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Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon Japon le display ... Voir le deal MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageMisoko KInvitĂ©Sujet Retour aux sources Sam 6 Mai 2006 - 1332 Misoko avait bien mangĂ© ce soir et il avait son ventre bien remplit , il marchait plutĂŽt bizarrement , une main sur le bas de son ventre , un petit tournis s'emparer de lui chaque minute , au bout d'un moment , il s'assit sur un vieux banc blanc , bien rouillĂ© , il sortit de sa poche une de ses nombreuses cigarettes et l'alluma grĂące a un coup de baguette , il avait auparavant vĂ©rifiĂ© qu'aucuns moldus fouineurs n'Ă©taient dans les parages , il soupira en regardant une maison typique du japon faite dans un bois assez beau et plutĂŽt solide , la porte elle aussi Ă©tait en bois mais paraissait plus abĂźmĂ© et un peu plus vieille , le toit Ă©tait fait avec une matiĂšre bizarre , mĂ©langĂ© avec une peau que Misoko ne sut reconnaĂźtre , il souria tout en fumant , au bout d'un petit quart d'heure de repos , Misoko a deux doigts de tomber dans un profond sommeil , la nuit s'Ă©tait installĂ© et les maisons n'Ă©taient que de vagues ombres noires , il se releva difficilement , l'oeil gauche fermĂ© par la fatigue et l'autre qui ne tarderais pas , il avait louĂ© une chambre dans un hĂŽtel au bord de l'ocĂ©an pacifique , l'hĂŽtel en question n'Ă©tait autre qu'un beau manoir en bois , sur tous les murs pendaient de drĂŽles d'amulettes , de jolies statuettes Ă©taient soigneusement posĂ©s sur les rebords des fenĂȘtres , une fois arrivĂ© , un homme habillĂ© d'un costume blanc traditionnel fit son apparition et l'invita a le suivre , Misoko logeait au second Ă©tage dans la plus luxueuse des chambres , a l'intĂ©rieur , les murs Ă©taient peins en rouge , un magnifique tableau reprĂ©sentant un dragon a deux tĂȘtes Ă©tait placĂ© sur le mur situĂ© en face de la porte d'entrĂ©e , Misoko fixa le lit , celui-ci avait une tendance vieille Ă©poque et les rebords Ă©taient sculptĂ©s , ceux ci reprĂ©sentaient des dessins historiques et des belles phrases , Misoko se jeta dans celui-ci sans se gener , il remarqua soudainement que sa tenue et son corps Ă©taient loin d'ĂȘtre propres , il soupira en se relevant et se dirigea vers une des portes secondaires , il l'ouvra dĂ©licatement et tomba d'abord sur les toilettes , celles-ci formaient la bouche d'un dragon , elles Ă©taient en bois trĂšs clairs et les murs Ă©taient recouverts de magnifiques parures blanches de soie sĂ»rement , il sortit et se dirigea fatiguĂ© vers la seconde porte , l'ouvra et tomba sur la douche , celle-ci par contre Ă©tait plutĂŽt simple , un conduit passait par la douche et s'arrĂȘtait juste au dessus de la tĂȘte de Misoko , il y'avait juste a cotĂ© un beau levier pour empĂȘcher ou pas de faire sortir l'eau , comme tout le monde le sait , le japon est plutĂŽt pauvre dans ses campagnes et Misoko n'avait donc pas le luxe d'avoir de l'eau chaude malgrĂ© la chaleur de la nuit , cette douche expresse le rĂ©veilla et le fit frissonner , il retourna tranquillement dans son lit avec un nouveau jean , un tee-shirt moulant , il s'endormit vite et le lendemain , il entendit un chant bizarre qui le fit brutalement reprendre ses esprits , il soupira encore une fois , enfila ses pantoufles en coton bien frais et se lava le visage avec de l'eau toujours froide et quelques plantes rares offertes par l'homme rencontrĂ© hier , une fois sortit de sa chambre , il se dirigea vers la piĂšce du rez de chaussĂ© ou se trouvait le repas du matin , mais soudain Misoko entendit un drĂŽle de bruit comme un fracassement d'objets en verre , il se prĂ©cipita et trouva un homme par terre , sĂ»rement un des servants , il avait du sang plein son habit blanc et semblait ĂȘtre partit de ce monde , Misoko se dirigea vers le gĂ©rant de l'hĂŽtel et lui montra le cadavre celui-ci fut paralysĂ© et au bout de quelques secondes se mit a crier a la mort , Misoko lui s'Ă©tait retirĂ© dans le jardin et il remarqua par terre le fameux insigne des Aurors ... CalypsoInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Sam 6 Mai 2006 - 2046 [HS DĂ©solĂ©e si quelqu'un devait rĂ©pondre, j'enlĂšverai donc mon message je t'ai envoyĂ© un MP]Cela faisait dĂ©jĂ pas mal de temps que Calypso avait prĂ©vu de partir au Japon. Elle avait utilisĂ© la Poudre de Cheminette pour arriver dans un magasin, lĂ ou personne ne pouvait la voir, ce qui la soulagea. Mais lorsquâelle entra par derriĂšre dans le magasin, certains restĂšrent Ă©tonnĂ©s, se demandant dâoĂč elle sortait. De plus, elle portait une robe noire avec une cape, sur lesquelles elle tapota pour enlever la poussiĂšre. En affichant un sourire un peu gĂȘnĂ©e et timide elle sâexcusa - Veuillez mâexcuser, je me suis trompĂ©e en pensant que ça continuait au fond⊠Pour ĂȘtre plus crĂ©dible, Calypso resta un moment Ă regarder ce qui se vendait ici. CâĂ©tait un magasin de jouets⊠Il nây avait rien de bien intĂ©ressant Ă acheter, elle nâavait pas dâenfants⊠Mais elle prit quand mĂȘme une peluche pour ne pas ressortir les mains vides. Pendant que le vendeur la remerciait, Calypso repensa Ă la cause de sa venue ici. Elle y Ă©tait nĂ©e.. MĂȘme si elle ne savait pas oĂč exactement, elle Ă©tait Japonaise et pourrait trouver des rĂ©ponses Ă ses questions au Japon, pourquoi se fatiguait-elle Ă voir ailleurs ? Par contre, pour le choix de ce magasin, Calypso ne saurait lâexpliquer. Allait-elle encore avoir des ennuis ? Enfin, il fallait mieux pas quâelle y pense trop, et quâelle fasse ce quâelle avait Ă faire⊠ce nâĂ©tait pas facile, par oĂč commencer ? Quâest-ce quâelle devait faire exactement ? Allait-elle se souvenir de quoi que ce soit, ou allait retrouver des proches, peut-ĂȘtre mĂȘme ses vrais parents ? Elle Ă©tait en mĂȘme temps un peu nerveuse que cela lui arrive aujourdâhui, elle ne sây Ă©tait pas prĂ©parĂ©e et ne se sentait pas encore assez bien pour revoir sa se souvenait dâune boĂźte et des paroles de sa mĂšre⊠enfin, celle qui lâavait adoptĂ©e en tant quâesclave. Pourquoi revenait-elle ici, si ça la faisait tant souffrir⊠? Maintenant quâelle y Ă©tait autant continuer⊠Mais elle ne se souvenait pas que sa mĂšre Ă©tait morte. Elle Ă©tait partie de chez ses parents lorsque sa mĂšre souffrait Ă©normĂ©ment. Elle avait quittĂ© ce monde trĂšs peu de temps se sentait triste et abandonnĂ©e, elle en voulait Ă ses parents de lâavoir abandonnĂ©e, Ă sa mĂšre dâĂȘtre partie, mais sans mĂȘme le savoir. Ăa restait au fond dâelle, elle savait quâelle ne pourrait jamais revoir ses parents, mais de rien dâautre elle ne pouvait se souvenir⊠et elle ne pouvait pas se faire Ă lâidĂ©e quâils ne soient plus larmes aux yeux, Calypso sâempressa de prendre la peluche et dâessuyer ses Mademoiselle, quâest-ce qui vous rend si triste ?Calypso regarda lâhomme⊠Comment savait-il quâelle Ă©tait triste ? Peut-ĂȘtre que tous ces gens en savait plus sur elle quâelle en savait⊠Câest Ă ce moment que lui vint la rĂ©ponse Ă une de ses questions. Elle pouvait commencer Je ne suis pas triste, jâai simplement une poussiĂšre dans lâĆilâŠCalypso sâessuya les yeux et regarda une fois de plus lâhomme en face dâelle. - Excusez-moi mais est-ce que vous connaissez quelquâun du nom de Ruby Tasartir ?Mais Calypso nâobtint aucune rĂ©ponse. Cet homme venait dâemmĂ©nager et ne connaissait encore personne. Elle le remercia et sortir aussitĂŽt du magasin, voyant en face dâelle un hĂŽtel. Elle nâavait mĂȘme plus besoin de chercher elle sây rendit immĂ©diatement et entra dans le petit appartement quâelle avait louĂ© pour une semaine. Elle ne pensait pas restĂ©e si longtemps, mais peut-ĂȘtre quâelle trouverait quelquâun chose qui pourrait lâaiderâŠEn entrant dans la chambre, elle fit apparaĂźtre une petite valise quâelle ne prit mĂȘme pas la peine dâouvrir, elle visita les quelques salles et prit rapidement une douche et sâallongea sur le lit. Elle ne voulait pas sâendormir maintenant puisquâelle avait des recherches Ă effectuer, et puis elle ne saurait pas quoi faire le soir si elle dormait le Ă©tait habillĂ©e de façon plus moldue et ouvrit une fenĂȘtre pour respirer lâair frais du matin, aprĂšs une bonne douche⊠froide. Elle entendit un chant et pensa que câĂ©tait dans sa tĂȘte. Mais par la suite, quelque chose se fit entendre bien plus que ce chant. Des verres sâĂ©taient cassĂ©s et un homme Ă©tait sĂ»rement tombĂ© violemment au sol. Calypso ne savait pas si elle devait restĂ© ou sortir de la chambre. Ce nâĂ©tait peut-ĂȘtre quâune simple chute, et elle nâavait pas Ă sâinquiĂ©ter. Mais elle fut tout de mĂȘme trop curieuse et sortit voir ce qui se passait. Elle vit un homme par terre, apparemment mort, et le gĂ©rant de lâhĂŽtel tout prĂšs. Dâautres personnes allaient bientĂŽt arrivĂ©s et avait remarquĂ© rapidement la prĂ©sence de quelquâun dans le jardin. Son attention restait tout de mĂȘme sur lâhomme par terre. Lorsquâelle comprit quâil Ă©tait vraiment mort, elle poussa un cri de surprise et inspira profondĂ©ment, sans savoir quoi faire ⊠Misoko KInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Dim 7 Mai 2006 - 1251 Misoko se releva doucement , le badge dans les mains , il fronça ses sourcils noirs et fit lentement le tour du jardin en inspectant bien tout , chaque recoin , chaque buisson , enfin au bout d'environ cinq minutes , Misoko rentra a l'intĂ©rieur , la police locale Ă©tait sur les lieux , ils Ă©taient arrivĂ©s sur des chevaux blancs , il y'en avait en tout cinq , Misoko fronça a nouveau ses sourcils et passa devant les officiers sans rien dire , il adressa un regard au gĂ©rant de l'hĂŽtel , tout en remontant les escaliers . ArrivĂ© au sommet de ceux-ci, Misoko remarqua une trĂšs belle femme qui se tenait sur le rebord des escaliers, Misoko la dĂ©passa en la fixant de haut en bas , elle avait l'air inquiĂšte soudainement celle-ci posa brutalement ses yeux sur Misoko ce qui le surpris , il lui lança alors avec une voix calme et froide mĂȘme si un Ă©tage plus bas il y'avait des policiers et un cadavre et surtout peut-ĂȘtre un Auror Bonjour...Misoko continua alors de marcher en direction de sa chambre , il l'ouvra calmement et se rua sur son lit mĂȘme si la lune avait cĂ©dĂ© sa place au soleil , mĂȘme si dehors , quelques nuages annonçaient une journĂ©e fraĂźchement humide , il rĂ©flĂ©chit alors tout en tenant dans sa main le badge de l'un des Aurors , quelques minutes plus tard , le gĂ©rant du magasin frappa a la porte , Misoko reconnut sa voix calme et joyeuse et le fit entrer , celui-ci avait dans ses mains un plateau ou rĂ©sidait le petit dĂ©jeuner , Misoko le remercia mais lui demanda une faveurAvez vous une bonne cigarette ou un petit cigare car j'ai