en reste dĂ», s'exerce distinctement sur les prix respectifs de la revente affĂ©rents aux marchandises, au matĂ©riel et aux Ă©lĂ©ments incorporels du fonds. Nonobstant toute convention contraire, les paiements partiels autres que les paiements comptants s'imputent d'abord sur le prix des marchandises, ensuite sur le prix du matĂ©riel. Il y a lieu Ă  ventilation du prix de revente mis en distribution, s'il s'applique Ă  un ou plusieurs Ă©lĂ©ments non compris dans la premiĂšre vente.

Vule code de commerce, notamment ses articles L. 612-1 et suivants ; Vu la loi du 1er juillet 1901 modifiĂ©e relative au contrat d‘association ; Vu le code civil local applicable dans les dĂ©partements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle, notamment les articles 21 Ă  79 ; Vu la loi n° 85-698 du 11 juillet 1985 autorisant lâ€˜Ă©mission de valeurs mobiliĂšres par certaines

PARIS 14EME ARR. 75 11 m2 1 piĂšces PrĂ©cĂ©dent Suivant Description du bien Au pied du Tram T3 Station Jean Moulin, chambre de service de 11,03M2 Carrez et 20M2 au sol, au 8Ăšme Ă©tage sans ascenseur d'un bel immeuble, dominant les toits de Paris, traversante, lumineuse et exposĂ©e est-ouest. IdĂ©al bureau ou investisseur. location 450€/mois Travaux Ă  prĂ©voir . Logement Ă  consommation Ă©nergĂ©tique excessive classe G Nombre de lots de la copropriĂ©tĂ© 292, Montant moyen annuel de la quote-part de charges budget prĂ©visionnel 190€ soit 15€ par mois. Les honoraires sont Ă  la charge du vendeur. RĂ©seau Immobilier CAPIFRANCE - Votre agent commercial RSAC N°502 806 565 - Greffe de NANTERRE StĂ©phanie URSAT Entrepreneur individuel 07 67 06 63 63 - Plus d’informations sur le site de CAPIFRANCE Prix du bien hors frais notariĂ©s, d'enregistrement 141 900 € et de publicitĂ© fonciĂšre Pour accĂ©der au barĂšme des honoraires cliquez ici DĂ©tails GĂ©nĂ©ral RĂ©fĂ©rence 774967 Types de bien Appartement Étage du bien 8 Nombre d'Ă©tages de l'immeuble 8 Exposition E-W Surfaces Surface habitable 11 mÂČ Surface Carrez 11 mÂČ Aspects financiers Prix du bien hors frais notariĂ©s, d'enregistrement 141 900 € et de publicitĂ© fonciĂšre * Honoraires Ă  la charge du vendeur Information co-propriĂ©tĂ© Bien en copropriĂ©tĂ© Oui Nb de lots copropriĂ©tĂ© 292 Charges copropriĂ©tĂ©16 €/mois Quote part de charges190 € Composition Nb de piĂšces 1 Nb de Salle de bain 1 Prestations Gardien Oui DPE/GES Estimation des coĂ»ts annuels d'Ă©nergie du logement Les coĂ»ts sont estimĂ©s en fonction des caractĂ©ristiques de votre logement et pour une utilisation standard sur 5 usages chauffage, eau chaude sanitaire, climatisation, Ă©clairage, auxilliaures voir pour voir les dĂ©tails par poste. entre 340 € et 510 € par an Prix moyens des Ă©nergies indexĂ©s au 1er janvier 2021 abonnements compris Financement du bien calculez vos mensualitĂ©s Pour rĂ©ussir votre projet immobilier avec Capifrance et mieux vous projeter, calculez votre capacitĂ© d'emprunt 141900 Soncode de l'honneur et son respect de la parole donnĂ©e imprĂšgnent encore aujourd'hui notre sociĂ©tĂ©. La guerre de Cent Ans, au siĂšcle suivant, va entraĂźner sa disparition progressive. III] L'Europe en crise . Les sociĂ©tĂ©s europĂ©ennes connaissent de violents soubresauts Ă  partir de 1300 environ. Le refroidissement du climat, la surpopulation et l'absence de Code de commerceChronoLĂ©gi Article L144-1 - Code de commerce »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 21 septembre 2000 Naviguer dans le sommaire du code Version en vigueur depuis le 21 septembre 2000 Nonobstant toute clause contraire, tout contrat ou convention par lequel le propriĂ©taire ou l'exploitant d'un fonds de commerce ou d'un Ă©tablissement artisanal en concĂšde totalement ou partiellement la location Ă  un gĂ©rant qui l'exploite Ă  ses risques et pĂ©rils est rĂ©gi par les dispositions du prĂ©sent en haut de la page
\n articles l 141 1 et suivants du code de commerce

Cedécret précise notamment les mentions à porter sur les factures, les conditions du mandat de facturation et les modalités de la facturation électronique. Le code du commerce prévoit également les modalités de réalisation de la facture ainsi que les mentions obligatoires (article L441-3).

Le Mardi 10 mai 2022 L’accĂšs au logement est un enjeu sociĂ©tal majeur et un droit universel. L’accessibilitĂ© et/ou l’adaptation du logement aux personnes handicapĂ©es sont rĂ©glementĂ©es. Cette fiche prĂ©sente le principe de l’accessibilitĂ© du logement et en dĂ©taille les obligations rĂ©glementaires. Elle vous informe sur les aides financiĂšres existantes pour rendre un logement accessible ou adaptĂ© et propose des ressources documentaires sur ce thĂšme. ActualitĂ© Les grands principes de l'accessibilitĂ© du logement 1. AccessibilitĂ© et adaptation Est considĂ©rĂ© comme accessible aux personnes handicapĂ©es tout bĂątiment d'habitation collectif ou tout amĂ©nagement liĂ© Ă  un bĂątiment permettant Ă  un habitant ou Ă  un visiteur handicapĂ©, avec la plus grande autonomie possible, de circuler, d'accĂ©der aux locaux et Ă©quipements, d'utiliser les Ă©quipements, de se repĂ©rer et de communiquer. Les conditions d'accĂšs des personnes handicapĂ©es doivent ĂȘtre les mĂȘmes que celles des autres publics ou, Ă  dĂ©faut, prĂ©senter une qualitĂ© d'usage Ă©quivalente » art R*111-18-1 du code de la construction et de l’habitation, dit CCH. Les obligations rĂ©glementaires d’accessibilitĂ© ne peuvent rĂ©pondre Ă  tous les besoins particuliers propres Ă  chaque individu. C’est pourquoi un logement accessible ne garantit pas systĂ©matiquement une adĂ©quation avec les besoins de son occupant qui aura besoin d’adapter son logement. Un logement accessible respecte les obligations du code de la construction et de l’habitation. Un logement adaptĂ© rĂ©pond aux capacitĂ©s et aux besoins prĂ©cis de son occupant, sans forcĂ©ment respecter les obligations rĂ©glementaires. 2. Qu'est-ce qu'un logement rĂ©glementairement accessible ? Le dĂ©cret n°2015-1770 et l'arrĂȘtĂ© du 24 dĂ©cembre 2015 relatifs Ă  l'accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d'habitation collectifs BHC et des maisons individuelles MI neufs ont modifiĂ© le code de la construction et de l'habitation CCH et actualisĂ© les obligations rĂ©glementaires en matiĂšre d'accessibilitĂ©. "Est considĂ©rĂ© comme accessible aux personnes handicapĂ©es tout bĂątiment d'habitation collectif ou tout amĂ©nagement liĂ© Ă  un bĂątiment permettant Ă  un habitant ou Ă  un visiteur handicapĂ©, avec la plus grande autonomie possible, de circuler, d'accĂ©der aux locaux et Ă©quipements, d'utiliser les Ă©quipements, de se repĂ©rer et de communiquer. Les conditions d'accĂšs des personnes handicapĂ©es doivent ĂȘtre les mĂȘmes que celles des autres publics ou, Ă  dĂ©faut, prĂ©senter une qualitĂ© d'usage Ă©quivalente" article R*111-18-1 du CCH. DĂ©cret n°2015-1770 modifiant les dispositions du code de la construction et de l'habitation relatives Ă  l'accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d'habitation collectifs et des maisons individuelles neufs ArrĂȘtĂ© du 24 dĂ©cembre 2015 relatif Ă  l'accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d'habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction L'obligation d'accessibilitĂ© porte sur le neuf Seuls les bĂątiments d'habitation neufs sont soumis Ă  des obligations d'accessibilitĂ©. C'est dĂšs la construction que sont pensĂ©s et prĂ©vus les amĂ©nagements et les prescriptions techniques propres Ă  l'accessibilitĂ©, dans les parties communes ainsi que dans les logements, tels que les largeurs des circulations et des portes, l'organisation des espaces, les Ă©quipements. Les bĂątiments d’habitation neufs et leurs abords doivent ĂȘtre construits et amĂ©nagĂ©s de façon Ă  ĂȘtre accessibles aux personnes handicapĂ©es quel que soit leur handicap » art. R*111-18 du code de la construction et de l’habitation. Seules les maisons individuelles construites pour ĂȘtre louĂ©es, ou mises Ă  disposition, ou pour ĂȘtre vendues sont soumises aux obligations d’accessibilitĂ©. Les maisons individuelles construites ou rĂ©habilitĂ©es pour l’usage du propriĂ©taire sont hors champ rĂ©glementaire art. R*111-18-4 du CCH. L'article 64 de la loi n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant Ă©volution du logement, de l'amĂ©nagement et du numĂ©rique dite loi ELAN et le dĂ©cret n° 2019-305 du 11 avril 2019 modifiant les dispositions du code de la construction et de l'habitation relatives Ă  l'accessibilitĂ© des bĂątiments d'habitation et au contrat de construction d'une maison individuelle avec fourniture du plan fixent Ă  20% des logements en rez-de-chaussĂ©e ou desservis par un ascenseur l'obligation d'accessibilitĂ©. Le reste de ces logements sont Ă©volutifs. Un logement Ă©volutif rĂ©pond Ă  deux paramĂštres une personne en fauteuil roulant peut y accĂ©der, circuler dans le sĂ©jour et utiliser le cabinet d'aisances il peut ĂȘtre rendu accessible rĂ©glementairement par la rĂ©alisation de travaux simples pas d'incidence sur les Ă©lĂ©ments de structure et certains rĂ©seaux encastrĂ©s en cloisons. Ce dĂ©cret porte Ă©galement l'obligation d'installation d'un ascenseur de R+4 Ă  R+3. En d'autres termes, dĂšs qu'il y a plus de deux Ă©tages comportant des logements au dessus ou au dessous du rez de chaussĂ©e, la prĂ©sence d'un ascenseur est obligatoire. Dans un bĂątiment d'habitation collectif BHC existant, les logements ne sont soumis Ă  aucune obligation lorsqu'ils font l'objet de travaux, sauf lorsque ces travaux concernent la modification, l'extension, ou la crĂ©ation d'un bĂątiment ou d'une partie de bĂątiment et que le montant de ces travaux est supĂ©rieur ou Ă©gal Ă  80% de la valeur du bĂątiment art. R*111-18-9 du CCH. Dans ce cas, doivent ĂȘtre accessibles les parties communes, extĂ©rieures et intĂ©rieures, mĂȘme si elles ne font pas l'objet de travaux ; les places de stationnement, les celliers, les caves privatifs oĂč sont rĂ©alisĂ©s les travaux ; les logements oĂč sont rĂ©alisĂ©s les travaux, s'ils sont situĂ©s en RDC, ou desservis par un ascenseur, ou susceptibles de l'ĂȘtre. Dans tous les cas, ne sont soumis Ă  aucune obligation la maison individuelle existante ; en cas de crĂ©ation d'un seul logement par changement de destination* dans un bĂątiment existant, mĂȘme s'il se classe en BHC ; en cas de crĂ©ation de plusieurs logements par changement de destination* dans un bĂątiment existant qui sera in fine classĂ© en maison individuelle. * Changement de destination voir "questions frĂ©quentes je suis propriĂ©taire de mon logement" Les dĂ©rogations Il existe plusieurs motifs de dĂ©rogation, uniquement pour les BHC existants faisant l'objet de travaux et les bĂątiments existants oĂč sont créés des logements par changement de destination ImpossibilitĂ© technique liĂ©e au terrain ; Ă  la prĂ©sence de construction existantes ; Ă  des contraintes rĂ©sultant du classement de la zone de construction, notamment au regard des rĂšgles de la prĂ©vention des risques naturels ou technologiques PPRI et risque d'inondation par exemple. Disproportion avĂ©rĂ©e entre les bĂ©nĂ©fices et les inconvĂ©nients, dans les projets de travaux de modification ou d'extension ; PrĂ©servation du patrimoine architectural, dĂšs lors que les travaux prĂ©vus touchent un bĂątiment d'habitation classĂ© au titre des monuments historiques ; un bĂątiment d'habitation situĂ© aux abords et dans le champ de visibilitĂ© d'un monument historique classĂ© ou inscrit en zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysagĂ© ou en secteur sauvegardĂ©. Les solutions d'effet Ă©quivalent Les articles 3 et 4 du dĂ©cret n°2015-1770 du 24 dĂ©cembre 2015 indiquent que des solutions d’effet Ă©quivalent aux dispositions techniques rĂ©glementaires sont permises dĂšs lors qu’elles satisfont aux mĂȘmes objectifs. Il s’agit lĂ  d’une souplesse aux modalitĂ©s de mise en Ɠuvre des dispositions techniques d’accessibilitĂ© telles que prĂ©cisĂ©es par l’arrĂȘtĂ© du 24 dĂ©cembre 2015, afin de permettre l’innovation technique. Cependant l’objectif et la qualitĂ© d’usage recherchĂ©es restent identiques. Il ne s’agit en aucun cas d’une dĂ©rogation. La nouvelle rĂ©glementation prĂ©voit des objectifs de rĂ©sultat et de moyens permettant de remplir chaque objectif, afin d'Ă©viter toute dĂ©rive et garantir le principe d'Ă©quivalence. L’introduction des solutions d’effet Ă©quivalent a pour objectif de permettre au maĂźtre d’Ɠuvre de proposer d’autres moyens techniques ou technologiques pour rĂ©pondre Ă  l’objectif