Ă©puisĂ© mon stock de hier Le GĂ©rant hocha d'abord la tete puis acquiesa , il avait l'air surpris c'est vrai que l'on ne demande pas souvent des cigarettes a un gĂ©rant d'un petit hĂŽtel perdu du japon , Misoko souria alors a cette pensĂ©e tout en buvant un jus trĂšs spĂ©cial , mĂ©langĂ© avec plein de fruits traditionnels , il le but coup sec , puis pris dans ses mains une assiette dans laquelle se trouvait un peu de pain avec une confiture a la fraise , Misoko remarqua alors une lettre accrochĂ©e en dessous de l'assiette , il la dĂ©crocha facilement afin de la lire , c'Ă©tait le gĂ©rant et voici ce qu'il avait Ă©critVoici du bon pain d'Europe et de la bonne confiture que j'ai faite il n'yâa pas trĂšs longtemps , mĂȘme si on est au japon , je rĂ©serve toujours un plat habituel pour mes invitĂ©s Bon dĂ©jeunerMisoko souria lĂ©gĂšrement tout en versant le petit pot de confiture dans le pain chaud dĂ©jĂ coupĂ© , une fois le petit dĂ©jeuner avalĂ© , Misoko se lava la bouche et puis alla enfiler sa veste , il allait retourner a une agence magique situĂ©e en plein la campagne japonaise , cette agence permettait de reconnaĂźtre les badges des Aurors , preter de l'argent , rafistoler des baguettes et vendre des choses au noir a des marchands , une sorte de Barjow et Beurk version japonaise , soudain , Misoko entendit un bruit de pierre venant de sa fenĂȘtre puis un petit cri Ă©touffĂ© , Misoko s'avança dĂ©licatement puis ouvra brusquement la porte , personne mais il remarqua accrochĂ© a une branche , un petit bout de tee-shirt , Misoko rĂ©flĂ©chit et eut soudain un dĂ©clique , il reconnut la couleur de tee-shirt de la femme qu'il avait croisĂ© dans le couloir , il sortit de sa chambre sans fermer la porte , il se dirigea vers la porte dans laquelle il avait vu rentrer la femme et sans frapper , il l'ouvra , la jeune femme se tenait debout , le nez dans des papiers et Misoko fixa son tee-shirt , elle l'avait changĂ© , celle-ci se retourna alors brusquement et Misoko fronça les sourcils , il ne savait pas si cette femme Ă©tait une sorciere , il hĂ©sita donc a sortir sa baguette , il montra donc le bout de tee-shirt a la jeune femme ... CalypsoInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Dim 7 Mai 2006 - 1621 DĂšs que Calypso se rendait quelque part, il fallait toujours quâil se passe quelque chose. Un homme venait dâĂȘtre assassinĂ©, dâaprĂšs ce quâelle avait vu. La femme Ă©tait restĂ©e en haut des escaliers, Ă regarder ce qui se passerait ensuite. Quâallait-elle faire de plus, monter dans sa chambre comme si rien ne sâĂ©tait passĂ© ? A lâheure quâil est, elle serait dĂ©jĂ partie de cet hĂŽtel, pensant que câĂ©tait bien trop dangereux de rester ici. Mais une fois de plus, elle restait bien trop curieuse. InquiĂšte tout de mĂȘme, elle surveillait silencieusement et le plus discrĂštement possible les gestes de ceux qui se trouvaient autour du savait que le gĂ©rant avait passĂ© un coup de fil, et cinq minutes plus tard dĂ©jĂ la police Ă©tait sur les lieux. Elle Ă©vita de croiser leur regard mais regardait toujours le corps allongĂ© sur le sol. Qui Ă©tait le meurtrier ? Un simple moldu ou un sorcier qui cherchait Ă se faire remarquer ? Calypso semblait sâĂȘtre endormit tout en restant Ă©veillĂ©e, les yeux fixant le corps, comme si elle rĂ©flĂ©chissait Ă quelque chose, elle cherchait peut-ĂȘtre un lien avec ce quâelle Ă©tait venu faire ici, mĂȘme si cette derniĂšre question lui revenait Ă chaque fois.*Un moldu, non ce nâest pas possible, câest sĂ»rement un sorcier, enfin, comment en ĂȘtre sĂ»r ?*Mais elle fut comme rĂ©veillĂ©e, sortit de ses pensĂ©es par le bruit des pas qui montaient les escaliers, vers elle. Câest Ă ce moment quâelle remarqua celui qui Ă©tait dans le jardin quelques minutes plutĂŽt, et qui lui sembla trĂšs Ă©trange. Elle nâarrivait pas Ă voir sâil Ă©tait inquiet, heureux ou mĂȘme triste. Nâavait-il donc pas remarquĂ© le corps allongĂ© en bas de ces escaliers ? Cette derniĂšre pensĂ©e restait comme gravĂ©e dans sa tĂȘte.*Un sorcier, câest possible ⊠*Songea-t-elle en fixant lâhomme. Il avait lâair trĂšs calme et elle fut Ă©tonnĂ©e quâil lui adresse la parole. Elle rĂ©pondit simplement - BonjourâŠCalypso tourna la tĂȘte lorsquâil passa derriĂšre elle pour regarder oĂč il allait. Dans sa chambre bien sĂ»r, nous Ă©tions dans un hĂŽtel, ou pouvait-il bien aller ⊠? Lorsquâelle entendit la porte se fermer, elle fut tentĂ©e dây coller son oreille, mais elle ne savait pas si quelquâun passerait par lĂ ou en sortirait. Elle descendit les escaliers, en Ă©vitant de regarder plus le cadavre et sortit dans le jardin. Elle respira la bonne odeur puis monta Ă un arbre, en espĂ©rant que personne ne la remarquerait. Elle mit un pied contre le tronc pour y mettre le poids de tout son corps, et prit une branche Ă lâaide de ses deux mains. Elle se souleva ainsi et se retrouva assise sur une branche, sur le point de tomber. La jeune femme trouva trĂšs vite lâĂ©quilibre et put voir dâoĂč elle Ă©tait quâelle se trouvait juste prĂšs de la fenĂȘtre de lâhomme quâelle voulait espionner ».Elle sâapprocha un peu plus au bord de la branche et regarda se qui se passait Ă lâ remarqua quâil tenait une sorte de badge dans sa main, et quâil le fixa un moment. Puis le gĂ©rant entra dans la chambre, lâair joyeux. Il lui apportait le petit-dĂ©jeuner, alors, il allait bientĂŽt entrer dans celle de Calypso et sâapercevoir quâelle nâĂ©tait pas lĂ . Ce nâĂ©tait pas vraiment un problĂšme, mais il ne lâavait pas vu sortir et elle ne voulait pas quâil puisse par un quelconque moyen dĂ©couvrir quâelle se cachait dans un il nây avait rien de trĂšs intĂ©ressant Ă voir, et rien qui lui prouvait que câĂ©tait un sorcier. Elle chercha dans la salle une baguette magique ou un autre objet bien particulier. Mais elle semblait sâĂȘtre trop rapprocher au bord de la branche, qui commençait Ă craquer. Elle se recula mais prĂ©fĂ©ra descendre au cas oĂč si quelquâun lâavait entendu. Elle tenta de sauter de lâarbre comme elle y Ă©tait montĂ©e, mais son Tee-shirt Ă©tait restĂ© accrochĂ© Ă la branche. Elle eut du mal Ă sortir de cet arbre mais y parvint finalement, aprĂšs avoir laisser entendre un petit cri. Elle sâĂ©tait blessĂ©e Ă la main, qui commençait Ă saigner un peu, mais presque fois ci, il Ă©tait certain quâon lâavait entendu, elle se prĂ©cipita sans plus attendre dans sa chambre et alla directement dans la salle de bain pour sây laver les mains. Voyant quâun morceau de son Tee-shirt Ă©tait restĂ© accrochĂ©, elle le changea rapidement, et prit un journal pour se mettre Ă le lire, ayant lâair bien innocente. Quelquâun entra brusquement dans sa chambre et Calypso, surprise se retourna pour voir qui venait lui rendre visite⊠Puis, elle vit cet homme quâelle avait espionnĂ©, lui apportĂ© son morceau de Tee-shirt quâelle avait oubliĂ©. Que devait-elle faire, mentir ? Il ne la croirait peut-ĂȘtre pas, et elle ne savait pas vraiment mentir. Alors autant demander ce qui lâamenait dans sa trĂšs sĂ»re dâelle, Calypso dit, en Ă©vitant son regard - Pensez-vous que ce bout ⊠est le mien ? Vous voyez bien que je ne porte pas de haut de cette couleur⊠Misoko KInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Lun 8 Mai 2006 - 1158 Misoko fixa la femme avec intensitĂ© , il essayait de voir si celle-ci n'avait pas une baguette , il souria legerement , se concentra fortement , serra ses points , Misoko Ă©tait entraint d'utiliser ses dons d'Occlumens et de Legilimens devant la femme , il eut du mal a pĂ©netrer son esprit et ne put ressortir que quelques images vagues d'un arbre et d'une maison tres grande plus grande que cet hotel et le nom bizarre de Tasartir , il hocha de la tete et compris assez vite que cette femme Ă©tait une sorciere avec la facultĂ©e de Legilimens et d'Occlumens , il jeta par terre le bout de tee-shirt qui devait mesurĂ© environ cinq petits centimetres , il lui dit alors avec une voix assez froideBiensur Madame et si je chrerchais dans votre chambre ? vous me laisseriez le faire puisque vous ne portez pas de haut de cette couleur ?Il vit la femme froncer les sourcils et Misoko la devança , il fouilla la chambre et n'y trouva rien , elle Ă©tait un peu pres de la meme taille que celle de Misoko avec une tendance plus fĂ©minine , le balcon Ă©tait plus grand , mais Misoko avait un plus grand placard et plus joli , il ouvra calmement une porte et tomba sur la douche , il regarda l'Ă©vier et remarqua que quelqu'un s'Ă©tait lavĂ© les mains , l'eau avait laissĂ© des gouttes dans le lavabo , il fronca les sourcils mais remarqua a nouveau autre chose , posĂ© sur la baignoire a cotĂ© d'un tapis brodĂ© , se trouvait le prĂ©cieux tee-shirt , Misoko souria et retourna dans la salle principale avec le prĂ©cieux trophĂ© dans sa main , le tee-shirt Ă©tait bleutĂ© avec un desin assez joli de dragon dans le dos , Misoko dit alors avec une voix plutot froideSimple coincidence ?Misoko laissa le tee-shirt tomber par terre et fixa desormais la femme avec des yeux noirs comme la nuit , il respira un grand coup afin de rajouter avec ue voix calme Qu'est ce que ma chambre a de si important a vos yeux ? et ne pas cacher pas non plus que vous n'etes pas une sorciere !Misoko qui avait cachĂ© ses mains aux yeux de la femme et les dĂ©couvra avec sa baguette , celle-ci fut surpris et poussa un petit cri , Misoko sortit a son tour sa baguette en laissant tomber celle de l'espionneuse , il la pointa vers celle-ci et lui dit alors avec une voix froideJ'espere que l'insigne d'auror que j'ai trouvĂ© dans le jardin ne vous appartient pas dans ce cas la je me verrais obligĂ© de vous tuer !Misoko la fixa , celle-ci semblait rĂ©flechir , elle soupira soudainement un grand coup et commenca a parler ... CalypsoInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Mer 10 Mai 2006 - 046 MĂȘme si Calypso tentait de ne pas trop croiser le regard de lâhomme, celui-ci la regardait avec beaucoup trop dâinsistance quâelle ne put se retenir plus longtemps Ă chercher quelque chose dâautre des yeux. Puis, la jeune femme le sentit entrer dans son esprit, elle fut Ă©tonnĂ©e, puisquâelle nâĂ©tait pas encore sĂ»re que ce soit un sorcier. Mais lorsquâelle comprit quâil avait les mĂȘmes dons quâelle, la rĂ©ponse Ă sa question lui parut alors Ă©vidente, mais elle put seulement lâempĂȘcher de voir ses souvenirs les plus marquants, mĂȘme si pour certains elle ne sâen souvenait pas, ça risquait de la dĂ©stabiliser maintenant que tout allait mieux pour Calypso ne tenta pas de pĂ©nĂ©trer dans lâesprit de cet homme. Elle nâeut dâailleurs mĂȘme pas le temps de lui rĂ©pondre lorsquâil voulait fouiller sa chambre. Elle le vit chercher un peu partout dans sa Svp sortez maintenant !Mais il continuait, il ne semblait pas entendre ce quâelle disait. Il continuait Ă chercher⊠Puis câest lorsquâil entra dans la douche et quâil avait le dos tournĂ© que Calypso chercha sa baguette.* Mince ⊠Ou est-ce que je lâai mise ?*Elle chercha sous lâoreiller, dans sa valise, sous le lit et se releva juste Ă temps lorsque quâil revint dans la chambre avec un Tee-shirt blanc, celui quâelle portait quelques minutes plus put alors mieux voir les yeux de lâhomme, noir comme la nuit, mais il parlait dâune voix tout Ă fait calme, mais toujours un peu que sa chambre avait de si important aux yeux de Calypso ⊠? Elle Ă©tait seulement trĂšs curieuse⊠bien trop fallait quelle trouve une excuse, ou alors quâelle refuse de lui rĂ©pondre, quâelle demande Ă ce quâil sâen aille. Mais elle avait trĂšs peu de chance pour que ça se passe comme elle le le vit ensuite avec sa baguette quâil laissa tomber par terre, prĂšs du Tee-shirt, puis il sortit son autre main pour pointer cette fois-ci une baguette bien diffĂ©rente de celle de Calypso sur la jeune ne pouvait plus rien faire, sauf rĂ©pondre Ă ses questions. Mais ils pouvaient bien obtenir une rĂ©ponse dâune autre maniĂšre, celle-ci ne lui laissait pas le choix et elle ne voyait pas on pouvait la craindre, donc il nâavait vraiment pas besoin de cette baguette, sauf sâil voulait lui faire du le badge, elle nâavait mĂȘme plus besoin de chercher, maintenant elle savait que câĂ©tait celui dâun Auror, mais sĂ»rement pas le sien. Lâhomme lui expliqua dâune maniĂšre plutĂŽt menaçante et un peu effrayante quâil devrait la tuer si elle en Ă©tait un⊠Ce nâĂ©tait pas trĂšs rassurant et elle ne prĂ©fĂ©rait rien tenter, et surtout pas de le rĂ©flĂ©chit un instant puis soupira ⊠- Non ⊠je ⊠je ne⊠suis pas un AurorâŠet câest insigne ne mâappartient pas, dâailleurs, jusquâĂ ce que⊠vous me layez dit, je ne pensais mĂȘme pas quâil puisse ĂȘtre Ă un essaya ainsi dâĂ©vitez la premiĂšre question tout en continuant, en faisant un lĂ©ger pas en arriĂšre - Et puis de toute façon, je nâai rien vu de si important, pourquoi y avait il quelque chose Ă dĂ©couvrir ? Et pourquoi seriez-vous obligĂ© de me tuer si jâĂ©tais un Auror ?!Calypso restait toujours et bien trop curieuse, quâelle ne pu sâempĂȘcher de demander quelques explications, lair innoncent. Misoko KInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Mer 10 Mai 2006 - 1949 Misoko fronca les sourcils devant la jeune femme , il tenait toujours sa baguette dans sa main , il la faisait tourner legerement pour Ă©viter qu'elle tombe , il hĂ©sita a lancer un sort , mais soudain il entendit des pas dans le couloir , la porte de la chambre Ă©tait grande ouverte , Misoko ne bougeait plus et il fit signe a la femme de se taire , il compris vite que les pas se dirigeaient ici , il fixa la salle ne voyant pas de quoi manger , Misoko compris tout de suite que le gĂ©rant allait venir lui apporter son plat , Misoko se prĂ©cipita vers elle en la poussant dans son lit , Misoko avant de se cacher derriere la porte , il lui chuchota Si vous faites un faut pas je vous tuent , vous et le gĂ©rant !Misoko se cacha prĂ©cipitement , il avait d'ici une vue idĂ©ale sur la femme , celle-ci ne pouvait en aucun cas partir et dit chuchoter quelque chose au gĂ©rant , celui-ci rentra dans la chambre en sifflotant un air bizarre et en tenant dans ses mains un plateau de dĂ©jeuner comme celui qu'il avait recu , il ne s'arreta pas longtemps pour discuter avec celle-ci , il alla se retourner pour partir mais soudain une jeune servante ouvra la porte brutalement car le gĂ©rant avait pris soin de la refermer en entrant , Misoko la prit de plein fouet et ne put Ă©viter de faire du bruit , il lacha un petit cri mais se releva aussitot , le gĂ©rant Ă©mit un petit cri d'Ă©tonnement et la servante s'excusa , Misoko furieux se releva , sa baguette dans sa main droite , il hurla alors en pointant la baguette sur la jeune servante AVADA KEDAVRA un rayon bleutĂ© sortit de la baguette a une allure impressionnante , le jet la toucha de plein fouet et elle s'Ă©croula , le gĂ©rant hurla et Misoko arriva devant lui et l'assoma brutalement , il s'Ă©croula lentement sur le lit et ne put que exprimer sa douleur parun petit cri , Misoko dit alors avec un ton ironiqueJe vous aime bien , je ne vous tuerais pas mais vous allez vite m'oublier et Misoko prononca cette fois avec une voix plutot calme OUBLIETTES , le rayon frappa l'homme et celui-ci fut Ă©jectĂ© un peu plus loin sur le lit , Misoko souria mais quand il remarqua que la jeune femme n'Ă©tait plus sur son lit , il redevint furieux , il remarqua au passage qu'elle avait eut soin de ramasser sa baguette , il fronca les sourcils et fixa la salle , elle est surement sortit par lafennetre , l'immeuble n'est pas haut , Misoko se prĂ©cipita dedans , sauta de deux bons metres et fixa le jardin , il vit au loin une silhouette courir , Misoko se mit a ses trousses , au bout d'une minute de course , la silhouette se rapprochait vivement , Misoko Ă©tait a une distance raisonnable pour lancer un sort , il pointa sa baguette sur la femme en pronocant tout en courant IMPEDIMENTA , le rayon fusa vers la femme et la toucha , celle-ci se mit en mode ralentit et Misoko la ratrappa alors tres vite , il lui chuchota a l'oreilleNous ne pouvons pas rester ici , le Ministere va voir qu'un sort a Ă©tĂ© lancĂ© ici et il viendra tres vite , nous allons donc si vous le voulez bien allez un peu plus loin et Misoko en tapotant la baguette sur l'Ă©paule de la fugitive , prononca FINITE INCANTATEM , elle reprit soudainement sa vitesse normale de marche et misoko souria , il transplana a l'aide d'un Portoloin et atterit dans un petit chalet abandonnĂ© , ils se trouvaient dĂ©sormais en CorĂ©e du Nord , dans une campagne pauvre peu frĂ©quentĂ©e , Misoko souria legerement et dit a sa partenaire avec un ton humoristiqueC'est pas bien de fuir mais maintenant je vous ait retrouvĂ© , maintenant je peux repondre a vos questions , je suis un mangemort , je pense que vous avez pu le constater dans votre chambre et j'ai bien remarquĂ© que vous n'Ă©tiez pas une Auror et vous en Ă©tes bien loin , comment vous appellez vous , je n'aime pas parler a des inconnus ! CalypsoInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Ven 12 Mai 2006 - 1912 Calypso termina sa phrase, puis regarda sa baguette qui Ă©tait sur le sol. Cherchant un moyen pour la reprendre, puis que cet homme ne semblait pas vouloir baisser celle quâil avait dans sa main. Elle regarda rapidement la porte qui Ă©tait grande ouverte et entendit des pas qui se rapprochaient. Calypso pensa alors que le gĂ©rant allait lui apporte son dĂ©jeuner, comme il lâavait fait pour lâhomme quâelle avait espionnĂ©. Lâhomme lui dĂ©fendit de parler dâun signe, puis lorsquâil comprit lui aussi que les pas se dirigeait dans la chambre de la jeune femme, il se prĂ©cipita sur elle en la poussant de sorte Ă ce quâelle retombe sur le lit, et alla se cacher rapidement derriĂšre la porte toujours ouverte. Calypso ne pouvait rien faire, sauf si elle voulait se faire tuer, elle dĂ©cida dâobĂ©ir Ă cet homme, le temps que celui-ci la jeune femme prit donc une meilleure position sur son lit et fit semblant de lire⊠Puis lorsque le gĂ©rant entra enfin dans la chambre, il referma la porte puis la femme le remercia de lui avoir apportĂ© son dĂ©jeuner et le posa sur une table, en regardant parfois derriĂšre la porte, sans vouloir faire de signe au gĂ©rant bien sĂ»r⊠- MerciLe gĂ©rant allait sortir⊠Calypso nâavait pas regardĂ© pas la porte au moment ou une femme Ă©tait entrĂ©e. Elle avait juste entendu un bruit et elle vit alors lâhomme par terre, car il avait reçu la porte, et une femme qui avait lâair Ă©tonnĂ©e⊠Tous furent surpris en le voyant, et de plus, il avait sa baguette avec lui. Calypso pouvait se douter quâil lâutiliserai, mais ne pensait pas le voir tuer quelquâun, ce qui lui fit bien plus peur. Elle vit la pauvre jeune servante tomber Ă terre, raide morte, avec une expression innocente, dĂ©solĂ©e mais effrayĂ©e Ă©galement. Calypso comprit trĂšs vite que ça ne pouvait ĂȘtre quâun Mangemort qui se risquait Ă lancer des sortilĂšges impardonnables, sur des Moldus⊠ApeurĂ©e, la jeune femme retint un cri, pour sâenfuir tan quâelle le un Mangemort il ne pouvait rien lui arriver de bon, et elle ne saurait sĂ»rement pas se dĂ©fendre, elle ne pouvait donc que partir le plus discrĂštement possible, mais le plus rapidement. Elle rĂ©ussit Ă prendre sa baguette sans que le Mangemort la remarque puis elle sortit par la fenĂȘtre, le seul endroit oĂč elle pouvait encore passer sans se faire stopper⊠Elle arriva alors dans le jardin et se mit Ă courir le plus rapidement possible. Elle put entendre, puisquâelle Ă©tait encore tout prĂšs et que la fenĂȘtre Ă©tait restĂ©e ouverte, le dernier sortilĂšge que lâhomme avait lancĂ© sur le gĂ©rant. CâĂ©tait exactement le mĂȘme que celui dont Calypso avait Ă©tĂ© victime. Mais, par des jeunes qui voulaient sâamuser, ceux lĂ lâavaient mal lancĂ©s et ils ne connaissaient pas encore les consĂ©quences que cela pouvait avoir de lancer un sortilĂšge comme celui lĂ . Calypso put revivre alors ce moment lĂ , trĂšs particulier, car câĂ©tait ce qui lui avait fait perdre la mĂ©moire. Elle sortait dâun court de sortilĂšges et enchantement. Heureuse dâavoir appris un nouveau sortilĂšge, elle ouvrit un livre, et avança tout en lisant quelques notes. Elle monta tranquillement jusquâĂ arriver dans une piĂšce oĂč elle nâavait jamais mis les pieds auparavant. Elle leva la tĂȘte et vit ce groupe, deux filles, de garçons, de Serpentard. Ils lâavaient attendus apparemment, et Calypso ne savait mĂȘme pas ce quâelle faisait lĂ . Une feuille tomba de son livre et Calypso la ramassa. Une des deux fille sâapprocha et la jeta violemment La pauvre fille tomba par terre et se tordit le la jeune femme ne vit plus rien. Une autre scĂšne, la mĂȘme, mais quelques minutes passĂ©es, vinrent lui remĂ©morer cet accident. Un des garçons voulait rigoler et lança le sortilĂšge Oubliettes sur elle. Calypso eut juste le temps de mettre ses mains devant sa tĂȘte âŠCalypso courait moins vite, elle ne comprenait pas pourquoi, ni comment, mais elle ne pouvait pas aller aussi vite quâil y avait quelques secondes. Ce flash nâavait mĂȘme pas durer deux secondes, mais lâhomme Ă©tait lâa rattrapa immĂ©diatement. Calypso pu entendre ces derniĂšres paroles puis se retrouva dans un tout autre endroit, diffĂ©rent de celui oĂč ils se deux adultes venaient de transplanter Ă lâaide dâun Potoloin en CorĂ©e du Sud, dans un endroit peu frĂ©quentĂ©e, donc moins de risque Ă ce que lâon lây trouve user de la Ă©tait pourtant encore un peu essoufflĂ©e et ne bougea pas en changeant de lieu car cela