d’accessibilitĂ© et d’introduire une souplesse aux modalitĂ©s de mise en Ɠuvre des dispositions techniques d’accessibilitĂ© telles que prĂ©cisĂ©es par l'arrĂȘtĂ©. Articles 3 et 4 du dĂ©cret n°2015-1770 du 24 dĂ©cembre 2015 Les travaux modificatifs de l'acquĂ©reur TMA Les travaux modificatifs de l'acquĂ©reur, dits TMA, sont possibles dans les ventes sur plan d'un bĂątiment d'habitation collectif, avant construction. Ces ventes sont appelĂ©es "ventes en l'Ă©tat futur d'achĂšvement" VEFA. Les appartements qui doivent respecter les rĂšgles d'accessibilitĂ© en rez-de-chaussĂ©e ou desservis par un ascenseur par exemple peuvent voir leurs plans modifiĂ©s afin de s'adapter aux besoins et attentes de l'acquĂ©reur, sous rĂ©serve de respecter les points suivants La demande doit Ă©maner de l'acquĂ©reur ; Un contrat de travaux modificatifs est alors Ă©tabli entre l'acquĂ©reur et le promoteur ; Le logement doit pouvoir ĂȘtre visitĂ© par une personne handicapĂ©e quel que soit son handicap, c'est-Ă -dire qu'elle doit pouvoir entrer, se rendre dans le sĂ©jour, y circuler et ressortir ; Les amĂ©nagements prĂ©vus par les TMA doivent ĂȘtre rĂ©versibles par des travaux simples; Le plan du logement avant TMA et le plan avec TMA sont annexĂ©s au contrat de travaux modificatifs de l'acquĂ©reur, voire mĂȘme Ă  l'acte authentique de vente si le contrat est signĂ© avant la signature de l'acte. Questions frĂ©quentes je suis locataire de mon logement Questions frĂ©quentes je suis propriĂ©taire de mon logement Le stationnement adaptĂ© dans les copropriĂ©tĂ©s neuves Afin de mieux garantir l'accĂšs aux places de stationnement adaptĂ©es dans une copropriĂ©tĂ© aux personnes titulaires d'une carte mobilitĂ© inclusion ou carte de stationnement, le dĂ©cret n°2017-688 relatif aux places de stationnement adaptĂ©es dans les parties communes des copropriĂ©tĂ©s impose qu'au moins une place adaptĂ©e soit louĂ©e de maniĂšre prioritaire aux personnes handicapĂ©es habitant la copropriĂ©tĂ©. Cette ou ces places ne peut ĂȘtre vendue et est incluse dans les parties communes. Cette obligation concerne les constructions neuves dont la demande de permis de construire a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e Ă  compter du 1er janvier 2015. Ainsi, une personne handicapĂ©e habitant la copropriĂ©tĂ© peut se signaler au syndic, selon les modalitĂ©s dĂ©finies par le dĂ©cret, afin de disposer en prioritĂ© de cette place. Si aucune personne bĂ©nĂ©ficiant de ce droit prioritĂ© ne se signale, la place est alors proposĂ©e Ă  la location de maniĂšre plus large. Cependant, dĂšs lors qu'une personne prioritaire en effectuera la demande, le syndic reprendra le bien louĂ©, dans les conditions prĂ©vues par le contrat de bail. Une note explicative qui dĂ©crypte le dĂ©cret et ses enjeux est disponible en tĂ©lĂ©chargement ci-dessous. DĂ©cret n° 2017-688 du 28 avril 2017 relatif aux places de stationnement adaptĂ©es dans les parties communes des copropriĂ©tĂ©s Fiche explicative relative au dĂ©cret places de stationnement adaptĂ©es dans les copropriĂ©tĂ©s neuves PDF - Ko AccessibilitĂ© du logement principes et rĂ©glementation 1. Principes et rĂ©fĂ©rences rĂ©glementaires Principe de prioritĂ© dans l'attribution des logements sociaux au profit des personnes handicapĂ©es ou des familles ayant Ă  leur charge une personne handicapĂ©e article du code de la construction et de l'habitation Gestion du parc de logement adaptĂ© article du code de la construction et de l’habitation Gestion du parc de logement adaptĂ© aprĂšs le dĂ©part du rĂ©sident handicapĂ© article L. 442-3-2 du code de la construction et de l’habitation Interdiction de se voir refuser la location d’un logement en raison de son Ă©tat de santĂ© ou de son handicap article 1er de la loi n°89-462 du 6 juillet 1989 tendant Ă  amĂ©liorer les rapports locatifs. Droit au logement opposable Article du code de la construction et de l’habitation Commissions de mĂ©diation articles R441-13 et suivants du code de la construction et de l’habitation 2. Obligations et prescriptions techniques Pour des bĂątiments d’habitation collective BHC neufs Objectif d’accessibilitĂ© DĂ©finition juridique des bĂątiments d’habitation collective article R111-18 du code de la construction et de l’habitation Base lĂ©gislative articles L111-7 et L111-7-1 du code de la construction et de l’habitation DĂ©finition rĂ©glementaire de l’accessibilitĂ© article R111-18-1 du code de la construction et de l’habitation Stationnement adaptĂ© prioritaire dĂ©cret n° 2017-688 du 28 avril 2017 relatif aux places de stationnement adaptĂ©es dans les parties communes des copropriĂ©tĂ©s Prescriptions techniques d’accessibilitĂ© Grands principes article R111-8-2 du code de la construction et de l’habitation DĂ©cret n°2015-1770 du 24 dĂ©cembre 2015 modifiant les dispositions du code de la construction et de l’habitation relatives Ă  l’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d’habitation collectifs et des maisons individuelles ArrĂȘtĂ© du 24 dĂ©cembre 2015 relatif Ă  l’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d’habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction. RĂ©glementation spĂ©cifique des logements Ă  occupation temporaire ou saisonniĂšre DĂ©cret n° 2014-337 du 14 mars 2014 relatif Ă  l’accessibilitĂ© des logements destinĂ©s Ă  l’occupation temporaire ou saisonniĂšre dont la gestion et l’entretien sont organisĂ©s et assurĂ©s de façon permanente ArrĂȘtĂ© du 14 mars 2014 fixant les dispositions relatives Ă  l’accessibilitĂ© des logements destinĂ©s Ă  l’occupation temporaire ou saisonniĂšre dont la gestion et l’entretien sont organisĂ©s et assurĂ©s de façon permanente ArrĂȘtĂ© du 14 mars 2014 modifiant l’arrĂȘtĂ© du 1er aoĂ»t 2006 fixant les dispositions prises pour l’application des articles R. 111-18 Ă  R. 111-18-7 du code de la construction et de l’habitation relatives Ă  l’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d’habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction Afnor, Norme NF EN 81-70 RĂšgles de sĂ©curitĂ© pour la construction et l’installation des Ă©lĂ©vateurs - Applications particuliĂšres pour ascenseurs et ascenseurs de charge - Partie 70 accessibilitĂ© aux ascenseurs pour toutes les personnes y compris les personnes avec handicap, 2003. Circulaire interministĂ©rielle n°2007-53 DGUHC du 30 novembre 2007 relative Ă  l’accessibilitĂ© des Ă©tablissements recevant du public, des installations ouvertes au public et des bĂątiments d’habitation. ModalitĂ©s des travaux modificatifs de l’acquĂ©reur article R111-18-2 du code de la construction et de l’habitation et article 16 de l'arrĂȘtĂ© du 24 dĂ©cembre 2015. PossibilitĂ© de dĂ©rogation article R111-18-10 du code de la construction et de l’habitation article R111-18-3 du code de la construction et de l’habitation, annulĂ© par la dĂ©cision du 21 juillet 2009 du Conseil d’Etat. Pour des bĂątiments d’habitation collective BHC existants Obligations d’accessibilitĂ© articles L111-7 et L111-7-2 du code de la construction et de l’habitation. Prescriptions techniques Ă  respecter Obligations selon les types de travaux rĂ©alisĂ©s dans un BHC existants article R111-18-8 du code de la construction et de l’habitation Cas particulier des rĂ©habilitations importantes Article R111-18-9 du code de la construction et de l’habitation ArrĂȘtĂ© du 26 fĂ©vrier 2007 relatif au coĂ»t de la construction pris en compte pour dĂ©terminer la valeur du bĂątiment mentionnĂ© Ă  l’article du code de la construction et de l’habitation. ArrĂȘtĂ© du 26 fĂ©vrier 2007 fixant les dispositions prises pour l’application des articles et du code de la construction et de l’habitation, relatives Ă  l’accessibilitĂ© pour les personnes handicapĂ©es des bĂątiments d’habitation collectifs lorsqu’ils font l’objet de travaux et des bĂątiments existants oĂč sont créés des logements par changement de destination. Circulaire du 20 avril 2009 relative Ă  l’accessibilitĂ© des bĂątiments d’habitation collectifs existants, et des Ă©tablissements recevant du public et installations ouvertes au public existants, modifiant la circulaire interministĂ©rielle DGUHC n°2007-53 du 30 novembre 2007 en tĂ©lĂ©chargement ci-dessous. PossibilitĂ©s de dĂ©rogation Motifs et procĂ©dure article R111-18-10 du code de la construction et de l’habitation Obligation de relogement article R111-18-11 du code de la construction et de l’habitation Pour des maisons individuelles neuves MI Objectif d’accessibilitĂ© Base lĂ©gislative articles L111-7 et L111-7-1 du code de la construction et de l’habitation Champ d’application article R111-18-4 du code de la construction et de l’habitation DĂ©finition rĂ©glementaire de l’accessibilitĂ© article R111-18-6 du code de la construction et de l’habitation Prescriptions techniques d’accessibilitĂ© Grands principes article R111-8-5 du code de la construction et de l’habitation DĂ©cret n°2015-1770 du 24 dĂ©cembre 2015 modifiant les dispositions du code de la construction et de l’habitation relatives Ă  l’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d’habitation collectifs et des maisons individuelles ArrĂȘtĂ© du 24 dĂ©cembre 2015 relatif Ă  l’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d’habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction. RĂ©glementation spĂ©cifique des logements Ă  occupation temporaire ou saisonniĂšre DĂ©cret n° 2014-337 du 14 mars 2014 relatif Ă  l’accessibilitĂ© des logements destinĂ©s Ă  l’occupation temporaire ou saisonniĂšre dont la gestion et l’entretien sont organisĂ©s et assurĂ©s de façon permanente ArrĂȘtĂ© du 14 mars 2014 fixant les dispositions relatives Ă  l’accessibilitĂ© des logements destinĂ©s Ă  l’occupation temporaire ou saisonniĂšre dont la gestion et l’entretien sont organisĂ©s et assurĂ©s de façon permanente ArrĂȘtĂ© du 14 mars 2014 modifiant l’arrĂȘtĂ© du 1er aoĂ»t 2006 fixant les dispositions prises pour l’application des articles R. 111-18 Ă  R. 111-18-7 du code de la construction et de l’habitation relatives Ă  l’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es des bĂątiments d’habitation collectifs et des maisons individuelles lors de leur construction Afnor, Norme NF EN 81-70 RĂšgles de sĂ©curitĂ© pour la construction et l’installation des Ă©lĂ©vateurs - Applications particuliĂšres pour ascenseurs et ascenseurs de charge - Partie 70 accessibilitĂ© aux ascenseurs pour toutes les personnes y compris les personnes avec handicap, 2003. Circulaire interministĂ©rielle n°2007-53 DGUHC du 30 novembre 2007 relative Ă  l’accessibilitĂ© des Ă©tablissements recevant du public, des installations ouvertes au public et des bĂątiments d’habitation tĂ©lĂ©chargeable ci-dessous. ModalitĂ©s des travaux modificatifs de l’acquĂ©reur article R111-18-2 du code de la construction et de l’habitation PossibilitĂ© de dĂ©rogation article R111-18-7 du code de la construction et de l’habitation, annulĂ© par la dĂ©cision du 21 juillet 2009 du Conseil d’Etat. Travaux dans les copropriĂ©tĂ©s ProcĂ©dure d’autorisation de travaux d’accessibilitĂ© dans les copropriĂ©tĂ©s article 24 de la loi n°65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriĂ©tĂ© des immeubles bĂątis. DĂ©rogations aux rĂšgles d’urbanisme pour des raisons d’accessibilitĂ© PossibilitĂ© de dĂ©roger aux rĂšgles d’urbanisme en cas de travaux d’accessibilitĂ© sur un logement existant Article du Code de l’urbanisme DĂ©cret n°2009-723 du 18 juin 2009 relatif Ă  la procĂ©dure de dĂ©rogation visant Ă  autoriser les travaux nĂ©cessaires Ă  l’accessibilitĂ© de personnes handicapĂ©es Ă  un logement existant. AccessibilitĂ© et PrĂ©servation du patrimoine architectural PossibilitĂ© de dĂ©rogation pour prĂ©server le patrimoine architectural dans les bĂątiments d’habitation collective existants article R111-18-10 du code de la construction et de l’habitation Lorsqu’une demande de dĂ©rogation porte sur le motif "prĂ©servation du patrimoine architectural", le chef du service territorial d’architecture et du patrimoine participe aux travaux de la sous-commission dĂ©partementale d’accessibilitĂ© article 15 du dĂ©cret 95-260 Avis conforme ou simple de l’architecte des bĂątiments de France ABF sur certaines demandes d’autorisation de travaux articles L621-30 et suivants du code du patrimoine PossibilitĂ© de recours contre l’avis de l’ABF devant le prĂ©fet de rĂ©gion article L621-31 du code du patrimoine AccessibilitĂ© et secteurs sauvegardĂ©s les prescriptions imposĂ©es par l’architecte des bĂątiments de France ne peuvent faire obstacle Ă  l’application des rĂšgles d’accessibilitĂ© ... sauf pour prĂ©venir la dĂ©gradation du patrimoine article du Code de l’urbanisme Mise en sĂ©curitĂ© des ascenseurs Les modifications apportĂ©es doivent prĂ©server l’accessibilitĂ© de la cabine Ă  une personne circulant en fauteuil roulant article du code de la construction et de l’habitation. Dates limites de mise en sĂ©curitĂ© 3 juillet 2013 pour les ascenseurs installĂ©s avant le 1er janvier 1983 article du code de la construction et de l’habitation. 