lâavait un peu remuĂ©e. Elle regarda lâhomme, assez Ă©tonnĂ©e et ne comprenant pas trop ce qui s Ă©tait passĂ©, sur le se prĂ©senta plus ou moins Ă la jeune femme, et ce quâelle pensait nâĂ©tait pas tout faux ⊠CâĂ©tait bien un Mangemort, et il ne lui donnait pas lâimpression de lui rĂ©server le mĂȘme sort que la jeune servante ou encore le Calypso⊠mais ne lâavez-vous pas devinĂ©, en entrant dans mon esprit dans la chambre ? Misoko KInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Mer 17 Mai 2006 - 2025 Misoko fronca les sourcils , il crut un instant que cette Calypso se foutait de lui , il soupira profondement puis fixa son bras gauche , un peu de sang coulait et une grosse trace Ă©tait prĂ©sente tout cela dut au coup de l'imbĂ©cile de serante , Misoko frotta son tee-shirt dĂ©licatement . Misoko n'aiamit pas utiliser les sorts remedes , il trovait qu'ils apportaient la paresse et le manque d'expĂ©rience , Misoko dit alors froidement a CalypsoEt bien je ne suis pas le meilleur des Legilimens et je sais tres bien que vous avez ce don la ainsi que l'Occlumencie alors ne vous fichez pas de moiMisoko fit tourner sa baguette dans sa main puis sortit dehors en poussant la jeune femme , il sortit par ailleurs deux chaises en bois postĂ©es dans la cabane et la donna calmement a Calypso , celle-ci s'asseya et Misoko fit de meme en la fixant toujours , une idĂ©e lui traversa l'esprit et il s'empressa de dire a Calypso avec toujours ce meme tonvous vivez au Japon ou bien vous avez fait tout ce chemin derriere moi ?Misoko souria legerement mais Calypso soupira , Misoko la calma en lui remontrant sa baguette , il la rengea tout de suite apres et se renfonca dans sa chaise , dehors le soleil Ă©tait azu beau fixe , la matinĂ©e allait bientot prendre fin , Misoko sortit alors de sa poche une cigarette et l'alluma en chuchotant Incendio , il en montra une a Calypso et attendt sa reaction , il posa le paquet a cotĂ© de lui et commenca a rever , de tout ce qu'il avait fait depuis sa naissance et se souvint de quelque chose , il se dit alors a lui emme seul dans ses pensĂ©es ...* Ma mission je l' avais presque oubliĂ© *Misoko regarda sa montre et hĂ©sita un instant a se lever , finalement , il le fit et demanda a la femme de faire de meme , celle-ci semblait vouloir savoir ce que Misoko avait derriere la tete , Misoko rajouta alors avec de l'ironieUtilisez vos dons !Misoko souria et attendit la reaction de la jeune femme , il souria puis , jetta ca cigarette par terre , il rajouta alors avec une voix calmeCa redonne de l'energie ! CalypsoInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Sam 20 Mai 2006 - 1151 Calypso prit un air sĂ©rieux et fixa lhomme. Il avait lâair calme⊠Elle le trouva Ă©trange pour un Mangemort mais elle nâen avait encore jamais rencontrĂ© jusquâĂ aujourdâhui. Enfin, il y avait cette femme Ă©trange qui cachait son visage dâune capuche, au cimetiĂšre, elle ne savait mĂȘme pas qui elle Ă©tait, peut-ĂȘtre quâelle Ă©tait un Mangemort elle sortit dehors avec lâhomme et sâassit sur une chaise en bois. Il y avait quelques arbres un peu plus loin⊠le vent lĂ©ger faisait bouger les feuilles et lâherbe un peu mouillĂ©e. Calypso leva la tĂȘte au ciel, il y avait quelques nuages mais le temps nâĂ©tait pas mauvais, mĂȘme trĂšs bon, lâaprĂšs-midi allait certainement ĂȘtre rĂ©chauffĂ©e par la jeune femme regarda le Mangemort qui venait de sâasseoir sur la chaise, en face. Il lui demanda si elle vivait au Japon, ou si elle lâespionnait depuis le dĂ©butâŠElle soupira, mais rĂ©pondit tout de mĂȘme - Non⊠Je ne vis pas au Japon, mais je pense y avoir vĂ©cu mon enfance câest pour cela que je suis elle sâarrĂȘta lĂ . Elle ne voulait pas lui raconter sa vie qui ne le regardait pas. Peut-ĂȘtre mĂȘme quâil en profiterait pour se moquer ou autre, aprĂšs tout il Ă©tait diffĂ©rent dâun simple sorcier. Calypso refusa la cigarette en se recula un peu pour ne pas recevoir la fumĂ©e dans le visage. Puis elle le fixa. Il avait lâair Au fait, quel est votre nom ? Et vous quâest-ce qui vous amĂšne ici ? Vous vivez au Japon ?Elle le regarda dâun air interrogateur et se leva en mĂȘme temps que lui. Elle voulait savoir ce quâil comptait faire, mais en rĂ©ponse celui-ci lui dit dâutilisez ses dons. Ce quâelle faisait trĂšs rarement. Elle sâĂ©tait promise en quelque sorte de ne pas les utiliser trop souvent en Ă©vitant le plus possible dâentrer dans lâesprit de quelquâun, sauf pour son travail, et ainsi aider les gens Ă se ne le regarda pas, mais dit - NonâŠMĂȘme si elle Ă©tait bien tentĂ©e de le faire elle rĂ©pondit - JâĂ©vite dâutiliser mes dons, et de toute façon je ne veux pas savoir ce que vous voulez faire, mentit-elle, mais ça ne se voyait pas Ă©normĂ©ment. Calypso recula dâun pas puis, en hĂ©sitant un peu et en regardant lâhomme, elle sâassit finalement sur la chaise. Elle nâallait pas partir avec lui, enfin, elle nâaurait de toute maniĂšre pas trop le choix puisquâelle ne savait pas trop oĂč elle Ă©tait et ne pouvait pas transplaner. Misoko KInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Ven 26 Mai 2006 - 1523 Misoko debout fixa attentivement Calypso , Misoko fronca les sourcils quand celle-ci eut finit de parler , Misoko Ă©tait plutot intelligent de nature et il pouvait grace a ses dons savoir ce que ressentait les personnes , il avait sentit chez cette femme , de la peur mais surtout de la curiositĂ© , il ne le fit pas savoir et se contenta de rĂ©pondre avec un ton froidmon nom ? Kuo . Mais je pense que vous vouliez parler de mon prĂ©nom ? c'est Misoko Il laissa afficher un leger sourire et tout en fixant derriere Calypso , l'immense pleine de la campagne corĂ©enne , il ajouta avec une voix plus sympatiqueCe qui m'amene ici ? vous etes bien curieuse ! et non je ne is pas au japon mais j'y suis nĂ© Il fixa cette fois le ciel , des nuages grisatres venaient de se former , Misoko soupira legerement , lui qui n'amait pas trop le jour alors en plus s'il pleut ! Il dit alors a Calypso avec un ton plus froidVous ne voulez pas savoir ? Vous me prenez pour qui !Misoko fronca les sourcils et sortit sa baguette contre toute attente , Calypso laissa Ă©chapper un petit bruit bizarre , mais Misoko ne la pointa pas sur elle , il la pointa sur un objet quelconque qui ressemblait a une pelle , il prononca alors avec insistance PORTOLOIN . Quelques secondes plus tard , Misoko et Calypso se trouvaient devant un immeuble sinistre , la rue Ă©tait deserte et noir , Le soleil dormait et les nuages arrivaient de plus en plus gris , Misoko frappa trois petti coup et prononca un mot bizarre , ou plutot une phrase , soudain la porte s'ouvrit seule , Misoko pĂ©nĂ©tra dedans suivit de Calypso , la batisse Ă©tait deserte et noire comme la nuit , seul un chemin au sol Ă©tait lumineux , Misoko l'empreinta et au bout de quelques metres , il dĂ©boucha dans une immense piece , un homme se trouvait assit sur son bureau , l'air perdu , il avait un oeil qui bougeait dans tout les sens ce qui eut pour effet de dĂ©gouter la jeune femme , Misoko s'approcha et laissa tomber sur la table le badje qu'il avait trouvĂ© un peu plus tot dans la journĂ©e a son hotel , l'homme ricana et laissa Ă©chapper quelques paroles Tu me fais rire Misoko ! Tu ne sais pas a qui est ce badge ?Misoko fit non de la tete , il n'aiamit pas qu'on se fiche de lui mais dans ce cas c'Ă©tait un peu different , soudain l'homme reprit de plus belle C'est le badge du chef des Aurors mais je ne sais pas ce qu'il faisait ou tu l'as trouvĂ© , Misoko qui est cette femme derriere toidit-il en la fixant avec son oeil magique , Misoko souria et dit alors legerement a l'homme ce qui eut pour effet de le faire rireUn boulet ...Misoko se retourna brusquement et s'en alla , une fois dehors toujours accompagnĂ© de Calypso , il ajouta a lui memeSale vieux ! CalypsoInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Mer 31 Mai 2006 - 1947 Calypso sâĂ©tait contĂ©e de savoir sans mĂȘme cherchĂ© Ă en savoir plus, mĂȘme si câĂ©tait ce quâelle recherchait le plus⊠Curieuse, ça devait ĂȘtre un de ses plus grands Kuo, câĂ©tait donc le nom du Mangemort⊠Elle nâavait donc pas besoin dâutiliser ses dons, seulement de demander. Calypso fixa son regard sur Misoko, attendant devoir ce quâil allait ajouter de plus. Il ne vivait pas au Japon mais y Ă©tait nĂ©, tout comme Calypso. Restait Ă savoir ce qui lâavait amenĂ© au mĂȘme endroit que Calypso, mais il ne voulut pas en dire la jeune femme crut un instant quâil pointa sa baguette sur elle, mais ils se retrouvĂšrent dans un autre endroit, bien diffĂ©rent du genre de voyage, Calypso nâapprĂ©ciait pas vraiment, elle ne sây habituait toujours oĂč ils se retrouvĂšrent Ă©tait sombre, et un grand bĂątiment se trouvait juste en face dâ lui fit rappeler vaguement son manoir, une ambiance effrayante semblait sâĂ©tait dĂ©jĂ remit de ce voyage que Misoko frappa Ă la porte et prononça quelque chose dâassez Ă©trange quâelle ne saurait se souvenir. La porte sâouvrit, il nây avait personne pour appuyer sur la poignĂ©e derriĂšre, ça devait ĂȘtre un coup de vent qui lâavait fait sâouvrir, mais Calypso ne lâavait alors pas sentit. Enfin, elle porta rapidement son attention sur un chemin dont le sol Ă©tait lumineux, alors que tout autour dâeux restait sombre et lugubre. Calypso suivit alors le Mangemort, oĂč allaient-ils ? Ăa lui Ă©tait bien Ă©gal Ă Calypso, de toute façon, autant quâelle continue, elle remarqua quâelle ne risquait pas grand-chose pour le moment, mais si elle Ă©tait en prĂ©sence dâun Mangemort ⊠Petit Ă petit, la curiositĂ© prenait le dessus, et la peur les deux adultes arrivĂšrent dans une immense piĂšce. Au milieu, il y avait un bureau, et un homme assit dessus, lâair perdu et peut-ĂȘtre mĂȘme quâil nâavait pas remarquer de suite lâarrivĂ©e de Calypso et Misoko. La jeune femme retint une grimace lorsquâelle vit lâĆil de cet homme bouger dans tous les sens. Mais essaya de regarder ailleurs. Elle vit le Mangemort poser le badge sur le bureau. Puis lâhomme Ă©trange rit et lui rĂ©pondit, en lâappelant par son prĂ©nom. Ils devaient apparemment se connaĂźtre et Calypso pensa que Misoko Ă©tait chargĂ© dâune mission, ou un truc de ce genre, mais quâil ne lâavait pas tout Ă fait badge que Calypso avait vu par la fenĂȘtre dans lâhĂŽtel, câĂ©tait donc celui du chef des Aurors. Les deux hommes nâavaient pas lâair de sâinquiĂ©ter que la jeune femme puisse entendre leur conversation, mais elle ne dura pas. Seulement, avant de partir, lâhomme demanda au Mangemort qui Ă©tait la femme derriĂšre lui, la rĂ©ponse ne fit par trĂšs plaisir Ă Calypso qui se vexa, mais ne le montra pas pour autant, prĂ©fĂ©rant se taire.