3 juillet 2018 pour les ascenseurs installĂ©s aprĂšs le 31 dĂ©cembre 1982 article du code de la construction et de l’habitation. 3. ContrĂŽle du respect des rĂšgles d'accessibilitĂ© Une attestation de conformitĂ© aux rĂšgles d'accessibilitĂ© est obligatoire article du CCH pour tous les travaux soumis Ă  permis de construire exception les maisons individuelles construites pour le propre usage du propriĂ©taire. Elle doit ĂȘtre dĂ©livrĂ©e par un architecte indĂ©pendant ou un contrĂŽleur technique agréé article L. 111-7-4 et R111-19-27 du CCH. AgrĂ©ment des contrĂŽleurs techniques Articles Ă  du code de la construction et de l’habitation Types d’agrĂ©ment, contenu du dossier de demande et modalitĂ©s d’examen de ces demandes ArrĂȘtĂ© du 26 novembre 2009 ProcĂ©dure pour obtenir un agrĂ©ment "ContrĂŽleur technique" Liste des contrĂŽleurs techniques agréés Sanctions si attestation non dĂ©livrĂ©e par un architecte indĂ©pendant ou un contrĂŽleur technique agréé Article R111-19-28 du code de la construction et de l’habitation Formulaire de l’attestation de conformitĂ© aux rĂšgles d’accessibilitĂ© ArrĂȘtĂ© du 22 mars 2007 fixant les dispositions prises pour l’application des articles et du code de la construction et de l’habitation, relatives Ă  l’attestation constatant que les travaux sur certains bĂątiments respectent les rĂšgles d’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es. Droit de visite des chantiers en cours ou achevĂ©s et de communication des dossiers article du code de l’urbanisme et article L151-1 du code de la construction et de l’habitation ContrĂŽle technique et accessibilitĂ© Si le contrĂŽle technique est obligatoire, il doit comporter un volet "respect des rĂšgles relatives Ă  l’accessibilitĂ© aux personnes handicapĂ©es" article du code de la construction et de l’habitation Cas oĂč le contrĂŽle technique est obligatoire article R111-38 du code de la construction et de l’habitation 4. Sanctions en cas de non respect des rĂšgles d'accessibilitĂ© Droit de visite des chantiers en cours ou achevĂ©s et de communication des dossiers article du code de l’urbanisme et article L151-1 du code de la construction et de l’habitation Sanctions pĂ©nales article L152-4 du code de la construction et de l’habitation PossibilitĂ© de recours par des associations dĂ©clarĂ©es en prĂ©fecture article 2-8 du Code de procĂ©dure pĂ©nale Circulaire interministĂ©rielle n°DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007 relative Ă  l'accessibilitĂ© des ERP, des IOP et des bĂątiments d'habitation PDF - Ko Circulaire du 20 avril 2009 relative Ă  l’accessibilitĂ© des bĂątiments d’habitation collectifs existants, et des Ă©tablissements recevant du public et installations ouvertes au public existants, modifiant la circulaire interministĂ©rielle DGUHC n° 2007-53 du PDF - Ko Jurisprudence Toute nouvelle jurisprudence "AccessibilitĂ©" peut ĂȘtre signalĂ©e en adressant un message Ă  Bailleurs sociaux financement de la mise en accessibilitĂ© Le Conseil d’Etat dĂ©cision n°374751 du 21 octobre 2015 considĂšre que si, pour ĂȘtre dĂ©ductibles en application des dispositions de l’article 1391 C du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, des dĂ©penses doivent avoir Ă©tĂ© engagĂ©es pour des travaux qui, dans leur totalitĂ© ou pour partie, amĂ©liorent effectivement l’accessibilitĂ© des immeubles et logements pour les personnes en situation de handicap, ces travaux ne doivent pas nĂ©cessairement porter spĂ©cifiquement sur des Ă©quipements spĂ©cialisĂ©s pour les personnes handicapĂ©es. ResponsabilitĂ© dĂ©cennale l’accessibilitĂ© fait partie de la destination La cour de Cassation a indiquĂ© dans sa dĂ©cision du 5 novembre 2013 pourvoi n°12-25417 que des rampes rĂ©alisĂ©es non conformes aux prĂ©visions contractuelles normes rĂ©glementaires notamment ne permettent pas l’accĂšs des handicapĂ©s et rendent l’ouvrage impropre Ă  son utilisation. En consĂ©quence, elles ne sont pas achevĂ©es au sens de l’article R. 261-1 du code de la construction et de l’habitation et le garant est tenu d’assurer le financement des reprises de l’ouvrage. Substitution de base lĂ©gale La cour administrative d’appel de Douai a rappelĂ© qu’un Ă©tablissement recevant du public ERP ne pouvait invoquer les dispositions juridiques applicables aux logements CAA de Douai, arrĂȘt n°14DA00401, 5 mars 2015 Solutions d’accessibilitĂ© acceptables La Cour d’appel de Pau a prĂ©cisĂ© que le concassĂ© calcaire 20/30 ne rĂ©pond pas Ă  l’objectif rĂ©glementaire de "sol non meuble, non glissant et sans obstacle Ă  la roue" arrĂȘt du 29 novembre 2012. Maintien des conditions d’accessibilitĂ© existantes Par la dĂ©cision du 4 avril 2013, pourvoi n°11-19452, la Cour de Cassation a rappelĂ© que les travaux de modification portant sur un bĂątiment ou une partie de bĂątiment d’habitation collectif doivent, au minimum, maintenir les conditions d’accessibilitĂ© existantes... sous peine de violer l’article R. 111-18-8 du code de la construction et de l’habitation. Annulation de permis de construire et AccessibilitĂ© Conditions d’annulation d’un permis de construire d’un bĂątiment d’habitation collective Cour administrative d’appel de Nantes, ArrĂȘt du 22 octobre 2010, n°09NT01934 le non respect des rĂšgles d’accessibilitĂ© ne peut ĂȘtre invoquĂ© pour demander l’annulation d’un permis de construire, si le maĂźtre d’ouvrage et le maĂźtre d’oeuvre ont joint une notice dans laquelle ils s’engagent Ă  respecter les prescriptions d’accessibilitĂ© et ils dĂ©crivent les caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©rales des locaux, installations et amĂ©nagements extĂ©rieurs au regard de ces rĂšgles d’accessibilitĂ©. Annulation d’un permis de construire Cour administrative d’appel de Nantes, ArrĂȘt du 8 avril 2008, n°07NT02525 la Cour a annulĂ© le permis de construire d’un bĂątiment d’habitation collective car la notice d’accessibilitĂ© jointe Ă  la demande de permis de construire indiquait explicitement que plusieurs prescriptions rĂ©glementaires d’accessibilitĂ© en seraient pas respectĂ©es. RĂ©duction de la SHON des logements construits en respectant les rĂšgles d’accessibilitĂ© DĂ©duction des 5m2 de SHON Cour administrative d’appel de Nantes, ArrĂȘt du 21 avril 2009, n°08NT02038 le bĂ©nĂ©fice de la dĂ©duction forfaitaire de 5m2 par logement n’est subordonnĂ©e qu’au respect des rĂšgles relatives Ă  l’accessibilitĂ© intĂ©rieure des logements. Il ne peut ĂȘtre exigĂ© de satisfaire les prescriptions techniques portant sur l’extĂ©rieur du logement, par exemple sur les places de stationnement adaptĂ©es aux personnes handicapĂ©es. ModalitĂ© de vĂ©rification du respect des rĂšgles d’accessibilitĂ© Tribunal administratif de Versailles, Jugement du 3 janvier 2011, n°0911876 le tribunal a considĂ©rĂ© que l’autoritĂ© administrative instruisant la demande de permis de construire ici le maire n’était pas compĂ©tente pour vĂ©rifier le respect des rĂšgles d’accessibilitĂ© - le demandeur s’étant engagĂ© Ă  respecter ces rĂšgles. Refus de location Condamnation d’un propriĂ©taire pour avoir refuser de louer un logement Ă  une personne handicapĂ©e sur le seul motif de son handicap - Fait constituant un dĂ©lit en vertu des articles 225-1 et 225-2 du code pĂ©nal 17Ăšme chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris, Jugement n°0402608235 du 28 juin 2005. Travaux d’accessibilitĂ© dans les copropriĂ©tĂ©s CopropriĂ©tĂ© – Tentative d’installation d’un ascenseur contre l’assentiment du conseil de copropriĂ©taires Cour d’appel de Versailles, ArrĂȘt du 25 septembre 2006 l’installation d’un ascenseur porte atteinte Ă  la sĂ©curitĂ© du bĂątiment, en rĂ©duisant une largeur de passage dĂ©jĂ  trop Ă©troite. En consĂ©quence, la dĂ©cision de refus de l’assemblĂ©e des copropriĂ©taires est lĂ©gitime et la demande d’autorisation judiciaire sollicitĂ©e, en vertu de l’article 30 de la loi du 10 juillet 1965, par la personne handicapĂ©e pour installer cet ascenseur est rejetĂ©e. CopropriĂ©tĂ© - Tentative d’installation d’un Ă©lĂ©vateur individuel pour handicapĂ© physique Cour d’appel de Lyon, n°4311/A/R, 12 fĂ©vrier 1986 La Cour a infirmĂ© le jugement du tribunal de grande instance qui avait autorisĂ© l’installation d’un Ă©lĂ©vateur individuel pour handicapĂ© physique, en vertu de l’article 30 de la loi du 10 juillet 1965. La Cour a considĂ©rĂ© que cet Ă©lĂ©vateur affectait l’aspect extĂ©rieur de l’immeuble d’habitation et qu’il Ă©tait inesthĂ©tique - deux critĂšres imposĂ©s par le rĂšglement de la copropriĂ©tĂ© pour autoriser des travaux dans les parties communes. Prescriptions applicables en matiĂšre d’interphonie Appareil d’interphonie - LĂ©galitĂ© de l’arrĂȘtĂ© du 1er aoĂ»t 2006 Cour de Cassation, ArrĂȘt du 7 juin 2010, n°316764 la Cour a considĂ©rĂ© que les auteurs de l’arrĂȘtĂ© du 1er aoĂ»t 2006 n’avaient pas fait d’erreur manifeste d’apprĂ©ciation lorsqu’ils ont dĂ©fini les prescriptions techniques applicables aux appareils d’interphonie. ConsĂ©quences d’un accident de la route et Logement Accident de la route - RĂ©paration du prĂ©judice Cour de Cassation, ArrĂȘt du 11 juin 2009, pourvoi n°08-11127 la Cour a conclu que le prix d’achat d’un logement adaptĂ© au handicap de la victime devait ĂȘtre supportĂ© par la personne responsable de l’accident... et non pas seulement les amĂ©nagements du logement rendus nĂ©cessaires par le handicap de la personne. Le caractĂšre provisoire d’une location est incompatible avec ces amĂ©nagements nĂ©cessaires. L’achat d’un logement est une consĂ©quence de l’accident et entre, par consĂ©quent, dans la rĂ©paration du prĂ©judice. Accident de la route - RĂ©paration du prĂ©judice Cour de Cassation, ArrĂȘt du 9 octobre 1996, pourvoi n° la Cour a validĂ© la position de la Cour d’appel. Celle-ci a condamnĂ© le responsable de l’accident Ă  prendre Ă  sa charge les coĂ»ts d’acquisition et d’amĂ©nagement d’un logement adaptĂ© aux besoins de la victime. Obligation de conseil du promoteur-constructeur Obligation de conseil du promoteur-constructeur Cour de Cassation, ArrĂȘt du 16 juin 2009, pourvoi n°08-15438 la Cour a rendu dĂ©finitif un arrĂȘt de la Cour d’appel de Paris prĂ©cisant que le promoteur-constructeur, en sa qualitĂ© de professionnel de l’immobilier, engage sa responsabilitĂ© pour violation de son obligation de conseil s’il n’a pas attirĂ© l’attention du futur acquĂ©reur sur les difficultĂ©s d’accĂšs aux terrasses. A l’époque, aucune disposition rĂ©glementaire ou normative n’imposait l’accessibilitĂ© des terrasses, mais des recommandations avaient Ă©tĂ© publiĂ©es dĂšs 1982. ResponsabilitĂ© de la maĂźtrise d’oeuvre ResponsabilitĂ© de l’architecte vis-Ă -vis du promoteur Cour d’appel de Toulouse, ArrĂȘt n°2000/02161, 25 juin 2001 Un projet immobilier prĂ©voyait des places de stationnement, certes plus larges que la normale, mais qui ne respectaient pas la rĂ©glementation d’accessibilitĂ©. Or le promoteur immobilier a rĂ©ceptionnĂ© sans rĂ©serve les travaux et aucun Ă©lĂ©ment ne l’a alertĂ© de cette non-conformitĂ©. La Cour a considĂ©rĂ© que cette non-conformitĂ© n’était pas couverte par la rĂ©ception sans rĂ©serve des travaux et la responsabilitĂ© de l’architecte Ă©tait engagĂ©e l’architecte doit avoir une connaissance approfondie de la rĂ©glementation en vigueur, ce qui n’est pas nĂ©cessairement le cas du promoteur. En consĂ©quence, elle a confirmĂ© la dĂ©cision sur la garantie de l’architecte vis-Ă -vis du promoteur. ResponsabilitĂ© de l’architecte vis-Ă -vis du promoteur Cour de cassation, ArrĂȘt du 22 mai 1997, Pourvoi n° La rĂ©ception sans rĂ©serve de l’ouvrage couvre les dĂ©fauts de conformitĂ© apparents de l’ouvrage et libĂšre l’architecte de sa responsabilitĂ© contractuelle de droit commun vis-Ă -vis du promoteur. Ici le juge a estimĂ© que le non respect de la lĂ©gislation relative Ă  l’accessibilitĂ© du logement correspondait effectivement Ă  un dĂ©faut de conformitĂ©. Toutefois, comme le futur acquĂ©reur avait alertĂ© le promoteur de ce problĂšme diffĂ©rence de niveau entre le palier et l’appartement avant la rĂ©ception des travaux, ce dĂ©faut de non-conformitĂ© a Ă©tĂ© jugĂ© comme apparent » par le juge - le promoteur disposant de l’expertise suffisante pour le constater par lui-mĂȘme. ResponsabilitĂ© du maĂźtre d’Ɠuvre et du bureau de contrĂŽle Cour d’appel de Rennes, ArrĂȘt du 9 mars 2006 La responsabilitĂ© du maĂźtre d’Ɠuvre est engagĂ©e lorsqu’il ne respecte pas les rĂ©glementations en vigueur