* Idiot sans cervelle ! *Si elle Ă©tait encore avec le Mangemort il Ă©tait possible quâelle en sache trop⊠mais de quoi ? Enfin, ils sortirent enfin et repassĂšrent par ce chemin, lumineux. Une fois sortit, Calypso demanda, dâun ton mauvais - CâĂ©tait qui lui ? Quâest-ce quâon est venu faire lĂ exactement ? Vous Ă©tiez donc chargĂ© dâune mission ?[DSL, pas d'inspi ^^'] Misoko KInvitĂ©Sujet Re Retour aux sources Ven 2 Juin 2006 - 2126 Misoko a peine sortit de l'Ă©difice , eut du mal a voir , ses yeux s'Ă©tant vite habituĂ©s au noir , il clignota legerement avant de baisser ses yeux , meme si le temps Ă©tait peu clĂ©ment et que la ruelle Ă©tait sombre . Il fut soudainement agressĂ© par Calypso , il soupira legerement en la regardant droit dans les yeux , elle n'avait vraiment pas l'air d'avoir peur et personne n'aurait cru que Misoko Ă©tait un mangemort , cela le fit ragĂ© et il sortit sa baguette mais avant , il eut verifier qu'aucuns moldus n'Ă©taient dans les environs , il dit alors avec une voix menacanteMelez vous de ce qui vous regarde , j'aurai vraiment la triste idĂ©e d'utiliser ma baguette ! il se retourna alors en la rangeant soigneusement dans sa poche et fit un petit signe a Calypso de le suivre et rajouta alors avec un ton moins agressif mais toujours aussi dĂ©sagrĂ©ableJe peux vous rĂ©pondre sur une seule de vos questions ... Cet homme est un imbĂ©cile point a la ligne et taisez vous si vous voulez etre en paix Misoko fixa attentivedment la longue rue et ne vit pas un chat , il sortit a nouveau sa baguette et quelques secondes aprĂšs , il venait d'atterir dans sa chambre de l'hotel , il ordonna a Calypso de s'asseoir et ouvra la porte pour voir si la police avait dĂ©gagĂ© le planchĂ© , le couloir Ă©tait vide , Misoko ouvra la porte de la chambre voisine , elle Ă©tait vide , muette comme une carte , la morte Ă©tait partit et le pauvre gĂ©rant surement en bas entraint de donner une chambre a des moldus , il revint dans la chambre initiale et fixa la jeune femme , il lui adressa quelques mots Adieu Calypso , ce fut un plaisir Misoko lui offrit un grand sourire et disparut brutalement dans la seconde qui suivit , il venait dĂ©sormais d'atterir dans la chapelle des mangemorts , le couloir immense Ă©tait noir et sombre , aucun fidele ne trainait dans le coin , Misoko frissonna legerement et s'en alla en direction du cimetiere[HJ je te laisse conclure ^^ ] Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Retour aux sources Retour aux sources Page 1 sur 1 Sujets similaires» Un retour aux sources [PV ~ Yuki]» Retour aux sources suite» Retour aux sources pv shaylee» Retour » Grand retour [A]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Lironie est l'utilisation de mots ou de phrases pour exprimer le contraire de ce que vous entendez vraiment, ou d'exprimer une incongruité entre ce que quelqu'un attend et ce qui se passe réellement. Un exemple simple de l'ironie serait, "Il est assez aimable pour voler les pauvres pour nourrir ses poches." L'utilisation de "gentillesse" transforme ceci en une déclaration ironique. L
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tournerautour de quelques phrases oĂč tout dire et tout cacher. Ce quâon entend avant tout semble dĂšs lors peut-ĂȘtre des personnages qui butent sur le langage, ne ren-contrent que les mĂȘmes termes servant Ă dire tout Ă la fois lâinsignifiant et le profond. Cependant, malgrĂ© cela (ou est-ce Ă la faveur de cela ?), ce qui se dit entre les mots paraĂźt dâune grande puissance, d
Harry Potter 2005 ~€~ AcadĂ©mie de Poudlard ~€~ Les couloirsPage 2 sur 19[Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherAller Ă la page 1, 2, 3 ... 10 ... 19 Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Dim 18 Mar - 1654 Crystal jeta un coup d'oeil rapide mais Ă peine avait-elle eu le temps de faire je l'aurez pe en direction de la cabine qu'une jeune fille entra. Elle portait l'uniforme de Poufsouffle et semblait Ă peine plus jeune qu'elle. La brune releva la tĂȘte aussitĂŽt, essayant de cacher ses larmes tant bien que mal. Si jamais on apprenait que la froide Crystl Harper pleurait dans les toilettes de Mimi Geignarde, s'en Ă©tait fini de sa jaune et noir rougit lorsque les yeux bleus de Crystal se posĂšrent sur elle et murmura - Je suis dĂ©solĂ©e, je ne voulais pas vous dĂ©ranger... Je m'envais de suite...Crystal ne rĂ©pondit rien mais tout son corps criait de toutes ses forces qu'elle ferait mieux de un animal s'Ă©chappa de la capuche de la Poufsouffle et fila dans une cabine voisine. La jeune fille lui cria de revenir mais voyant qu'il ne rĂ©pondait pas, partit Ă sa soupira d'un air agacĂ© et s'apprĂȘtait Ă sortir quand un bruit attira son attention un petit " toc " qui semblait venir d'une cabine non loin. La rouge et or fronça les sourcils elle ne s'Ă©tait pas trompĂ©, quelqu''un l'avait bel et bien observĂ©. Aussi, sans tenir compte des regards surpris de la Poufsouffle, elle s'avança vers la cabine . InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Lun 19 Mar - 1701 Cela faisait plusieurs mois que Joe suivait des cours moldus par correspondance. Il Ă©tudiait les maths, une langue Ă©trangĂšre ainsi que l'histoire du peuple non-magique. Joe faisait tout pour ĂȘtre le plus intelligent et, pour lui, il y a des choses qui sont Ă savoir et que l'on apprenait pas Ă Poudlard. Comme, par exemple, les mathĂ©matiques ou encore l'histoire moldus. Joe n'en savait que trĂšs peu sur ces sujets lĂ , pour cause il n'avait Ă©tudiĂ© ces matiĂšres que durant 6 annĂ©es de sa vie. C'Ă©tait donc par correspondance qu'il avait suivit plusieurs formations de matiĂšres moldus, aprĂšs 4 mois de travail il avait dĂ» passer ses examens. Pour ça, il s'Ă©tait rendu dans le monde moldus pour y passer ses tests. TrĂšs sĂ»r de lui, il pensait les avoirs tous rĂ©ussi.. Jusqu'Ă aujourd'hui, jour oĂč les rĂ©sultats Ă©taient arrivĂ©s par hibou, bien entendu les lettres Ă©taient envoyĂ© chez les parents de Joe, qui ensuite transmettait par hibou. ChĂšre monsieur Parker,Nous avons l'immense joie de vous annoncez que sur les 3 examens que vous avez passĂ© le 12 Mars 21XX dans nos locaux, vous en avez rĂ©ussi 2. Histoire, avec mention trĂšs bien et la langue Ă©trangĂšre, avec aucune mention. A l'inverse, votre examen de mathĂ©matique c'est malheureusement rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre un Ă©chec, nous en sommes dĂ©solĂ©. D'ici peu, vous recevrez une autre lettre contenant un diplĂŽme certifiant votre rĂ©ussite en histoire et recevoir nos sincĂšre fĂ©licitations,Le comitĂ© correcteur, Hein ? RatĂ© ? Il avait ratĂ© son examen de math, celui qu'il avait prĂ©parĂ© durant des heures, celui qu'il avait eu fini en un temps record et dont il Ă©tait sĂ»r de la rĂ©ussite.. Comment Ă©tait-ce possible ? Jamais, il n'avait ratĂ© un examen et il aura fallut qu'un test de math viennent dĂ©nigrer sa superbe sĂ©rie. Il ne fallait pas en faire mention, ça pourrait trĂšs certainement lui pourrir ses chances d'ĂȘtre ministre un jour ! Un homme qui reprĂ©sentait le monde magique se devait d'ĂȘtre irrĂ©prochable et rater un examen moldus n'en Ă©tait pas digne. La colĂšre et la dĂ©ception s'emparait du jeune homme, rare Ă©tait ces moments oĂč Joe n'avait mĂȘme plus l'envie d'Ă©tudier. DĂ©goutĂ©, voila ce qu'il Ă©tait. Si ça se trouvait ce "comitĂ© correcteur" n'Ă©tait mĂȘme pas qualifiĂ©, s'il le pouvait il serait dĂ©jĂ lĂ bas pour refaire corriger son examen ! Joe pris le chemin pour sortir du chĂąteau, perdu dans ses pensĂ©es, il laissait ses pieds le guider. Ces derniers connaissaient par cĆur le chemin vers le hall d'entrĂ©e, il n'aurait certainement pas besoin du cerveau de Joe pour les guider. Aussi vite que cette pensĂ©e traversait l'esprit de Joe, ce dernier revenait Ă lui. Il Ă©tait loin de la porte du hall, voir trĂšs loin mĂȘme. En ce moment, il se trouvait dans une piĂšce humide avec en son centre plusieurs lavabo. RĂ©flexion.. Toilette de Mimi, voila oĂč il Ă©tait. Joe en avait dĂ©jĂ souvent entendu parlĂ© mais n'y avait jamais mis les pieds. A cause des lĂ©gendes concernant cette piĂšce.. Du temps de Harry Potter, une personne avait libĂ©rĂ©e un immense serpent dans le chĂąteau, ce dernier s'attaquait Ă toute personne provenant de milieu moldu. Et ce serpent, vivait en dessous de cette piĂšce, ou en tout cas l'entrĂ©e qui menait Ă cette bĂȘte se trouvait dans cet endroit. Il fallait qu'il sorte, ce n'Ă©tait pas pour lui. En plus, le serpent dont la lĂ©gende parlait serait prĂ©sent Ă nouveau dans le chĂąteau et s'attaquerait aux Ă©lĂšves de sang moldus.. pas trĂšs bon pour Joe tout ça ! Il allait faire demi-tour, toujours Ă©nervĂ© par cette rĂ©ponse reçu un peu plus tĂŽt dans la journĂ©e, lorsqu'il entendit plusieurs bruits derriĂšre lui.. Des gens, il y avait des gens.. Beaucoup mĂȘme, environs 4 voir 5 gros maximum. Joe ne les voyait pas tous, mais il les entendait. Deux filles et un garçon devant lui, deux autres personnes dans deux des nombreuses cabines prĂ©sentes. Il ne connaissait personne, sauf une jeune fille, de vue, elle Ă©tait Poufsoufle donc traĂźnait souvent dans la salle commune. En plus de la colĂšre, un sentiment de peur venait prendre place dans la poitrine de Joe.. Que faire ? Si jamais le serpent sortait maintenant, ils Ă©taient fini, tous !.. Tampis, il allait rester, voir comment ça allait se passer. Il regardait les personnes autour de lui, mais ne dit pas un mot.. Observant les alentours, le silence se faisait pesant. Joe en profita mĂȘme pour replonger dans ses pensĂ©es, concernant son examen ratĂ©, la peur qui se faisait sentir disparu aussi vite qu'elle Ă©tait arrivĂ©. La colĂšre avait repris sa place, il avait la haine contre ses correcteurs ne sachant pas faire leur travail, c'Ă©tait pourtant simple de corriger des copies ! A cause d'eux, il n'avait plus aucune chance d'ĂȘtre ministre.. Enfin c'est ce qu'il pensait, bien entendu un examen de math n'allait pas interdire Ă une personne de devenir ministre de la magie ! Un bruit sortit alors Joe de ses pensĂ©es.. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Lun 19 Mar - 2140 Un Ă un, plusieurs personnes avaient investi ce lieu solitaire. Un par un, ils en avaient franchi le seuil Ă la rencontre de leur destin. Trois Ă©taient venus par colĂšre, Ă©loignant les autres de leur propre courroux, prĂȘts Ă noyer leur ire dans la fraiche riviĂšre des lavabos. Deux Ă©taient venus par chagrin, ajoutant leurs torrents de larmes aux riviĂšres des premiers. Et enfin une Ă©tait venue par pure curiositĂ© et comme le disent les anglais "It killed the cat". Mais cette diffĂ©rence fondamentale, ne comptais pas, ne comptais plus. En entrant en ce lieu, en cet instant, ils avaient liĂ©s leurs destins les uns aux autres de maniĂšre plus littĂ©rale et intime qu'on aurait pu imaginer. Tous les six Ă©taient prĂ©sent autour du calice et les mĂąchoires de son piĂšge Ă©taient sur le point de se refermer sur effet, excĂ©dĂ© par cette foule et craintif de ne savoir Ă©touffer sa colĂšre avant qu'elle ne se soit Ă©teinte, Valens sortit en trombe de sa cabine et marcha Ă pas rapides afin de sortir au plus vite de la piĂšce. Mais d'Ă©nervement il donna un coup de poing en passant dans le calice sur le lavabo. Dans la course de ce dernier, de l'eau tomba en son sein et il brilla briĂšvement d'une lueur qu'il contenait sembla alors exploser et des gouttes furent expulsĂ©es aux quatre coins de la piĂšce, arrosant autant les gens les plus proches que ceux restĂ©s dans les cabines. AussitĂŽt, tous eurent l'impression de voyager en transplanant ou avec un portoloin. Puis ce fut le noir pour eux tous, le noir et un mauvais le pressentiment Ă©tait justifiĂ© car Ă leur rĂ©veil... Quelque chose avait changĂ©...___________________________________________________________________________________Axelle avait vu l'Ă©lĂšve Valens Fenwick faire quelque chose. Il avait courrut et utilisĂ© une sorte de coupe. Puis une explosion, de l'eau... et plus rien. Trouvait-il malin de troubler ainsi sa peine et son chagrin? S'amusait-il Ă se jouer des sentiments des gens? De l'Ă©nervement monta en elle, la poussant Ă se relever et Ă Ă©pousseter ses vĂȘtements d'un air digne mais contrariĂ©. RĂ©ajustant une mĂšche de sa coiffure, elle balaya la salle du regard pour trouver le petit plaisantin. Elle Ă©tait toujours sa prĂ©fĂšte et il Ă©tait de son "devoir" de lui apprendre l'ordre. Elle n'Ă©tait pas intimement convaincue que tout fut de sa faute mais ses nerfs devaient bien trouver une son regard ne parvint pas Ă le trouver. Elle regarda un Ă un les quatre autres avant de tomber sur... Elle mĂȘme? Cet imbĂ©cile avait jetĂ© un malĂ©fice pour prendre son apparence? Pour crĂ©er un double? Elle sentait que quelque chose n'allait pas, sans arriver Ă mettre le doigt dessus. Des sensations Ă©tranges arrivaient Ă elle, des impulsions, un Ă©quilibre, ... Mais qu'avait-il donc fait. Ce n'Ă©tait vraiment vraiment pas le jour de plaisanter et elle allait lui faire comprendre. Elle s'adressa donc Ă son double d'une maniĂšre sĂšche, toisant d'un regard froid celle qui Ă©tait le responsable le plus imbĂ©cile! Qu'est ce que tu as...Mais sa voix mourrut avant d'avoir terminĂ© sa phrase et elle porta sa main Ă sa bouche comme si elle pouvait encore empĂȘcher ces sons d'en sortir. Sa voix. Ce n'Ă©tait pas sa voix habituelle. Le timbre en Ă©tait bien plus grave mĂȘme s'il restait doux. Une voix comme celle de, une voix presque comme celle de. Quelque chose n'allait vraiment pas. Axelle fit alors descendre ses yeux sur sa main qui n'Ă©tait pas la sienne, puis dĂ©riva sur le bras jusqu'Ă avoir un choc. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Jeu 22 Mar - 1713 D'un coup tout s'obscuricit autour de Morphaie qui tomba Ă terre. ArtĂšmis Ă©tait restĂ©e aux pieds de la personne qui se trouvait dans cette cabine sans ĂȘtre affectĂ© de l'onde magique. La jeune pouffy n'avait pas vu ce qui s'Ă©tait passĂ©. Tout ce qu'elle avait cru voir Ă©tait un Ă©lĂšve de serpentard donner un coup dans quelque chose puis plus rien. Le noir, le les yeux John ne comprit pas pourquoi il Ă©tait Ă terre regardant des pieds qui semblaient ĂȘtre les siens et surtout regardant une crĂ©ature bleue qui semblait ĂȘtre un ridicule petit lapin. Un dĂ©tail le choqua. Que faisait il en dehors de la cabine. Pourquoi sentait il comme un Ă©trange courrant d'air le long de ses jambes?Mais que...Prononça t-il aprĂšs avoir posĂ© sa main sur le rebord de la porte de la cabine pour se relever. Il n'avait pas fini sa phrase car quelque chose le frappa. Cette main... Cette main qu'il venait de poser ce n'Ă©tait pas la sienne. Se redressant, il secoua la tĂȘte comme pour chasser cette allucination. Encore embrumĂ©, il se dirigea vers les lavabos pour se passer un coup d'eau sur le visage. Sous ses doigts, il ne reconnut pas son visage. Que d'Ă©tranges sensations se faisaient sentir...Se redressant, il fit un reflet dans le miroir, un reflet qui n'Ă©tait pas le sien. Pourtant quand il porta une main sur son visage, le reflet fit de mĂȘme... Impossible! La colĂšre monta en lui alors que d'habitude il gardait son sang froid en toute occasion pour calmer ses nerfs il frappa dans quelque fut le miroir qui se brisa et blessa la main fine. Se retournant il regarda les deux serpentards qui se trouvait devant lui. Quel mauvais tour ces deux lĂ avait pu lui jouer? La voix pleine d'une rancoeur non refoulĂ©e et froide, il les fixa d'un regard de vous deux est responsable de ce malĂ©fice? Je trouve pas cela drĂŽle, je veux retrouvĂ© mon apparence et non rester dans le corps d'une poupĂ©e... Effectivement il se retrouvait dans le corps d'une jeune demoiselle Ă l'allure de poupĂ©e de porcelaine, fragile et candide. Cela lui faisait un choc... InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Jeu 22 Mar - 1731 Le jeune black Ă©tait debout, prĂšs des lavabo. AprĂšs quelques secondes de prĂ©sence dans la piĂšce, un jeune homme, plus jeune que Joe en le regardant, sortit d'une des cabines Ă proximitĂ©. Il avait l'air fou de rage, il se dirigeait vers le lavabo dans une course en ligne droite. Sur l'Ă©vier ce trouvait une sorte de coupe, une calice comme on pouvait l'appeler. D'un coup, d'un seul, le jeune homme fĂźt valser la coupe d'un coup de poing. Cette derniĂšre partit dans le vide tout en reversant sur chacune des personnes aux alentours, de l'eau qu'elle contenait. Joe n'eut pas le temps de l'esquiver, en plein sur ses beaux vĂȘtements tout propre. Il n'aimait pas ĂȘtre sali, ce jeune homme allait ĂȘtre rĂ©primandĂ© ! Mais, le jeune black n'eut pas le temps d'agir, juste aprĂšs que l'eau soit rentrĂ© en contact avec sa peau, un trou noir Ă©tait apparu. Plus rien n'Ă©tait clair, tout Ă©tait sombre..Morphaie Ă©tait debout, droite comme un plot. Elle se sentait plus lourde que tout Ă l'heure, comme si elle avait mangĂ© il y a quelques secondes, hors ce n'Ă©tait pas le cas. La jeune fille se sentait Ă©galement plus haute que d'habitude, comme si elle portait des Ă©chasses, hors, encore une fois, ce n'Ă©tait pas le cas. Le vent qu'elle sentait habituellement sur ses jambes semblait ĂȘtre bloquĂ© par quelques choses, elle ne pouvait dire quoi. Toute ses diffĂ©rences apparue depuis le trou noir lui traversĂšrent l'esprit en une dizaine de seconde. Elle repris ses esprits par la suite, ce disant que ce n'Ă©tait pas grand chose, et se mit Ă chercher son animal, ArtĂ©mis. Elle le cherchait du regard, au sol. Il se trouvait prĂšs..de Morphaie ? La personne se trouvant Ă cĂŽtĂ© d'ArtĂ©mis ressemblait comme deux gouttes d'eau Ă Morphaie, de dos en tout cas. Le visage n'Ă©tait sĂ»rement pas le mĂȘme, au dĂ©but elle trouvait ça marrant. Mais ensuite, lorsque la fille se dirigea vers le miroir, la jeune poufsoufle put observer son visage.. Identique Ă©galement ! De plus, la personne semblait paniquĂ©Lequel de vous deux est responsable de ce malĂ©fice? Je trouve pas cela drĂŽle, je veux retrouvĂ© mon apparence et non rester dans le corps d'une poupĂ©e... La mĂȘme voix que Morphaie.. cette derniĂšre tendit les mains, pour remonter ses manches. Elle s'aperçut qu'elle n'en avait pas, mais que sa peau.. Ă©tait noire. Une vague de chaleur montait dans son corps, un stress d'une intensitĂ© extraordinaire montait en elle. Elle s'approcha d'un autre miroir et put y aperçevoir un visage, mais qui n'Ă©tait pas le siens. La peau Ă©tait noire, la mĂąchoire Ă©tait puissante, comme chacune des parties du corps dans lequel elle se trouvait.. Morphaie avait les larmes aux yeux, elle fermait ses derniers.. soufflait un coup puis pris une petite partie de peau pour la pincer.. Doucement, elle rouvrit les yeux.. Elle crĂ» que tout Ă©tait rentrĂ© dans l'ordre, jusqu'au moment oĂč elle aperçu son visage Ă deux mĂštre d'elle. Tout ça, s'Ă©tait la faute des deux serpentard.. Quelle bande de.. Elle Ă©tait maintenant enfermĂ© dans un corp qui n'Ă©tait pas le siens. Morphaie regardait autour d'elle, chacune des personnes semblaient revenir doucement Ă eux. En ce moment, Morphaie avait envie d'une seule chose, frappĂ© ces Serpentard. Malheureusement, mĂȘme si Ă prĂ©sent elle Ă©tait dotĂ© de muscle, elle ne savait pas s'en servir. La jeune fille s'asseyait alors sur le sol, pris ses jambes dans les bras et se mettait Ă pleurer, comme une enfant. S'Ă©tait tout Ă fait lĂ©gitime pour une jeune fille de pleurer dans ce genre de situation.. par contre pour un grand noir musclĂ©, ça l'Ă©tait beaucoup moins. SĂ»rement que la vision de ce spectacle, serait bizarre pour ceux qui vont y assister.. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Jeu 22 Mar - 1940 Lorsque Valens avait propulsĂ© la coupe, une drĂŽle d'impression se fit ressentir. Le dĂ©cor se mit Ă tourner trĂšs vite, comme si le jeune homme transplanait. Ce dernier se concentra afin de garder un certain maintien et ne pas vider ses tripes sur le sol. Cependant, un rideau noir bloqua la vision et toute sensation chez Valens. Cela dura plusieurs secondes, puis le dĂ©cor se replaça peu Ă peu. Le Serpentard plaça sa main sur le lavabo pour se retenir et trouver un certain Ă©quilibre. Son regard se posa sur son voisin un grand jeune homme Ă la peau noire provenant de Poufsouffle. Cependant, avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, un bruit de porte mĂ©tallique capta son attention. Quelqu'un sortait d'une cabine. Valens fit volte face pour tomber sur son... double ? ĂtonnĂ©, le Serpent haussa un sourcil, tandis que sa copie s'exclama - Quel imbĂ©cile! Qu'est ce que tu as...L'autre ne termine pas sa phrase et porta sa main Ă sa bouche avant de descendre tranquillement le regard. Entre temps, les autres occupants commençaient Ă rejeter la faute sur les deux Serpentards. Puis, le jeune homme noir s'assit sur le sol et commença Ă verser quelques larmes. Quelle Ă©trange attitude pensa Valens avant de reporter rapidement son attention sur son double. Le Serpentard passa une main dans ses cheveux, histoire de s'Ă©claircir les idĂ©es. Mais qu'elle fĂ»t sa surprise lorsqu'il constata que sa criniĂšre s'Ă©tait allongĂ©e en l'espace de quelques moments. Rapidement, il fit volte-face vers le miroir derriĂšre lui. L'objet avait connu une dure Ă©poque plus glorieuse. Maintenant, plusieurs morceaux Ă©taient manquants. MalgrĂ© tout, il parvint Ă distinguer une chevelure noire, un oeil turquoise, ainsi qu'un badge de prĂ©fet... vert ? Il Ă©tait donc dans le corps d'Axelle ? OĂč alors avait-il prit son apparence ? Et le Valens qui se trouvait devant lui ? - Un instant, fit calmement le Serpentard, tentant de calmer la panique gĂ©nĂ©rale qui s'installait. Cette histoire Ă©tait des plus Ă©tranges, mais un embryon d'explication surgissait dans son esprit. - Axelle ? appela-t-il tout en portant son regard vers son corps. La situation devait ĂȘtre plutĂŽt absurde, mais en ce moment rien n'Ă©tait normal. - Suis-je le seul Ă avoir ressenti cette sensation de transplanage ? demanda-t-il ensuite Ă lâensemble du groupe. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Sam 24 Mar - 2005 La jeune femme se sentit comme arrachĂ©e de son corps qu'elle laissait abandonnĂ© dans les toilettes de Mimi, mais elle eut l'impression de ne pas l'avoir laissĂ© trĂšs loin, car le nouveau paysage n'avait rien de bien diffĂšrent des toilettes, sauf que cette fois Crystal se trouvait dans une cabine. Mais il y avait quelque chose de bien louche dans tout ça, elle avait entendu le bruit bien distinctif d'un objet qu'on frappait, *Qu'est-ce qui aurait bien pu se passer?* se demandait-elle, avant d'entendre des cris parvenir de l'extĂ©rieur. Au moins elle avait raison sur un point; elle n'Ă©tait pas seule dans ces sortit de sa cabine pour voir deux Serpentards, ils Ă©taient sĂ»rement responsables de ce qui venait de se passer. Mais avant qu'elle puisse parler, la jeune femme remarqua un autre dĂ©tail, il y avait un jeune homme, apparemment dans les vingtaines, qui, Ă la grande surprise de Crystal, Ă©tait entrain de pleurer. Le spectacle devenait de plus en plus Ă©trange, mais ce n'Ă©tait rien comparĂ© Ă ce qui allait suivre, quand la prĂ©fĂšte Serpy" s'adressa au garçon de Axelle? Demanda-t-elle, avant de poursuivre en s'adressant Ă l'ensemble des prĂ©sents, Suis-je le seul Ă avoir ressenti cette sensation de transplanage?"Le" seul, ce mot rĂ©sonna dans sa tĂȘte comme un coup de canon, il y avait quelque chose d'anormal dans ce spectacle, et c'Ă©tait sĂ»rement la faute de l'un des prĂ©sents, plus prĂ©cisĂ©ment, l'un des deux Serpentards, il fallait mettre fin Ă cette situation ridicule, car en rĂ©sument tout ça, on avait une prĂ©fĂšte de Serpentard qui appelle un garçon par le nom d'une fille, un jeune dans les vingtaines qui pleurait comme une fillette, une petite fille les mains ensanglantĂ©e et un miroir Qu'est-ce qui se pa... La jeune femme ne pu terminer sa phrase, la voix qui avait formulĂ© ses paroles n'Ă©tait pas la sienne. Une pensĂ©e soudaine se matĂ©rialisa aprĂšs une rĂ©capitulation mentale du spectacle, car si on ajoutait ce qu'avait dit la prĂ©fĂšte Ă ce qu'elle venait d'entendre sortir de sa bouche. Elle regarda des mains qui n'Ă©taient pas les siennes, elle les leva pour toucher des cheveux lisses, ce qui Ă©tait en quelque sorte rĂ©confortant, mais ce rĂ©confort se dissipa lorsqu'elle constata qu'ils n'Ă©taient pas aussi longs qu'ils devaient l'ĂȘtre. Crystal se dirigea vers un miroir, pour voir un garçon qui la regardait avec le mĂȘme ahurissement qu'elle ressentait. Le jeune homme avait des yeux gris, des cheveux marrons, elle ne prit pas la peine de dĂ©tailler son nouveau corps, car ce qu'elle voyait Ă ses cĂŽtĂ©s Ă©tait aussi Ă©trange que tout le reste son corps Ă elle Ă©tait blotti devant elle. Elle se tourna alors vers l'ensemble du groupe et demanda sur un ton qu'elle voulait le plus Vous pouvez m'expliquer ce qui se passe ici? Dit-elle en essayant de cacher la colĂšre qui commençait Ă faire regarda alors son propre corps en essayant de connaitre la personne qui le possĂ©dait Ă prĂ©sent, *Pourvu que ce ne soit pas un garçon*. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Mar 27 Mar - 1049 MĂ©dusĂ©e, Axelle se rendait peu Ă peu compte que ce corps qu'elle habitait n'Ă©tait pas le sien. Elle avait l'apparence de... Non. C'Ă©tait plus que de l'apparence, les sensations qui venaient Ă elle Ă©taient trop Ă©tranges pour cela. Elle avait le corps d'un garçon. Elle avait le corps de Valens. Mais pire encore, quelqu'un d'autre semblait avoir le sien. Cela n'allait pas du tout! La plaisanterie Ă©tait loin d'ĂȘtre drĂŽle, elle devait s'arrĂȘter sur le vu des diffĂ©rentes rĂ©actions qui fusaient, la prĂ©fĂšte de serpentard ne semblait pas la seule affectĂ©e par ce changement. Une jeune fille de poufsouffle exigeait sur le champ le responsable de ce malĂ©fice et surtout son annulation. La jeune femme nota avec un certain agacement que tous voulaient probablement la mĂȘme chose sans qu'il fut besoin de le prĂ©ciser. Un grand noir baraquĂ© Ă©tait repliĂ© sur lui mĂȘme en train de verser des larmes et supportait Ă©galement assez mal sa situation. Elle mĂȘme... Enfin l'autre elle mĂȘme... Bon la personne qui occupait son corps l'appela par son prĂ©nom. RĂ©flĂ©chissant quelques instants, elle s'aperçut que la seule personne qui la connaissait suffisamment pour cela Ă©tait Valens. C'Ă©tait donc lui qui occupait son corps. Formidable, un garçon... L'agacement monta d'un cran et Axelle rĂ©pondit des plus fraichement Ă son je te prĂ©viens que si tu abĂźmes ne serait ce qu'un peu mon corps ou si tu tentes quelque chose de dĂ©placĂ©, je trouverai un moyen de te le faire payer sans endommager mon personnes demandaient Ă tout va des explications ou des solutions et un cafarnaĂŒm Ă©tait en train de s'instaurer. Avant que la panique et la colĂšre ne prennent le dessus sur toute raison, Axelle haussa la voix et dit sur un ton calme. Silence! Je suis prĂ©fĂšte... enfin elle est prĂ©fĂšte. Bon vous m'avez comprise. Ce n'est pas ainsi que nous rĂšglerons cet incident. Bon pour commencer, qui ĂȘtes vous chacun, que l'on se rende compte de la situation exacte? Je suis Axelle Higgs, prĂ©fĂšte de quand les gens eurent dĂ©clinĂ© leurs identitĂ©s, toisant d'un regard noir ceux qui dĂ©clinaient ses consignes, elle commença Ă rĂ©capituler ce qu'ils savaient de leur que nous en savons un peu plus sur qui nous sommes, que savons nous de la situation? PremiĂšrement, un calice qui projette des gouttes sur nous et qu'il serait bon de la sensation de transplanage qu'a dĂ©crite nous avons tous un corps que nous prĂ©fĂšrerions rendre Ă son propriĂ©taire en rĂ©cupĂ©rant le d'autre?Le troisiĂšmement avait Ă©tĂ© prononcĂ© avec un regard appuyĂ© sur son propre corps au travers duquel Valens la regardait. Au fond d'elle mĂȘme, elle Ă©tait loin d'ĂȘtre aussi rassurĂ©e et optimiste qu'elle essayait de le montrer, mais son rĂŽle l'obligeait Ă garder l'attitude d'un exemple pour ne pas que tous les autres ne perdent leurs moyens et, par lĂ mĂȘme, leurs chances de s'en elle commençait Ă se rendre compte de ce que cela faisait d'habiter le corps d'une personne du sexe opposĂ©. Les sensations, les pulsions, sa bouche devenait sĂšche quand ses yeux se posaient sur le corps d'une femme. Ce corps ne lui obĂ©issait pas de la mĂȘme maniĂšre qu'Ă l'accoutumĂ©e et ses rĂ©actions Ă©taient dictĂ©es de maniĂšre inattendue. Une expĂ©rience finalement assez intĂ©ressante Ă trĂšs petite dose mais frustrante dans le mĂȘme temps. Une certaine impatience Ă rĂ©gler ce problĂšme la gagna malgrĂ© sa volontĂ© d'apparaĂźtre calme. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Mer 28 Mar - 1712 Un jeune garçon sortit soudain d'une cabine proche d'un air rageur, sans prĂȘter attention au regard dĂ©sapprobateur que Joe lui lança. Le vert et argent envoya balader une sorte calice d'un coup de poing violent ou il tomba part terre, au milieu d'une flaque d'eau, dans un grand bruit rĂ©sonnant. Puis soudain ce fut le noir complet. Joe se sentit sombrer, aspirĂ© par une Ă©trange force...Puis le nĂ©ant...Lorsqu'il ouvrit les yeux, il Ă©tait par terre, mais apparemment en vie. Il se releva et aperçut le Serpentard colĂ©reux debout lui aussi. Qu'avait-il encore fait ? Trouvait-il cela drĂŽle ? Joe Ă©tait dĂ©jĂ assez Ă©nervĂ© comme ça Ă cause de cet stupide examen de mathĂ©matiques, il n'avait pas besoin d'ĂȘtre victime d'une farce en s'Ă©pousseter sa robe, il baissa les yeux, mais avec un froncement de sourcils remarqua qu'elle Ă©tait aux couleurs de Gryffondor. Avec ahurissement, il contempla ses jambes, longues, fines, fĂ©minines. D'un coup sec il se retourna vers le miroir, et en resta bouche bĂ©e. Le miroir lui renvoyait l'image d'un visage aux traits fin, aux yeux bleus perçants et encadrĂ© par de long cheveux bruns. Un visage beau et impassible. Mais un visage de fille. Jetant un coup d'oeil derriĂšre lui, il ne vit personne. C'Ă©tait donc bien lui en face du lavabo. Mais non il divaguait il n'Ă©tait pas une fille, il Ă©tait Joe, un garçon....C'Ă©tait sĂ»rement la farce de ce Serpentard. Se retournant pour dĂ©visager le farceur il failli tomber de haut. Son visage l'observait. C'Ă©tait une sensation Ă©trange que de se voir en face de commençait Ă ĂȘtre inquiet maintenant. Il Ă©tait certain que c'Ă©tait plus qu'une simple farce dĂ©sormais. Il ouvrit la bouche pour donner son avis mais le Serpentard lui coupa la parole Quel imbĂ©cile! Qu'est ce que tu as...Il porta sa main Ă sa bouche, semblant rĂ©aliser ce qui se passait. Joe commençait Ă paniquer sĂ©rieusement qu'allaient-ils faire ? Ils avaient Ă©changĂ© leurs corps ! Une prĂ©fĂšte de Serpentard analysa la situation. Joe, toujours paniquĂ©, dĂ©clina son nom et remarqua un coup d'oeil noir de la part d'un autre Ă©lĂšve. SĂ»rement la personne dont il avait pris le corps...Maintenant que nous en savons un peu plus sur qui nous sommes, que savons nous de la situation? PremiĂšrement, un calice qui projette des gouttes sur nous et qu'il serait bon de la sensation de transplanage qu'a dĂ©crite nous avons tous un corps que nous prĂ©fĂšrerions rendre Ă son propriĂ©taire en rĂ©cupĂ©rant le d'autre? Le Serpentard avait continuĂ© Ă parler. Toute la fureur que contenait Joe se dĂ©versa alors d'un seul coup - Quoi d'autre ? Mais regardez ce que vous avez fait ??? C'est sĂ»rement de la magie noire !!! Qu'est-ce qu'on va faire.... InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Jeu 26 Avr - 657 - excuse-moi, mais je ne crois pas que nous voulions changer de corps aujourd'hui. Nous devrions plutĂŽt nous calmer et trouver une solution. C'est la voix hautaine et traĂźnante d'Axelle qui rĂ©pondit Ă la Gryffondor qui Ă©tait en rĂ©alitĂ© le Serdaigle, mais il s'agissait des paroles de Valens. Ces derniĂšres Ă©taient mesurĂ©es, comme Ă l'habitude. En tout temps, ou presque, le garçon savait rester poli et courtois. Cependant, le jeune homme ressentait un agacement, voire une certaines frustration envers ses collĂšgues. Personne ne semblait rĂ©ellement chercher une solution, malgrĂ© son intervention. Enfin, celle d'Axelle dans son corps. Le jeune homme prit quelques inspirations, attendant une quelconque rĂ©action. Il se demandait si c'Ă©tait le fait d'ĂȘtre dans le cops