 et que son attention a Ă©tĂ© attirĂ©e sur ce point par les services de sĂ©curitĂ© incendie. En outre, il appartenait au bureau de contrĂŽle de procĂ©der aux vĂ©rifications nĂ©cessaires il ne peut s’exonĂ©rer de sa responsabilitĂ© en invoquant un manque de renseignement de la part du maĂźtre d’ouvrage. PrĂ©sence de l’acquĂ©reur au moment de la rĂ©ception des travaux Cour de Cassation, Pourvoi n°09-70235, 4 novembre 2010 La rĂ©ception des travaux au sens de l’article 1642-1 du code civil rĂ©sulte de l’acte passĂ© entre le maĂźtre de l’ouvrage et les constructeurs. La participation de l’acquĂ©reur Ă  cette rĂ©ception n’a aucun effet juridique. Obligation de loyautĂ© du vendeur Obligation de loyautĂ© et d’information du vendeur vis-Ă -vis de l’acheteur Cour d’appel d’OrlĂ©ans, ArrĂȘt du 9 janvier 2006, n°05/00342 Les vendeurs ont cachĂ© au futur acquĂ©reur que la place de stationnement vendue avec leur appartement Ă©tait en fait rĂ©servĂ©e aux personnes handicapĂ©es. La Cour a considĂ©rĂ© que, comme le parking, certes privĂ©, du bĂątiment d’habitation collective dĂ©bouchait sur la voie publique sans restriction d’accĂšs, il Ă©tait en fait une voie privĂ©e ouverte Ă  la circulation publique, et que par voie de consĂ©quence le code de la route s’appliquait. Ainsi, toute personne handicapĂ©e, rĂ©sident ou visiteur, pouvait occuper lĂ©galement cette place de stationnement, d’oĂč une Ă©ventuelle restriction d’usage et de jouissance du bien qui pouvait ĂȘtre acquis par l’acheteur. L’annulation de la promesse d’achat n’est pas susceptible d’engendrer rĂ©parations financiĂšres, car cette dĂ©cision d’achat n’était pas Ă©clairĂ©e ! Ressources documentaires Guides pratiques ou mĂ©thodologiques ANAH, "Mon chez moi avance avec moi", 2015 L'adaptation du logement aux personnes handicapĂ©es et aux personnes ĂągĂ©es PDF - Mo Halde, "AccĂšs au logement social garantir l'Ă©galitĂ©", 2011 PDF - Mo MEEM, "Organiser un systĂšme de recensement de l'offre de logements accessibles", 2011 PDF - Mo L'ANAH un acteur majeur de l'accessibilitĂ© PDF - Ko CEREMA, "Mise en accessibilitĂ© des logements existants quels points de vigilance ?", octobre 2015 VĂ©hicules adaptĂ©s, fauteuils roulants et autres engins d’aide aux dĂ©placements L'accessibilitĂ© du stationnement. Propositionde loi de simplification, de clarification et d’actualisation du droit des sociĂ©tĂ©s. Loi n° 2019‑744 du 19 juillet 2019 de simplification, de clarification et d’actualisation du droit des sociĂ©tĂ©s. L’article L. 141‑1 du code de commerce est abrogĂ©. 1 DĂ©finition de l'honorabilitĂ© professionnelle De nombreuses activitĂ©s commerciales, artisanales et industrielles, ainsi que certaines professions libĂ©rales sont soumises Ă  une autorisation d’établissement prĂ©alable. Pour obtenir cette autorisation d’établissement, la personne chargĂ©e de la gestion, de la direction, l’actionnaire ou l’associĂ© majoritaire de l'entreprise, peuvent avoir notamment Ă  justifier de leur honorabilitĂ© professionnelle. L’honorabilitĂ© vise Ă  garantir l’intĂ©gritĂ© de la profession ainsi que la protection des futurs cocontractants et clients. 2 L’honorabilitĂ© professionnelle comme condition d''exercice de la profession de transporteur de personnes ou de marchandises ou de loueur A titre d’exemple, l'exercice de la profession de transporteur ou de loueur suppose de respecter la rĂ©glementation des transports et impose de satisfaire Ă  la condition d’honorabilitĂ© professionnelle pour chacune des personnes suivantes L'entreprise, personne morale elle-mĂȘme ; Le commerçant, chef d'entreprise individuelle ; Les associĂ©s et les gĂ©rants des sociĂ©tĂ©s en nom collectif ; Les gĂ©rants des sociĂ©tĂ©s Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e ; Les associĂ©s commanditĂ©s et les gĂ©rants des sociĂ©tĂ©s en commandite ; Le prĂ©sident du conseil d'administration, les membres du directoire et les directeurs gĂ©nĂ©raux des sociĂ©tĂ©s anonymes ; Le prĂ©sident et les dirigeants des sociĂ©tĂ©s par actions simplifiĂ©es ; Le gestionnaire de transport de l'entreprise. Selon le dĂ©cret n° 99-752 du 30 aoĂ»t 1999 relatif aux transports routiers de marchandises, modifiĂ© par le 28 dĂ©cembre 2011, une personne ne satisfait pas Ă  la condition d’honorabilitĂ© professionnelle lorsqu’elle fait l’objet - Soit de plusieurs condamnations mentionnĂ©es au bulletin n° 2 du casier judiciaire prononçant une interdiction d'exercer une profession commerciale ou industrielle - Soit de plusieurs condamnations mentionnĂ©es au bulletin n° 2 du casier judiciaire pour l'un des dĂ©lits suivants - infractions aux articles 221-6-1, 222-19-1, 222-20-1, 222-34 Ă  222-42, 223-1, 225-4-1 Ă  225-4-7, 314-1 Ă  314-4, 314-7, 321-6 Ă  321-12 et 521-1 du code pĂ©nal ex trafic de stupĂ©fiant, abus de confiance, - infractions aux articles L654-4 Ă  L654-15 du code de commerce ex peines complĂ©mentaires Ă  la banqueroute telle que l'interdiction d'exercer une profession commerciale ou industrielle, - infractions aux articles L221-2, L223-5, L224-16 Ă  L. 224-18, L231-1, L233-1, L233-2, L234-1, L234-8, L235-1, L235-3, L317-1 Ă  L317-4, L325-3-1, L412-1 et L413-1 du code de la route ex conduite d'un vĂ©hicule sans dĂ©tention du permis de conduire, refus de remettre le permis de conduire en raison du retrait de tous les points, - infractions aux articles L5224-1 Ă  L5224-4, L8114-1, L8224-1 Ă  L8224-6, L8234-1 et L8234-2, L8243-1 et L8243-2, L8256-1 Ă  L8256-8 du code du travail ex marchandage, prĂȘt illicite de main d'Ɠuvre, travail dissimulĂ©, - infractions aux articles L1252-5 Ă  L1252-7 non-respect de la rĂ©glementation relative au transport de matiĂšres dangereuses, L3242-2 Ă  L3242-5 non-respect des rĂšgles de la concurrence, L3315-4 Ă  L3315-6, L3452-6, L3452-7, L3452-9 et L3452-10 du code des transports ex exercice de l'activitĂ© sans autorisation, - infractions aux dispositions de l'article L541-46-5° du code de l'environnement non-respect de la rĂ©glementation relative au transport de dĂ©chets qui peuvent causer des nuisances portant atteinte Ă  la santĂ© de l'homme et Ă  l'environnement, - Soit de plusieurs amendes pour les contraventions visĂ©es - Ă  l'article R323-1 du code de la route non respect des obligations de contrĂŽle technique des vĂ©hicules, - aux articles R312-2 Ă  312-4 du code de la route non respect des rĂšgles relatives au poids total autorisĂ©, - aux articles 22 et 23 du dĂ©cret n°2007-1340 du 11 septembre 2007 non respect des obligations de qualification initiale et de formation continue des conducteurs et non prĂ©sentation des documents justificatifs, - Ă  l'article 3, paragraphe III du dĂ©cret n°86-1130 du 17 octobre 1986 ex dĂ©passement des temps de conduite. Les personnes physiques ci-dessus mentionnĂ©es qui souhaitent crĂ©er une activitĂ© de transport, diriger une entreprise de transport ou devenir gestionnaire de transport ne satisfont pas Ă  l'exigence d'honorabilitĂ© professionnelle lorsqu'elles ont fait l'objet de plusieurs des condamnations prĂ©-listĂ©es. Les personnes qui ne rĂ©sident pas en France ou qui rĂ©sident en France depuis moins de 5 ans doivent apporter la preuve qu'elles satisfont dans leur Etat de rĂ©sidence habituelle ou dans l'Etat de la rĂ©sidence habituelle prĂ©cĂ©dente Ă  la condition d'honorabilitĂ© professionnelle dĂ©finie par cet Etat pour l'accĂšs Ă  la profession de transporteur si l'Etat de rĂ©sidence habituelle est partie Ă  l'accord sur l'Espace Ă©conomique europĂ©en. Les personnes physiques qui dirigent une entreprise de transport ou sont gestionnaires de transport dans une entreprise inscrite au registre Ă©lectronique national des entreprises de transport par route, ne satisfont pas Ă  l'exigence d'honorabilitĂ© au regard de l'exercice de la profession lorsqu'elles font l'objet d'une dĂ©cision du prĂ©fet de rĂ©gion ayant prononcĂ© la perte de cette honorabilitĂ© au vu des condamnations pour des infractions prĂ©-listĂ©es. 3 La procĂ©dure prĂ©fectorale de la perte d’honorabilitĂ© dans la profession de transporteur de personnes ou de marchandises ou de loueur Lorsque le prĂ©fet de rĂ©gion est informĂ© d'une condamnation pĂ©nale ou d'une sanction prononcĂ©es dans un ou plusieurs Etats membres de l'Union europĂ©enne autres que la France Ă  l'encontre d'un gestionnaire de transport ou d'une entreprise en raison d'une ou plusieurs infractions mentionnĂ©es dans la liste prĂ©citĂ©, il engage la procĂ©dure administrative. Le prĂ©fet de rĂ©gion apprĂ©cie le caractĂšre proportionnĂ© ou non de la perte de l'honorabilitĂ© en fonction de l'incidence sur l'exercice de la profession aprĂšs avis de la commission rĂ©gionale des sanctions administratives. Le prĂ©fet de rĂ©gion avise la personne concernĂ©e des faits qui lui sont reprochĂ©s et de la sanction qu'elle encourt. La personne visĂ©e est mise Ă  mĂȘme de prĂ©senter ses observations Ă©crites ou orales dans un dĂ©lai de quinze jours. Elle a accĂšs au dossier et peut se faire assister ou reprĂ©senter par un avocat. Au terme de cette procĂ©dure, le prĂ©fet de rĂ©gion peut prononcer la perte de l'honorabilitĂ© professionnelle. Cette dĂ©cision fixe la durĂ©e de la perte de l'honorabilitĂ©, qui ne peut excĂ©der deux ans lorsque la personne a Ă©tĂ© condamnĂ©e pour des contraventions ou la durĂ©e prĂ©vue aux articles 133-12 et suivants du code pĂ©nal et 782 et suivants du code de procĂ©dure pĂ©nale lorsqu'elle a Ă©tĂ© condamnĂ©e pour des dĂ©lits. Si le prĂ©fet de rĂ©gion conclut que la perte de l'honorabilitĂ© constituerait une mesure disproportionnĂ©e, il peut dĂ©cider que l'honorabilitĂ© n'est pas remise en cause. Dans ce cas, les motifs qui sous-tendent cette dĂ©cision sont inscrits dans le registre Ă©lectronique national des entreprises de transport par route. Je suis Ă  votre disposition pour toute information ou action. PS Pour une recherche facile et rapide des articles rĂ©digĂ©s sur ces thĂšmes, vous pouvez taper vos "mots clĂ©s" dans la barre de recherche du blog en haut Ă  droite, au dessus de la photographie. Anthony BemAvocat Ă  la Cour27 bd Malesherbes - 75008 ParisTel 01 40 26 25 01 Email abem HomePage Articles L 624 9 Et Suivants Du Code De Commerce. Articles L 624 9 Et Suivants Du Code De Commerce Page 11 sur 50 - Environ 500 essais FiscalitĂ© 24117 mots | 97 pages large publicitĂ© dans les grandes sociĂ©tĂ©s surtout quand elles sont cotĂ©es en bourse. Les comptes sont certifiĂ©s par les commissaires aux comptes externe Approbation des associĂ©s Communication La publication au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales prĂ©vue Ă  l'article L. 141-12 contient les indications mentionnĂ©es Ă  l'article R. 123-211. La publication dans un support habilitĂ© Ă  recevoir les annonces lĂ©gales prĂ©vue Ă  l'article L. 141-12 est effectuĂ©e sous forme d'extrait ou d'avis et contient les indications suivantes 1° Sauf lorsqu'il s'agit d'un acte authentique, les date, volume et numĂ©ro de la perception auprĂšs de laquelle l'acte contenant mutation est enregistrĂ© ou, en cas de simple dĂ©claration prescrite par les articles 638 et 653 du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts, la date et le numĂ©ro du rĂ©cĂ©pissĂ© de cette dĂ©claration et dans les deux cas, l'indication du bureau oĂč ont eu lieu ces opĂ©rations ; 2° La date de l'acte ; 3° En ce qui concerne l'ancien et le nouveau propriĂ©taire, leurs nom, prĂ©noms et domicile s'il s'agit de personnes physiques, leurs dĂ©nomination ou raison sociale et adresse du siĂšge social s'il s'agit de personnes morales ; 4° La nature et le siĂšge du fonds ; 5° Le prix stipulĂ©, y compris les charges ou l'Ă©valuation ayant servi de base Ă  la perception des droits d'enregistrement ; 6° L'indication du dĂ©lai fixĂ© par l'article L. 141-14 pour les oppositions ; 7° Une Ă©lection de domicile dans le ressort du tribunal. HomePage Articles L 624 9 Et Suivants Du Code De Commerce. Articles L 624 9 Et Suivants Du Code De Commerce Page 25 sur 50 - Environ 500 essais Finaces publiques 109813 mots | 440 pages StĂ©phanie, Instruments de crĂ©dit et de paiement, Dalloz Cours. Consultation : DE JUGLART, IPPOLITO, TraitĂ© de droit commercial, tome 2, les effets de commerce, LGDJ PEROCHON,
Article L141-1 abrogĂ© Version en vigueur du 11 dĂ©cembre 2016 au 21 juillet 2019AbrogĂ© par LOI n°2019-744 du 19 juillet 2019 - art. 1ModifiĂ© par LOI n°2016-1691 du 9 dĂ©cembre 2016 - art. 129I. - Dans tout acte constatant une cession amiable de fonds de commerce, consentie mĂȘme sous condition et sous la forme d'un autre contrat ou l'apport en sociĂ©tĂ© d'un fonds de commerce, sauf si l'apport est fait Ă  une sociĂ©tĂ© dĂ©tenue en totalitĂ© par le vendeur, le vendeur est tenu d'Ă©noncer 1° Le nom du prĂ©cĂ©dent vendeur, la date et la nature de son acte d'acquisition et le prix de cette acquisition pour les Ă©lĂ©ments incorporels, les marchandises et le matĂ©riel ;2° L'Ă©tat des privilĂšges et nantissements grevant le fonds ;3° Le chiffre d'affaires qu'il a rĂ©alisĂ© durant les trois exercices comptables prĂ©cĂ©dant celui de la vente, ce nombre Ă©tant rĂ©duit Ă  la durĂ©e de la possession du fonds si elle a Ă©tĂ© infĂ©rieure Ă  trois ans ;4° Les rĂ©sultats d'exploitation rĂ©alisĂ©s pendant le mĂȘme temps ;5° Le bail, sa date, sa durĂ©e, le nom et l'adresse du bailleur et du cĂ©dant, s'il y a - L'omission des Ă©nonciations ci-dessus prescrites peut, sur la demande de l'acquĂ©reur formĂ©e dans l'annĂ©e, entraĂźner la nullitĂ© de l'acte de vente.
LegĂ©ant de l’e-commerce souhaite filer un coup de main aux petits commerces fermĂ©s avec le reconfinement 02/11/20 40 commentaires 850 partages Sauvegarder l'article
Si le prix d’un fonds de commerce Ă©tait remis au vendeur dĂšs la signature de la vente, et s’il devenait insolvable, ses crĂ©anciers pourraient se retourner contre l’acquĂ©reur. C’est pourquoi, pour assurer la sĂ©curitĂ© de ce dernier, le prix est conservĂ© entre les mains de l’avocat sĂ©questre pendant toute la durĂ©e des dĂ©lais d’opposition accordĂ©s aux crĂ©anciers. Cette pĂ©riode d’indisponibilitĂ© rĂ©sulte du temps nĂ©cessaire Ă  l'accomplissement de formalitĂ©s administratives par le vendeur ou par l'intermĂ©diaire telles que les dĂ©clarations et publicitĂ©s lĂ©gales . Aucun transfert amiable ou judiciaire du prix ou d’une partie du prix de vente du fonds de commerce ne sera opposable aux crĂ©anciers qui se font connaĂźtre dans le dĂ©lai de dix jours suivant la derniĂšre en date des publications. L’opposition a ainsi pour effet de prolonger l’indisponibilitĂ© du prix de vente du fonds de commerce Si l’acheteur payait avant l’expiration de ce dĂ©lai, il pourrait, en cas d’opposition des crĂ©anciers du vendeur, ĂȘtre obligĂ© de leur verser une deuxiĂšme fois le prix du fonds. Par ailleurs, Ă  partir du jour de la dĂ©claration de la cession Ă  l’administration fiscale, cette derniĂšre bĂ©nĂ©ficie d'un dĂ©lai de trois mois pendant lequel l’acheteur peut ĂȘtre rendu responsable solidairement avec le vendeur du paiement de l’impĂŽt sur le revenu affĂ©rent aux bĂ©nĂ©fices rĂ©alisĂ©s pendant la derniĂšre annĂ©e, de l'impĂŽt sur les sociĂ©tĂ©s pour le dernier exercice et, Ă©galement, de la taxe d'apprentissage. Cependant, la solidaritĂ© de l'acheteur est limitĂ©e au prix de cession. Ainsi, dans l'intĂ©rĂȘt des crĂ©anciers du vendeur et en vertu de l’article du code de commerce, le prix est indisponible pendant la durĂ©e des dĂ©lais d’opposition accordĂ©s aux crĂ©anciers. Reprenons donc dans un premier temps le dĂ©tail de ces dĂ©lais 1 pour ensuite les rĂ©sumer dans le tableau ci-dessous 2. 1 Le dĂ©tail "en vrac" des dĂ©lais lĂ©gaux affĂ©rents au paiement du prix de cession de fonds de commerce Ces dĂ©lais se dĂ©comptent Ă  partir des publicitĂ©s lĂ©gales obligatoires qui suivent l’acte de vente. Dans les 15 jours Ă  compter du jour de la signature de l’acte de vente, une publicitĂ© est effectuĂ©e dans un journal d’annonces lĂ©gales local habilitĂ© Ă  recevoir ce genre d’insertion. Dans les 3 jours de cette insertion, la vente doit Ă©galement ĂȘtre publiĂ©e dans le Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales BODACC. Enfin, le dossier est dĂ©posĂ© au registre du commerce, en vue de l’immatriculation de l’acquĂ©reur, Ă  la seule diligence du greffier du tribunal de commerce. Ainsi, les crĂ©anciers du vendeur peuvent se manifester et faire une opposition. Le montant de la cession de fonds de commerce est en pratique dĂ©posĂ© mais l'avocat a l’obligation de bloquer le prix de cession durant une pĂ©riode de 10 jours suivant la publication de la vente au BODACC. Les oppositions des crĂ©anciers au paiement du prix de vente doivent ĂȘtre formĂ©es par acte extrajudiciaire, Ă  peine de nullitĂ©, dans les 10 jours Ă  compter de la derniĂšre des publications. A dĂ©faut d'opposition formĂ©e dans ce dernier dĂ©lai et de sĂ»retĂ© inscrite sur le fonds de commerce, le prix est remis au vendeur. En cas d’opposition, la pĂ©riode d’indisponibilitĂ© du prix de cession est prolongĂ©e. L'avocat sĂ©questre doit rĂ©partir le prix dans les trois mois de la vente, avec l’accord du vendeur et des inscrits, opposants et saisissants, en application de l'article alinĂ©a 1er du code de commerce. Pendant un dĂ©lai de 20 jours Ă  compter de la derniĂšre des publications, un crĂ©ancier ayant fait opposition et qui estime que le prix de vente est insuffisant, peut former surenchĂšre du 1/6 du seul prix des Ă©lĂ©ments incorporels du fonds. Le fonds est alors remis en vente. Enfin, tout crĂ©ancier inscrit sur le fonds, qui estime le prix trop bas, peut effectuer une surenchĂšre dite du dixiĂšme. Le montant de l’offre d’achat sera alors du prix de vente dĂ©clarĂ© dans l’acte, majorĂ© de 1/10Ă©me du prix des Ă©lĂ©ments incorporels. L’acquĂ©reur du fonds est responsable solidairement avec son vendeur du paiement de l’impĂŽt sur le revenu des personnes physiques ; de l’impĂŽt sur les sociĂ©tĂ©s ; des plus-values ; des redressements fiscaux ; de la taxe professionnelle. L’acquĂ©reur peut ĂȘtre mis en cause pendant un dĂ©lai de trois mois, qui commence Ă  courir du jour de la dĂ©claration de vente effectuĂ©e par le vendeur. Cette dĂ©claration doit ĂȘtre faite dans les 60 jours de la publication de la vente dans un journal d’annonces lĂ©gales. En consĂ©quence si le prix de vente est distribuĂ© avant l’expiration d’un dĂ©lai Ă©quivalent Ă  137 jours soit environ 5 mois, l’acquĂ©reur peut ĂȘtre poursuivi par l’administration fiscale en paiement des impĂŽts du vendeur. Ce dĂ©lai de solidaritĂ© fiscale peut toutefois ĂȘtre rĂ©duit si la dĂ©claration au TrĂ©sor incombant au vendeur est faite sans tarder aprĂšs la signature de l’acte de cession Si le fonds de commerce est grevĂ© de privilĂšges ou de nantissements, la procĂ©dure de purge permet Ă  l’acquĂ©reur d’éviter les poursuites des crĂ©anciers inscrits. Il leur adresse des notifications comprenant un certain nombre d’élĂ©ments, tels que l’identitĂ© du vendeur, le montant du prix, le montant des crĂ©ances inscrites avec acceptation par l’acquĂ©reur de rĂ©gler les dettes jusqu’à concurrence du prix. Dans l'hypothĂšse oĂč le prix de cession n'est pas payĂ© comptant mais Ă  terme, c'est Ă  dire selon un calendrier d’échĂ©ances dĂ©terminĂ©es, il est d’usage que l’acquĂ©reur du fonds de commerce signe des billets Ă  l’ordre de son vendeur pour chacune des Ă©chĂ©ances et les lui remette afin qu'il puisse ainsi les mobiliser billets de fonds ». Enfin, la durĂ©e de blocage peut ĂȘtre prĂ©vue dans le contrat de cession en tenant compte des diffĂ©rentes formalitĂ©s et des dĂ©lais maximum pour les effectuer. Ainsi, un accord contractuel entre les parties qui permettrait de retenir le prix de cession du fonds pendant une durĂ©e supĂ©rieure Ă  3 mois n'aurait qu'une force obligatoire entre les parties, de sorte que les crĂ©anciers du vendeur ne pourraient pas se le voir opposer. En cas de non-paiement dans les 3 mois de la date de l'acte de vente, un crĂ©ancier peut demander en rĂ©fĂ©rĂ© au prĂ©sident du tribunal de grande instance compĂ©tent de dĂ©signer une personne chargĂ©e de procĂ©der Ă  une distribution amiable du prix de cession du fonds dxe commerce, entre plusieurs crĂ©anciers le cas Ă©chĂ©ant. 2 Tableau rĂ©capitulatif des dĂ©lais lĂ©gaux de rĂ©tention du prix de vente d'un fonds de commerce DĂ©lai maximum DĂ©lai minimum Jour de la vente JV Date du JV Date du JV DĂ©lai d’insertion dans un journal JV + 15 jours T1 Date du JV DĂ©lai de dĂ©claration de la cession T1 + 60 jours T2 Date du JV DĂ©lai de solidaritĂ© de l’acheteur T2 + 3 mois T3 JV + 3 mois Total T1 + T2 + T3 5 mois et 15 jours 3 mois Je suis Ă  votre disposition pour toute information ou action. PS Pour une recherche facile et rapide des articles rĂ©digĂ©s sur ces thĂšmes, vous pouvez taper vos "mots clĂ©s" dans la barre de recherche du blog en haut Ă  droite, au dessus de la photographie. Anthony BemAvocat Ă  la Cour27 bd Malesherbes - 75008 ParisTel 01 40 26 25 01 Email abem

Conformémentaux articles L.111-1 et L .111-3 du Code de la consommation, les caractéristiques essentielles et les prix des Biens vendus par voie électronique sont disponibles sur le Site. Par ailleurs, le Client reçoit les informations prévues aux articles L.121-8 et L.121-9 du Code de la consommation, préalablement et postérieurement à la conclusion de la vente et notamment au

I. - A titre expĂ©rimental et pour une durĂ©e de huit ans Ă  compter de la publication de la prĂ©sente loi, dans les zones mentionnĂ©es Ă  l'article 17 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant Ă  amĂ©liorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n° 86-1290 du 23 dĂ©cembre 1986, les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tents en matiĂšre d'habitat, la commune de Paris, les Ă©tablissements publics territoriaux de la mĂ©tropole du Grand Paris, la mĂ©tropole de Lyon et la mĂ©tropole d'Aix-Marseille-Provence peuvent demander qu'un dispositif d'encadrement des loyers rĂ©gi par le prĂ©sent article soit mis en place. Sur proposition du demandeur transmise dans un dĂ©lai de quatre ans Ă  compter de la publication de la loi, un dĂ©cret dĂ©termine le pĂ©rimĂštre du territoire de la collectivitĂ© demandeuse sur lequel s'applique le dispositif, lorsque les conditions suivantes sont rĂ©unies 1° Un Ă©cart important entre le niveau moyen de loyer constatĂ© dans le parc locatif privĂ© et le loyer moyen pratiquĂ© dans le parc locatif social ; 2° Un niveau de loyer mĂ©dian Ă©levĂ© ; 3° Un taux de logements commencĂ©s, rapportĂ© aux logements existants sur les cinq derniĂšres annĂ©es, faible ; 4° Des perspectives limitĂ©es de production pluriannuelle de logements inscrites dans le programme local de l'habitat et de faibles perspectives d'Ă©volution de celles-ci. Pour chaque territoire ainsi dĂ©limitĂ©, le reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement fixe, chaque annĂ©e, par arrĂȘtĂ©, un loyer de rĂ©fĂ©rence, un loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© et un loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ©, exprimĂ©s par un prix au mĂštre carrĂ© de surface habitable, par catĂ©gorie de logements et par secteur gĂ©ographique. Au plus tard six mois avant son terme, le Gouvernement remet au Parlement un rapport d'Ă©valuation de cette expĂ©rimentation. Les logements appartenant Ă  ou gĂ©rĂ©s par des organismes d'habitations Ă  loyer modĂ©rĂ© mentionnĂ©s Ă  l'article L. 411-2 du code de construction et de l'habitation ou appartenant Ă  ou gĂ©rĂ©s par des sociĂ©tĂ©s d'Ă©conomie mixte agréées en application de l'article L. 481-1 du mĂȘme code, et faisant l'objet d'une convention mentionnĂ©e Ă  l'article L. 351-2 dudit code sont exclus de cette expĂ©rimentation. II. - Pour l'application du I, les catĂ©gories de logements et les secteurs gĂ©ographiques sont dĂ©terminĂ©s en fonction de la structuration du marchĂ© locatif constatĂ©e par l'observatoire local des loyers. Chaque loyer de rĂ©fĂ©rence est Ă©gal au loyer mĂ©dian calculĂ© Ă  partir des niveaux de loyers constatĂ©s par l'observatoire local des loyers selon les catĂ©gories de logements et les secteurs gĂ©ographiques. Chaque loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© et chaque loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ© sont fixĂ©s, respectivement, par majoration et par minoration du loyer de rĂ©fĂ©rence. Les compĂ©tences attribuĂ©es au reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement par le prĂ©sent article sont exercĂ©es dans la rĂ©gion d'Ile-de-France par le reprĂ©sentant de l'Etat dans la rĂ©gion. Le loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© est Ă©gal Ă  un montant supĂ©rieur de 20 % au loyer de rĂ©fĂ©rence. Le loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ© est Ă©gal au loyer de rĂ©fĂ©rence diminuĂ© de 30 %. III. - A. - Dans les territoires oĂč s'applique l'arrĂȘtĂ© mentionnĂ© au I, le loyer de base des logements mis en location est fixĂ© librement entre les parties lors de la conclusion du contrat de bail, dans la limite du loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ©. Une action en diminution de loyer peut ĂȘtre engagĂ©e si le loyer de base prĂ©vu dans le contrat de bail est supĂ©rieur au loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© en vigueur Ă  la date de signature de ce contrat. La commission dĂ©partementale de conciliation prĂ©vue Ă  l'article 20 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 prĂ©citĂ©e est compĂ©tente pour l'examen des litiges relatifs Ă  cette action en cas de colocation du logement dĂ©finie Ă  l'article 8-1 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 prĂ©citĂ©e, le montant de la somme des loyers perçus de l'ensemble des colocataires ne peut ĂȘtre supĂ©rieur au montant du loyer applicable au logement en application du prĂ©sent article. B. - Un complĂ©ment de loyer peut ĂȘtre appliquĂ© au loyer de base tel que fixĂ© au A du prĂ©sent III pour des logements prĂ©sentant des caractĂ©ristiques de localisation ou de confort le justifiant, par comparaison avec les logements de la mĂȘme catĂ©gorie situĂ©s dans le mĂȘme secteur gĂ©ographique. Le montant du complĂ©ment de loyer et les caractĂ©ristiques du logement le justifiant sont mentionnĂ©s au contrat de bail. Lorsqu'un complĂ©ment de loyer est appliquĂ©, le loyer s'entend comme la somme du loyer de base et de ce complĂ©ment. Un complĂ©ment de loyer ne peut ĂȘtre appliquĂ© Ă  un loyer de base infĂ©rieur au loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ©. Le locataire qui souhaite contester le complĂ©ment de loyer dispose d'un dĂ©lai de trois mois Ă  compter de la signature du bail pour saisir la commission dĂ©partementale de conciliation prĂ©vue Ă  l'article 20 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 prĂ©citĂ©e, sauf lorsqu'il s'agit d'un bail mobilitĂ© soumis au titre Ier ter de la mĂȘme loi. En cas de contestation, il appartient au bailleur de dĂ©montrer que le logement prĂ©sente des caractĂ©ristiques de localisation ou de confort le justifiant, par comparaison avec les logements de la mĂȘme catĂ©gorie situĂ©s dans le mĂȘme secteur gĂ©ographique. En cas de conciliation, le montant du loyer, tenant compte de l'Ă©ventuel complĂ©ment de loyer, est celui fixĂ© par le document de conciliation dĂ©livrĂ© par la commission dĂ©partementale de conciliation. En l'absence de conciliation, le locataire dispose d'un dĂ©lai de trois mois Ă  compter de la rĂ©ception de l'avis de la commission dĂ©partementale de conciliation pour saisir le juge d'une demande en annulation ou en diminution du complĂ©ment de loyer. La fin de non-recevoir tirĂ©e de l'absence de saisine prĂ©alable de la commission dĂ©partementale de conciliation peut ĂȘtre soulevĂ©e d'office par le juge. Dans les deux cas, le loyer rĂ©sultant du document de conciliation ou de la dĂ©cision de justice s'applique Ă  compter de la prise d'effet du bail. IV. - L'arrĂȘtĂ© mentionnĂ© au I du prĂ©sent article fixe, pour les logements meublĂ©s soumis aux titres Ier bis et Ier ter de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 prĂ©citĂ©e un loyer de rĂ©fĂ©rence, un loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© et un loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ© par catĂ©gorie de logement et par secteur gĂ©ographique. Le loyer de rĂ©fĂ©rence, le loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© et le loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ© sont dĂ©terminĂ©s par l'application d'une majoration unitaire par mĂštre carrĂ© aux loyers de rĂ©fĂ©rence dĂ©finis au II du prĂ©sent article pour tenir compte du caractĂšre meublĂ© du logement. Cette majoration est dĂ©terminĂ©e Ă  partir des Ă©carts constatĂ©s entre les loyers des logements louĂ©s nus et les loyers des logements louĂ©s meublĂ©s observĂ©s par l'observatoire local des loyers. Le complĂ©ment de loyer tient compte des Ă©quipements et services associĂ©s aux logements meublĂ©s. Ces dispositions ne sont pas applicables aux logements meublĂ©s situĂ©s dans une rĂ©sidence avec services gĂ©rĂ©e selon un mode d'organisation adaptĂ© aux nĂ©cessitĂ©s des rĂ©sidents par un mandataire unique, dĂ©finis au c du 4° de l'article 261 D du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts. V. - Le contrat de location prĂ©cise le loyer de rĂ©fĂ©rence et le loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ©, correspondant Ă  la catĂ©gorie de logements. En cas d'absence dans le contrat de location de cette mention, le locataire peut, dans un dĂ©lai d'un mois Ă  compter de la prise d'effet du contrat de location, mettre en demeure le bailleur de porter cette information au bail. A dĂ©faut de rĂ©ponse du bailleur dans le dĂ©lai d'un mois ou en cas de refus de ce dernier, le locataire peut saisir, dans le dĂ©lai de trois mois Ă  compter de la mise en demeure, la juridiction compĂ©tente afin d'obtenir, le cas Ă©chĂ©ant, la diminution du loyer. VI. - Lors du renouvellement du contrat, une action en diminution de loyer peut ĂȘtre engagĂ©e si le montant du loyer fixĂ© au contrat de bail, hors montant du complĂ©ment de loyer le cas Ă©chĂ©ant, est supĂ©rieur au loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ©. Lors du renouvellement du contrat, une action en réévaluation de loyer peut ĂȘtre engagĂ©e dĂšs lors que le loyer est infĂ©rieur au loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ©. Dans les cas prĂ©vus aux deux premiers alinĂ©as du prĂ©sent VI, l'une ou l'autre des parties peut proposer un nouveau loyer Ă  son cocontractant, au moins six mois avant le terme du contrat pour le bailleur et au moins cinq mois avant le terme du contrat pour le locataire, dans les conditions de forme prĂ©vues Ă  l'article 15 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 prĂ©citĂ©e. Le montant du loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© ou minorĂ© pris en compte correspond Ă  celui qui est en vigueur Ă  la date de la proposition Ă©mise par l'une des parties. Le nouveau loyer proposĂ© dans le cadre d'une action en réévaluation de loyer est infĂ©rieur ou Ă©gal au loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ©. Le locataire peut, par rĂ©fĂ©rence aux loyers habituellement constatĂ©s dans le voisinage pour des logements comparables, contester l'action en réévaluation de loyer selon la procĂ©dure prĂ©vue au prĂ©sent article. Les loyers servant de rĂ©fĂ©rence doivent ĂȘtre reprĂ©sentatifs de l'ensemble des loyers habituellement constatĂ©s dans le voisinage pour des logements comparables, situĂ©s soit dans le mĂȘme groupe d'immeubles, soit dans tout autre groupe d'immeubles comportant des caractĂ©ristiques similaires et situĂ©s dans la mĂȘme zone gĂ©ographique. Le nombre minimal de rĂ©fĂ©rences Ă  fournir est de trois. Toutefois, il est de six dans les communes, dont la liste est fixĂ©e par dĂ©cret, faisant partie d'une agglomĂ©ration de plus d'un million d'habitants. Lorsque le bailleur fait application du prĂ©sent VI, il ne peut donner congĂ© au locataire pour la mĂȘme Ă©chĂ©ance du contrat. La notification d'une proposition d'un nouveau loyer reproduit intĂ©gralement, Ă  peine de nullitĂ©, les dispositions du prĂ©sent VI et mentionne le montant du loyer ainsi que le loyer de rĂ©fĂ©rence majorĂ© ou le loyer de rĂ©fĂ©rence minorĂ© ayant servi Ă  le dĂ©terminer. En cas de dĂ©saccord ou Ă  dĂ©faut de rĂ©ponse du cocontractant saisi quatre mois avant le terme du contrat, l'une ou l'autre des parties peut saisir la commission dĂ©partementale de conciliation mentionnĂ©e Ă  l'article 20 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 prĂ©citĂ©e. A dĂ©faut d'accord constatĂ© par la commission dĂ©partementale de conciliation, le juge peut ĂȘtre saisi avant le terme du contrat. A dĂ©faut de saisine du juge, le contrat est reconduit de plein droit aux conditions antĂ©rieures du loyer, Ă©ventuellement rĂ©visĂ© en application de l'article 17-1 de la mĂȘme loi. Le contrat dont le loyer est fixĂ© judiciairement est rĂ©putĂ© renouvelĂ© pour la durĂ©e dĂ©finie aux articles 10 et 25-7 de ladite loi, Ă  compter de la date d'expiration du contrat. La dĂ©cision du juge est exĂ©cutoire par provision. Lorsque les parties s'accordent sur une hausse du loyer ou lorsque cette hausse est fixĂ©e judiciairement, celle-ci s'applique par tiers ou par sixiĂšme selon la durĂ©e du contrat. Toutefois, cette hausse s'applique par sixiĂšme annuel au contrat renouvelĂ©, puis lors du renouvellement ultĂ©rieur, dĂšs lors qu'elle est supĂ©rieure Ă  10 % si le premier renouvellement avait une durĂ©e infĂ©rieure Ă  six ans. Lorsque la hausse du loyer convenue entre les parties ou fixĂ©e judiciairement porte sur un contrat de location soumis aux dispositions du titre Ier bis de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 prĂ©citĂ©e, elle s'applique au contrat renouvelĂ©. Toutefois, si la hausse est supĂ©rieure Ă  10 %, elle s'applique par tiers annuel au contrat renouvelĂ© et lors des renouvellements ultĂ©rieurs. La rĂ©vision Ă©ventuelle rĂ©sultant de l'article 17-1 de la mĂȘme loi s'applique Ă  chaque valeur ainsi dĂ©finie. VII. - Lorsque le reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement constate qu'un contrat de bail ne respecte pas les dispositions du A du III, il peut mettre en demeure le bailleur, dans un dĂ©lai de deux mois, d'une part, de mettre le contrat en conformitĂ© avec le prĂ©sent article et, d'autre part, de procĂ©der Ă  la restitution des loyers trop-perçus. Le bailleur est informĂ© des sanctions qu'il encourt et de la possibilitĂ© de prĂ©senter, dans un dĂ©lai d'un mois, ses observations. Si cette mise en demeure reste infructueuse, le reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement peut prononcer une amende Ă  l'encontre du bailleur, dont le montant ne peut excĂ©der 5 000 € pour une personne physique et 15 000 € pour une personne morale. Cette dĂ©cision est motivĂ©e et indique les voies et dĂ©lais de recours. L'amende est prononcĂ©e aprĂšs que l'intĂ©ressĂ© a Ă©tĂ© mis Ă  mĂȘme de prĂ©senter ses observations. Le prononcĂ© de l'amende ne fait pas obstacle Ă  ce que le locataire engage une action en diminution de reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement peut, dans les territoires oĂč s'applique l'arrĂȘtĂ© mentionnĂ© au I, dĂ©lĂ©guer les attributions qu'il dĂ©tient en application du prĂ©sent VII, Ă  leur demande, aux prĂ©sidents des Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale compĂ©tents en matiĂšre d'habitat, au maire de Paris, aux prĂ©sidents des Ă©tablissements publics territoriaux de la mĂ©tropole du Grand Paris, au prĂ©sident de la mĂ©tropole de Lyon ou au prĂ©sident de la mĂ©tropole d'Aix-Marseille-Provence. L'arrĂȘtĂ© de dĂ©lĂ©gation prĂ©cise les modalitĂ©s et la durĂ©e de celle-ci. Le reprĂ©sentant de l'Etat dans le dĂ©partement peut y mettre fin dans les mĂȘmes conditions, de sa propre initiative ou Ă  la demande des Ă©tablissements, collectivitĂ©s et mĂ©tropoles mentionnĂ©s au prĂ©sent alinĂ©a. VIII. - Un dĂ©cret en Conseil d'Etat fixe les modalitĂ©s d'application du prĂ©sent article. L141-1 et suivant CSS). Le contentieux gĂ©nĂ©ral comprend une phase administrative obligatoire devant la commission de recours amiable (CRA) et, Ă©ventuellement, une phase judiciaire devant le TASS. Mais les litiges de santĂ© entre la caisse et l’assurĂ© relĂšvent d’une procĂ©dure spĂ©cifique : l’expertise mĂ©dicale. 2. Le parcours
Sous rĂ©serve des dispositions relatives Ă  l'apport en sociĂ©tĂ© des fonds de commerce prĂ©vues aux articles L. 141-21 et L. 141-22, toute vente ou cession de fonds de commerce, consentie mĂȘme sous condition ou sous la forme d'un autre contrat, ainsi que toute attribution de fonds de commerce par partage ou licitation, est, sauf si elle intervient en application de l'article L. 642-5, dans la quinzaine de sa date, publiĂ©e Ă  la diligence de l'acquĂ©reur sur un support habilitĂ© Ă  recevoir des annonces lĂ©gales dans le dĂ©partement dans lequel le fonds est exploitĂ© et sous forme d'extrait ou d'avis au Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales. En ce qui concerne les fonds forains, le lieu d'exploitation est celui oĂč le vendeur est inscrit au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s.
% . NASDAQ SEP22 Les documents prévus par l'article R225-83 du Code de Commerce sont tenus à la disposition des actionnaires à
Code du Travail Maroc 2021 PDF Ă  Consulter ou TĂ©lĂ©charger Le Code du travail au Maroc est le texte lĂ©gislatif qui Ă©dicte l’ensemble des rĂšgles relatives Ă  l’organisation des relations sociales au sein de l’entreprise et dans le domaine du travail. Retrouvez ici le code du travail Marocain Ă  consulter ou Ă  tĂ©lĂ©charger en format PDF. TĂ©lĂ©chargement Gratuit du Code du Travail Marocain PDF ici InterprĂ©tation du code du Travail Marocain Les droits syndicaux Dans ce domaine, les principales dĂ©faillances relevĂ©es sont les suivantes. Tout d’abord ,le nouveau code du travail n’intĂšgre nullement les stipulations de la convention 135 de l’OIT concernant la protection des reprĂ©sentants des travailleurs et cela malgrĂ© l’engagement formel du gouvernement Ă  ratifier cette convention ainsi d’ailleurs que la convention 87 sur la libertĂ© syndicale dans le cadre de la dĂ©claration du premier aoĂ»t 1996. De ce fait, le nouveau code du travail ignore l’indispensable protection des reprĂ©sentants syndicaux -membres des bureaux syndicaux au niveau des entreprises – et les facilitĂ©s dont ils doivent bĂ©nĂ©ficier pour poursuivre une activitĂ© syndicale normale. En revanche, le nouveau code du travail a renforcĂ© les prĂ©rogatives des dĂ©lĂ©guĂ©s des salariĂ©s – qui ne sont pas forcement syndiquĂ©s – en les consacrant comme reprĂ©sentants des travailleurs au niveau du comitĂ© d’entreprise, du comitĂ© d’hygiĂšne et de sĂ©curitĂ© et comme interlocuteurs uniques dans plusieurs opĂ©rations de concertation prĂ©vues par le code. Tout cela en contradiction flagrante avec le contenu de la convention 135 de l’OIT. Le code du travail au Maroc consacre et approfondit les entraves au droit de grĂšve constitutionnellement garanti Ă  travers plusieurs dispositions. Par exemple > est considĂ©rĂ©e comme une faute grave pouvant entraver le renvoi sans aucune indemnitĂ© du travailleur qui en est accusĂ©. De mĂȘme, il consacre des textes et dispositions limitant l’exercice du droit de grĂšve, comme le fameux article 288 du code pĂ©nal – qui rĂ©prime le droit de grĂšve par le biais de la soi disant entrave Ă  la libertĂ© du travail -, l’article 5 du dĂ©cret du 5 fĂ©vrier 1958 concernant le droit syndical des fonctionnaires et qui rĂ©prime toute action collective des fonctionnaires, le Dahir du 13 septembre 1938 qui permet de rĂ©quisitionner les grĂ©vistes sous peine de prison. Par ailleurs, il pose l’obligation pour les travailleurs de recourir Ă  la procĂ©dure de conciliation. Le nouveau code du travail dĂ©membre Ă©galement l’unitĂ© du cadre juridique relatif Ă  la crĂ©ation des syndicats actuellement le Dahir du 16 juillet 1957. En effet, l’adoption du code dans sa nouvelle version, entraĂźnerait une dualitĂ© douteuse du cadre juridique concernant l’activitĂ© syndicale Dahir du 16 juillet 1957 pour les fonctionnaires, code du travail pour les salariĂ©s et les employeurs entrant dans son champ d’application. Mais plus grave encore, certaines catĂ©gories des salariĂ©s- tels que les journaliers permanents ou occasionnels relevant des administrations publiques et certaines catĂ©gories de travailleurs et de citoyens ayant des intĂ©rĂȘts communs comme les paysans indĂ©pendants, les artisanats, les commerçants ou les Ă©tudiants – n’auront plus le cadre juridique pour crĂ©er un syndicat ou exercer une activitĂ© syndicale Ă  moins de recourir Ă  la loi sur les associations. Lire aussi Coronavirus et travail Vos droits en tant que salariĂ©s et employeurs La flexibilitĂ© de l’emploi Le code du travail au Maroc consacre la notion de > au dĂ©triment du droit au travail qui englobe le droit Ă  avoir un travail et le droit Ă  le garder. Cette transparaĂźt dans les stipulations suivantes -La suppression pour le travailleur du droit Ă  la titularisation aprĂšs 12 mois de travail continu dans les secteurs de l’industrie, du commerce et services et aprĂšs 6 mois dans l’agriculture. -L’élargissement du champ d’utilisation du travail sur la base de contrat Ă  durĂ©e dĂ©terminĂ©e avec ce qui en dĂ©coule comme prĂ©caritĂ© de l’emploi et comme rĂ©duction des droits. -Allongement de la pĂ©riode d’essai au cours de laquelle l’employeur peut renvoyer le salariĂ© sans prĂ©avis et sans indemnisation. -Autorisation de l’employeur Ă  diminuer la durĂ©e du travail en diminuant proportionnellement les salaires; en fait cette stipulation aboutit Ă  transformer les travailleurs permanents en travailleurs occasionnels. -Grandes facilitĂ©s accordĂ©es Ă  l’employeur pour les licenciements individuels et collectifs, mĂȘme arbitraires, des travailleurs; on signalera notamment la suppression par le code de toute contrainte administrative quant au licenciement collectif ou la fermeture pour les entreprises ayant moins de dix travailleurs et la suppression de toute peine de prison pour l’employeur fermant l’entreprise de maniĂšre illĂ©gale. -DĂ©sengagement de l’Etat dans le domaine de l’organisation de l’emploi en transfĂ©rant une partie de ses prĂ©rogatives au secteur privĂ©, autorisĂ© Ă  crĂ©er des agences d’emploi. -LĂ©galisation par le nouveau code du travail des agences de travail intĂ©rimaire qui permettent de commercialiser la main-d’Ɠuvre temporaire en contradiction flagrante avec la cĂ©lĂšbre devise de l’OIT >. Les salaires Pour ce qui est des salaires, le code du travail, en conformitĂ© avec le credo sur la intĂšgre des dispositions en totale contradiction avec la conception du salaire comme revenu stable garantissant une vie digne le code du travail envisage l’abrogation de la loi d’octobre 1959 sur l’échelle mobile des prix des salaires sans la remplacer par des stipulations permettant d’indexer obligatoirement l’évolution des salaires sur l’évolution du coĂ»t de la vie. Au lieu de stipuler l’unicitĂ© du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti SMIG garantissant un minimum de vie dans la dignitĂ©, le code consacre la possibilitĂ© de fixer plusieurs niveaux de salaires minima pour l’industrie, l’agriculture, l’administration, etc. Le code du travail permet Ă  l’employeur de diminuer les salaires proportionnellement Ă  la diminution de la durĂ©e du travail ce qui constitue une rĂ©gression par rapport Ă  la loi de 1936 relative Ă  la fixation de la durĂ©e du travail et qui interdit d’abaisser les salaires suite Ă  une diminution de la durĂ©e de travail.
Codedu Travail Maroc 2021 PDF Ă  Consulter ou TĂ©lĂ©charger: Le Code du travail au Maroc est le texte lĂ©gislatif qui Ă©dicte l’ensemble des rĂšgles relatives Ă  l’organisation des relations sociales au sein de l’entreprise et dans le domaine du travail. Retrouvez ici le code du travail Marocain Ă  consulter ou Ă  tĂ©lĂ©charger en format
Édition 2022 Votre Code du travail au format PDF inclut Index clair et pratique 10 idĂ©es reçues en droit du travail EnvoyĂ© immĂ©diatement par mail Édition 2022 - Accord de licence Legifrance DerniĂšre date de vĂ©rification de mise Ă  jour le Jeudi 18 aoĂ»t 2022 Code du travail est une source fondamentale du droit du travail il est constituĂ© des lois, rĂšglements et dĂ©crets applicables aux relations professionnelles, essentiellement dans le secteur privĂ©. C'est un outil juridique indispensable, que vous soyez salariĂ©, employeur ou reprĂ©sentant du personnel. S’agissant des relations entre l'employeur et le salariĂ©, les relations individuelles, vous y trouverez notamment, sous forme de courts articles, la lĂ©gislation concernant les... Lire la suite Code du travail est une source fondamentale du droit du travail il est constituĂ© des lois, rĂšglements et dĂ©crets applicables aux relations professionnelles, essentiellement dans le secteur privĂ©. C'est un outil juridique indispensable, que vous soyez salariĂ©, employeur ou reprĂ©sentant du personnel. S’agissant des relations entre l'employeur et le salariĂ©, les relations individuelles, vous y trouverez notamment, sous forme de courts articles, la lĂ©gislation concernant les diffĂ©rents contrats de travail, l'interdiction des discriminations, le dĂ©compte du temps de travail et le calcul des heures supplĂ©mentaires, le salaire, la fin du contrat de travail licenciement, dĂ©mission, rupture conventionnelle..., les congĂ©s payĂ©s... Vous trouverez aussi une section avocat code du travail et avocat employeur. Le Code du travail dĂ©finit Ă©galement les relations entre l'employeur et les institutions reprĂ©sentantes du personnel le licenciement collectif, le droit de grĂšve, la nĂ©gociation collective, l’accord d'entreprise, les pouvoirs du comitĂ© d'entreprise et des syndicats, les avantages sociaux accordĂ©s aux salariĂ© d'un secteur par exemple la branche mĂ©tallurgie... L’ensemble des articles du Code du travail sont rĂ©partis en huit parties, contenant une partie lĂ©gislative articles commençant par L et une partie rĂ©glementaire articles commençant par R. Chacune de ces partie est divisĂ©e en plusieurs livres, titres, chapitres et sections, dont l’intitulĂ© clair vous permettra d’identifier rapidement le contenu. Code du travail gratuit en consultation . Vous pouvez tĂ©lĂ©charger le Code du Travail France PDF payant ou consulter des articles. Notez par exemple que l'article L122-12 se retrouve dans plusieurs articles dans le nouveau code du travail article L1234-7 - L1234-10 - L1234-12 - L1224-1 et L1224-2 Vos recherches loi du travail ou code de travail. Le Code du travail regroupe les lois relatives au droit du travail français. Vous pouvez consulter gratuitement l'intĂ©gralitĂ© du Code du travail ci-dessous Liste des codes et Articles de loi Code du travail Partie rĂ©glementaire ancienne - DĂ©crets simples Partie lĂ©gislative ancienne Partie rĂ©glementaire ancienne - DĂ©crets en Conseil d'Etat Partie lĂ©gislative Partie rĂ©glementaire Ce que pensent nos clients 5 Note moyenne sur 96 avis Codes Code du travail
Afficherle niveau suivant. DĂ©cisions Recherche Open data et API; CommuniquĂ©s Article L. 442-1 du code de commerce « Les dispositions de l’article L. 442-1, I, 1° du code de commerce, prises dans leur rĂ©daction issue de l’ordonnance n°2019-359 du 24 avril 2019 et maintenue inchangĂ©e par les lois n° 2020-1508 du 3 dĂ©cembre 2020, n°2020-1525 du 7
Code des douanes de l'Union – Base juridiqueLe paquet lĂ©gislatif relatif au code des douanes de l’Union paquet lĂ©gislatif CDU» est composĂ© des actes lĂ©gislatifs suivantsCode des douanes de l’UnionUne version consolidĂ©e du code des douanes de l’Union CDU est disponible CDU a Ă©tĂ© adoptĂ© le 9 octobre 2013 par le rĂšglement UE nÂș 952/2013 du Parlement europĂ©en et du est entrĂ© en vigueur le 30 octobre 2013, bien que la plupart de ses dispositions de fond aient pris effet le 1er mai CDU a Ă©tĂ© modifiĂ© par le rĂšglement UE 2016/2339, qui modifie l’article 136 relatif aux marchandises qui ont temporairement quittĂ© le territoire douanier de l’Union par voie maritime ou CDU a Ă©galement Ă©tĂ© modifiĂ© par le rĂšglement UE 2019/474, qui a introduit des modifications techniques aux articles 34, 124, 126, 129, 139, 146, 272 et 275 du CDU. Ce rĂšglement introduit aussi un nouvel article 260 bis, destinĂ© Ă  accorder une exonĂ©ration des droits Ă  l'importation sur les marchandises rĂ©parĂ©es ou modifiĂ©es dans le cadre d’accords internationaux. En outre, cette modification comporte une disposition qui inclut l’enclave italienne de Campione d’Italia dans le territoire douanier de l’Union Ă  partir du 1er janvier 2020 et qui est Ă©troitement liĂ©e Ă  la directive UE 2019/475 du Conseil modifiant les directives TVA et accise. La directive inclut cette commune italienne dans le territoire d’imposition de l’accise de l’UE, mais elle continue de l’exclure du systĂšme commun de TVA, afin de permettre l’application d’un taux de TVA local qui correspond au taux de TVA suisse, en vue de garantir des conditions de concurrence Ă©quitables pour les opĂ©rateurs CDU a Ă©galement Ă©tĂ© modifiĂ© par le rĂšglement UE 2019/632, permettant aux autoritĂ©s douaniĂšres et aux opĂ©rateurs Ă©conomiques de continuer Ă  utiliser des dispositions transitoires c’est-Ă -dire des systĂšmes informatiques ou sur support papier existants pour l’accomplissement d’un petit nombre de formalitĂ©s douaniĂšres jusqu’en 2025 au plus tard, lorsque des systĂšmes informatiques nouveaux ou modernisĂ©s auront Ă©tĂ© mis en place pour accomplir ces dĂ©lĂ©guĂ© du CDUUne version consolidĂ©e de l’acte dĂ©lĂ©guĂ© du CDU est disponible dĂ©lĂ©guĂ© du CDU a Ă©tĂ© adoptĂ© le 28 juillet 2015 en tant que rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© UE 2015/2446 de la dĂ©lĂ©guĂ© du CDU complĂšte certains Ă©lĂ©ments non essentiels du son adoption, l’acte dĂ©lĂ©guĂ© du CDU a Ă©tĂ© modifiĂ© Ă  six reprises, essentiellement pour mieux mettre en Ɠuvre les principales rĂšgles Ă©tablies par le CDU et les adapter aux besoins des opĂ©rateurs Ă©conomiques et des administrations douaniĂšresLes articles 2, 3, 104, 106, 112, 113, 128, 138, 141, 144, 146, 181 et 184 ont Ă©tĂ© modifiĂ©s, tandis que les articles 122 bis, 124, 124 bis, 126, 126 bis et 129 bis Ă  129 quinquies ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s par l’acte dĂ©lĂ©guĂ© transitoire du CDU afin d’inclure certaines dispositions transitoires, qui s’appliqueront jusqu’à ce que les systĂšmes informatiques concernĂ©s soient pleinement articles 139 et 141 de l’acte dĂ©lĂ©guĂ© du CDU ont Ă©tĂ© corrigĂ©s par un rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© de la articles 1er point 19, 5 point 1, 10, 37 point 21, 40, 53, 55, 76, 82, 83, 97, 114, 115, 124 bis, 126 bis, 129 bis, 129 quinquies, 131, 133, 134, 136 point 1, 168, 189, 193, 195, 197, 207, 212, 215, 218, 220, 223, 228 et 231 Ă  236, ainsi que les annexes A, B, B-04, B-05, 22-01, 71-05 et 90, ont Ă©tĂ© modifiĂ©s, tandis que les articles 7 bis, 177 bis et 197 bis ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s par un rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© de la Commission applicable Ă  partir du 31 juillet 2018. Parmi les modifications une dĂ©finition rĂ©visĂ©e d’exportateur»; une prorogation du dĂ©lai d’adoption d’une dĂ©cision relative Ă  un remboursement ou une remise des droits de douane; l’introduction d’une certaine souplesse en ce qui concerne les formalitĂ©s douaniĂšres applicables aux transactions entre un territoire fiscal spĂ©cial et le territoire dont il dĂ©pend au sein d’un mĂȘme État membre, permettant aux rĂ©sidents de l’UE d’importer des voitures louĂ©es en dehors de l’UE pour de courtes pĂ©riodes, telles que des vacances, sans payer de droits Ă  l’ 84 a Ă©tĂ© modifiĂ© par un rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© de la Commission, applicable Ă  partir du 2 septembre 2018, afin de prĂ©voir plus de souplesse en ce qui concerne les critĂšres applicables Ă  une dispense de garantie ou Ă  une rĂ©duction de la 141 a Ă©tĂ© modifiĂ©, tandis que l’article 143 bis et la colonne H7 de l’annexe B ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s par un rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© de la Commission, afin de fournir un nouveau jeu de donnĂ©es pour la dĂ©claration de certains envois de faible valeur Ă  partir du 1er janvier rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© de la Commission, applicable Ă  compter du 16 juillet 2020, a modifiĂ© les articles 1er point 15, 6 point 1, 13 point 4, 17 point 1, 76, 104, 106, 112, 113, 127, 128 quinquies point 1, 138 Ă  142, 143 bis, 144, 146, 147, 163, 166, 167, 177, 220, 224, 227, 229, 230, 237, 245 point 1 et 248, ainsi que les annexes 71-03 Ă  71-05; le mĂȘme rĂšglement a Ă©galement ajoutĂ© les articles 1er points 46 Ă  53, 113 bis et 235 bis, ainsi que l’annexe 52-01, et a supprimĂ© l’article 168. Les modifications portent sur les nouvelles rĂšgles relatives aux dispenses et aux dĂ©lais de dĂ©pĂŽt d’une dĂ©claration sommaire d’entrĂ©e DSE et sur les dispositions transitoires jusqu’à la mise en place des versions successives du systĂšme de contrĂŽle des importations ICS2». En outre, le rĂšglement introduit une nouvelle dĂ©finition de la valeur intrinsĂšque ainsi que quelques dispositions transitoires pour les opĂ©rateurs postaux et les États membres, afin de permettre la mise en Ɠuvre harmonieuse des rĂšgles relatives Ă  la TVA en matiĂšre de commerce Ă©lectronique, et il crĂ©e un nouveau formulaire UE 302 pour la circulation des marchandises dans le cadre d’opĂ©rations d’exĂ©cution du CDUUne version consolidĂ©e de l’acte d’exĂ©cution du CDU est disponible d’exĂ©cution du CDU a Ă©tĂ© adoptĂ© le 24 novembre 2015 en tant que rĂšglement d’exĂ©cution UE 2015/2447 de la d’exĂ©cution du CDU vise Ă  garantir l’existence de conditions uniformes pour la mise en Ɠuvre du CDU et une application harmonisĂ©e des procĂ©dures par tous les États son adoption, l’acte d’exĂ©cution du CDU a Ă©tĂ© modifiĂ© Ă  quatre reprisespar un rĂšglement d’exĂ©cution de la Commission modifiant notamment les articles 62, 68, 163 et 329 point 8, afin de faciliter l’établissement des dĂ©clarations Ă  long terme des fournisseurs, de donner aux exportateurs davantage de temps pour obtenir un numĂ©ro REX pour l’AECG et de veiller Ă  ce que les transports routiers internationaux soient mieux garantis sur le plan financier. Ce rĂšglement est entrĂ© en vigueur le 14 juin 2017;par un rĂšglement d’exĂ©cution de la Commission modifiant notamment les rĂšgles de procĂ©dure visant Ă  faciliter l’établissement de l’origine prĂ©fĂ©rentielle des marchandises. Ce rĂšglement est entrĂ© en vigueur le 21 avril 2018;par un rĂšglement d’exĂ©cution de la Commission modifiant les articles 55, 187, 214, 234, 302, 311, 324, 329, 332, 333 et 340, essentiellement pour accroĂźtre le nombre d'Ă©lĂ©ments d’information qui seront recueillis dans le cadre du systĂšme de surveillance de l’UE concernant les marchandises mises en libre pratique, afin que les États membres puissent se conformer aux nouvelles rĂšgles relatives Ă  la TVA en matiĂšre de commerce Ă©lectronique et aux nouvelles rĂšgles en matiĂšre de lutte contre la fraude Ă  la TVA. Le nouveau rĂšglement modifie Ă©galement certaines rĂšgles relatives Ă  la sortie des marchandises du territoire douanier de l’Union. Ce rĂšglement est entrĂ© en vigueur le 1er octobre 2019;par un rĂšglement d’exĂ©cution de la Commission modifiant notamment les rĂšgles de procĂ©dure afin de tenir compte du dĂ©ploiement progressif de l’ICS2 articles 182 Ă  189, de dĂ©terminer le bureau de douane compĂ©tent pour la mise en libre pratique de certains envois de faible valeur article 218, 220 et 221 et d’introduire des rĂšgles de procĂ©dure pour l’utilisation du formulaire UE/OTAN 302 pour la circulation de marchandises militaires articles 207, 220 bis, 220 ter, 285, 286 et 287. Les nouvelles rĂšgles sont entrĂ©es en vigueur le 20 juillet Commission est assistĂ©e dans sa mission d’exĂ©cution de l’acte par un comitĂ© du code des douanes voir le registre de comitologie pour en savoir plus sur ce comitĂ©.Acte dĂ©lĂ©guĂ© transitoire du CDUUne version consolidĂ©e de l’acte dĂ©lĂ©guĂ© transitoire du CDU est disponible dĂ©lĂ©guĂ© transitoire du CDU a Ă©tĂ© adoptĂ© le 17 dĂ©cembre 2015 en tant que rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© UE 2016/341 de la dĂ©lĂ©guĂ© transitoire du CDU Ă©tablit des rĂšgles transitoires pour les opĂ©rateurs et les autoritĂ©s douaniĂšres dans l’attente de la mise Ă  niveau ou du dĂ©veloppement des systĂšmes informatiques concernĂ©s destinĂ©s Ă  crĂ©er un environnement douanier entiĂšrement 12 de l’acte dĂ©lĂ©guĂ© transitoire du CDU a Ă©tĂ© corrigĂ©e par un rĂšglement dĂ©lĂ©guĂ© de la Commission publiĂ© au Journal officiel L 121 le 11 mai de travail du CDULa version actuelle du programme de travail du CDU a Ă©tĂ© adoptĂ©e le 13 dĂ©cembre 2019 en tant que rĂšglement d’exĂ©cution UE 2019/2151 de la programme de travail du CDU concerne la mise au point et le dĂ©ploiement des systĂšmes Ă©lectroniques prĂ©vus dans le CDU et est Ă©troitement liĂ© Ă  l’acte dĂ©lĂ©guĂ© transitoire du d’exĂ©cution Ă©tablissant des dispositions techniques relatives aux systĂšmes Ă©lectroniques du CDUUn rĂšglement d'exĂ©cution Ă©tablissant des dispositions techniques aux fins de la conception, du fonctionnement et de l'exploitation des systĂšmes Ă©lectroniques pour l'Ă©change d'informations ainsi que le stockage de ces informations, conformĂ©ment au code des douanes de l'Union fixe les rĂšgles rĂ©gissant 5 des 17 systĂšmes Ă©lectroniques du programme de travail du CDUle systĂšme de dĂ©cisions douaniĂšres;le systĂšme de gestion uniforme des utilisateurs et de signature numĂ©rique;le systĂšme de renseignements tarifaires contraignants europĂ©ens;le systĂšme d’enregistrement et d’identification des opĂ©rateurs Ă©conomiques;le systĂšme de l'opĂ©rateur Ă©conomique Commission utilise Ă©galement les pouvoirs qui lui sont confĂ©rĂ©s par le CDU pour adopter des actes d’exĂ©cution Ă  des fins spĂ©cifiques ou techniques, comme pour le classement tarifaire des marchandises et les dĂ©rogations temporaires aux rĂšgles d’origine prĂ©fĂ©rentielle. N1lsXxd.
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