de la prĂ©fĂšte qui le poussait Ă rĂ©agir ainsi ou alors...Le jeune homme secoua la tĂȘte, renfonçant ses pensĂ©es sombres dans un coin de sa tĂȘte ou alors celle d'Axelle?. Une fois qu'ils retrouveraient leurs corps, est-ce que les rĂ©flexions de l'individu qui aurait occupĂ© le corps pendant un moment y seraient imprĂ©gnĂ©es ? AprĂšs tout, Valens devait utiliser le cerveau de la prĂ©fĂšte en ce moment mĂȘme et donc y stocker ses pensĂ©es. Des yeux, le Serpent chercha des yeux le calice qu'il avait projetĂ© auparavant. Il devait plutĂŽt se concentrer sur la solution Ă ce problĂšme, car les Ă©tudiants parmi eux avaient tĂŽt fait d'accuser les deux Serpentards. On avait dĂ©jĂ parlĂ© Ă Valens de la rĂ©putation des verts et argents, au sein des autres maisons. Une espĂšce de rivalitĂ© qui avait Ă©tĂ© bien plus forte il y a de cela des dĂ©cennies, mais qui perdurait toujours. Le jeune homme plissa des yeux, afin de mieux cerner les dĂ©tails. Chose certaine, Axelle Ă©tait dotĂ©e d'une moins bonne acuitĂ© visuelle que lui. Cependant, Valens avait malgrĂ© tout rĂ©ussi Ă cerner un objet brillant, dans une cabine situĂ©e Ă gauche. Machinalement, il avança et rĂ©cupĂ©ra rapidement l'objet. Bien entendu, le calice Ă©tait dorĂ©navant vide. L'objet Ă©tait de bronze et quelques amĂ©thystes, finement taillĂ©es, dĂ©coraient la coupe. Le regard vissĂ© sur l'objet, le jeune homme retourna prĂšs de son corps, occupĂ© par Axelle. Il s'Ă©tait dirigĂ© vers elle, car malgrĂ© ses menaces Ă l'endroit de son corps, c'Ă©tait la seule qui ne semblait plus trop bouleversĂ©e par la situation. Enfin, assez pour tenter de remĂ©dier Ă cette derniĂšre. Par ailleurs, les autres semblaient plus ou moins persuadĂ©s que toute cette ironie Ă©tait prĂ©vue. NĂ©anmoins, le Serpentard fit signe aux autres d'approche. Il devait bien prouver sa bonne volontĂ© ! - J'ai l'impression qu'il y a quelques mots gravĂ©s ici, fit Valens en pointant l'endroit oĂč il pouvait sentir quelques irrĂ©gularitĂ©s en passa son doigt. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Lun 30 Avr - 1108 Au fur et Ă mesure que le temps avançait, Crystal s'adaptait un peu plus Ă la situation prĂ©sente et surtout au fait que ce corps n'Ă©tait pas le sien. Ce fait s'accentua par quelques tics et sentiments qui ne lui Ă©taient pas habituels. PremiĂšrement elle avait le corps d'un garçon qu'il lui Ă©tait totalement Ă©tranger et pire encore, quelqu'un d'autre Ă©tait en possession de son corps. Ce qui aggravait la situation un peu plus c'Ă©tait que l'une des Serpentards Ă©tait prĂ©fĂšte et qu'elle aussi n'avait pas son propre ou plutĂŽt le corps du jeune homme se mit Ă se gratter le nez, c'Ă©tait sĂ»rement signe d'anxiĂ©tĂ©. Une soudaine question vint troubler les pensĂ©es de Crystal, elle se demanda si elle allais se rappeler ces sentiments, ou vice-versa, si le cerveau du jeune homme allait se rappeler les rĂ©flexions qu'elle aurait eu ? Elle laissa cette pensĂ©e pour aprĂšs, Ă prĂ©sent elle devait trouver son corps et s'assurer qu'il Ă©tait entre de bonnes mains. En cet instant son corps lui apparut Ă sa droite. Les paroles fusaient de toute part, la jeune femme put quand mĂȘme retenir une petite rĂ©capitulation des faits donnĂ©e par la prĂ©fĂšte qui Ă©tait en possession du corps de l'autre Serpy', elle leur demanda aussi de se Je suis Crystal Harper, de Gryffondor, voilĂ mon corps, dit-elle en montrant son corps avec un signe de tĂȘte, et toi, t'es qui ? demanda-t-elle en s'adressant Ă son corps, au moins pour savoir qui Ă©tait l'occupant actuel de son corps. Mais Ă cet instant, les yeux la regardĂšrent d'en haut en bas, s'attardant une fraction de seconde un peu plus sur des endroits dĂ©placĂ©s, elle pensa alors en dĂ©tachant le regard de son corps "Les garçons et leurs rĂ©flexes."Elle qui Ă©tait toujours distante et calme devait sortir de l'ombre, la situation n'Ă©tait pas assez simple pour la regarder sans intervenir, elle essaya d'analyser la situation d'aprĂšs les paroles d'Axelle, la prĂ©fĂšte. Ils Ă©taient tous Ă©claboussĂ©s de gouttes provenant d'un calice, ils avaient tous eu la sensation de transplaner. C'Ă©tait une bonne description du pĂ©trin oĂč ils Ă©taient Ă prĂ©sent, toutefois, elle devait se calmer et trouva soudain sa rĂ©action un peu trop exagĂ©rĂ©e, elle dĂ©cida alors de montrer qu'elle Ă©tait prĂȘte Ă coopĂ©rer avec J'ai une question Ă vous poser, commença-t-elle en s'adressant Ă l'ensemble des prĂ©sents, avez-vous tous l'impression que votre corps actuel, disons, intervient sans se rĂ©fĂ©rer au cerveau ? Je veux dire que vous avez des rĂ©flexes qui vous sont inhabituels et Ă©tranges, non?Elle avait l'impression que sa question n'Ă©tait pas trĂšs claire, mais elle n'avait eu aucune meilleure façon de formuler ses doutes. Attendant toujours une rĂ©ponse, elle regarda le corps d'Axelle se diriger dans un coin et prendre une sorte de coupe de bronze et la ramener auprĂšs du corps du Serpy' dont elle ne connaissait toujours pas l' J'ai l'impression qu'il y a des mots gravĂ©s ici, dit l'occupant du corps de la s'avança vers les deux Serpentards, essayant de se montrer plus coopĂ©rante, elle regarda oĂč pointait le doigt. Elle aperçu quelque chose d'Ă©crit, mais ne put le lire, elle tourna la tĂȘte, peut-ĂȘtre qu'en tournant la tĂȘte, elle allait arriver Ă lire quelque chose. Se fut alors une bonne idĂ©e, il y avait des lettres gravĂ©es, mais elle n'arrivait toujours pas Ă Tournez-la 90° Ă droite, il y a des lettres, peut-ĂȘtre que vous pourrez dĂ©chiffrer quelque chose. Dit-elle en espĂ©rant que la solution Ă©tait gravĂ©e la dessus. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Mer 2 Mai - 1733 Les diverses personnes prĂ©sentes commencĂšrent Ă s'agiter, rĂ©alisant avec horreur ce qui Ă©tait en train de se passer. Chacun gĂ©rait diffĂ©remment la panique, mais tous la sentait monter en eux. La prĂ©fĂšte des serpentard prenait son rĂŽle d'autoritĂ© afin de ne pas cĂ©der Ă la pression, un rĂŽle qui pouvait geler une partie de ses peurs pendant un certain toisa de maniĂšre hautaine la gryffondor, ou du moins le corps de celle ci qui contenait un certain Joe, et lui intima de garder son calme. Ce n'Ă©tait guĂšre le moment de rentrer dans les plumes dans un conflit ouvert entre les maisons. Face Ă cette Ă©nonciation de l'Ă©vidence, Axelle rĂ©sista Ă l'envie de lui confirmer que c'Ă©tait effectivement de la magie noire. A quoi pouvait-il s'attendre, Ă des sorts mĂ©nagers un peu vicieux?- Gardez votre calme! Nous allons trouver une solution. Nous chĂątierons les coupables une fois que nous aurons rĂ©cupĂ©rĂ© nos corps. Nos corps d'abord, le reste jeune femme Ă©tait pressĂ©e de retrouver son corps. Elle ne souhaitait mĂȘme pas penser Ă ce qui arriverait s'ils ne parvenaient pas Ă surmonter ce problĂšme. Ce corps ci, le corps de ce garçon, Ă©tait plutĂŽt dĂ©rangeant. Le frottement du tissu sur sa peau le brĂ»lait au niveau des bras et lui renvoyait des sensations des plus Ă©tranges, comme si des motifs Ă©taient creusĂ©s dans chair. Les gens continuaient Ă se prĂ©senter et Ă chercher qui Ă©tait en possession de son corps. Ce chaos pourtant visait un certain ordre. Car il semblait que savoir qui Ă©tait aux commandes de son corps rassuraient un peu les diffĂ©rentes victimes, mĂȘme lorsque cela impliquait un individu du sexe opposĂ©. Crystal demanda si personne n'avait eu des rĂ©flexes bizarres aux commandes du corps qu'ils habitaient. TrĂšs honnĂȘtement et en rĂ©primant difficilement une raillerie au vu de la situation, la serpentard Et bien, j'ai plutĂŽt des sensations Ă©tranges, des pulsions et surtout dans les membres des...Sa voix mourut alors qu'elle croisa le regard paniquĂ© de son propre corps. Y avait-il quelque chose qu'elle n'aurait pas du dire? Qu'elle n'Ă©tait pas sensĂ© rĂ©vĂ©ler. IncrĂ©dule et dubitative, elle dĂ©cida d'en apprendre davantage avant de devait vraiment tout faire. Tandis qu'elle Ă©tait occupĂ©e Ă maintenir l'ordre, toisant d'un air dissuasif toute personne menaçant de sortir de ses gonds, son corps Ă©tudiait la coupe. DĂ©cidĂ©ment, le poste de prĂ©fet demandait vraiment d'ĂȘtre au four et au moulin. Son corps remarqua des inscriptions qui formaient un relief sur la coupe. IntriguĂ©, un jeune homme ou plutĂŽt la jeune femme qui l'habitait, Crystal, approcha afin de donner son avis et son conseil. Le message n'Ă©tait pas tant codĂ© qu'Ă©crit de maniĂšre Ă dĂ©router ceux qui ne savaient pas le lire ses conseils, la coupe fut tournĂ©e et les lettre se formĂšrent. Elles semblaient Ă©crite de maniĂšre Ă©trange, comme si... Non, c'Ă©tait un truc d'enfant ça. Avec un mĂ©nagement qui avait plus d'Ă©gard vis Ă vis de son corps que du vert et argent en son sein, elle se poussa vers un miroir. Par rĂ©flexion, elle put lire correctement le message gravĂ© sur la coupe. Il Ă©tait assez long et faisait le tour de cette derniĂšre. Afin d'Ă©viter la bousculade, elle lut ce message Ă haute voix pour que tout le monde l' Ma rage une fois abreuvĂ©e, je peux rendre la jeunesse perdue, rendre fort le faible et vous livrer la compagne de votre frĂšre. Mais je demande un sacrifice de prix Ă©gal pour ce faire. Cependant, ne prenez pas cette dĂ©cision Ă la lĂ©gĂšre. Ne pensez pas qu'il soit simple de faire marche bien mĂȘme de toutes les vies je serai librement bien mĂȘme l'Ă©ternitĂ© mâapporterait la bien mĂȘme tous et chacun fasse acte d' ne vous resterait tout de mĂȘme tout de mĂȘme que vos larmes pour pleurer celui que vous leur colĂšre et leurs dissensions, la vert et argent Ă©tait sĂ»re que tous avaient Ă©coutĂ© ses paroles. C'Ă©tait le sĂ©same dont dĂ©pendait leur vie et pas un n'Ă©tait assez fou pour ne pas s'en prĂ©occuper. Mais parviendraient-ils Ă changer ces phrases sibyllines en une solution concrĂšte?SUITE A INACTIVITE - FIN DU RP InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Jeu 2 AoĂ» - 207 [HRPG RP privĂ© avec moi-mĂȘme]Nouveau pays, Nouvelle Ă©cole, Nouveau lookMylah se tenait devant la porte de la salle de bain du supposĂ© fantĂŽme de Mimi Geignarde. Ces collĂšgues de Poufsouffles lui en avaient glissĂ© mot, lui dĂ©conseillant fortement dây entrĂ©. Ayant dâune part, besoin de se retrouver ''seule'' quelque instant et dâautre part Ă©tant beaucoup trop curieuse dây faire sa propre expĂ©rience, la jeune fille hocha les Ă©paules en signe dâindiffĂ©rence et poussa la se retrouva dans une petite piĂšce quelque peu salubre et mal Ă©clairĂ©e. Des Ă©claboussures dâeau ici et lĂ tĂ©moignaient de la prĂ©sence de Mimi. Ă gauche de la porte Ă©taient alignĂ©s des cabinets de toilette, alors quâĂ droite se trouvaient les six lavabos disposĂ©s en cercle lâun Ă cĂŽtĂ© de lâautre. Mylah se dirigea vers lâun d'eux et y dĂ©posa son sac Ă dos duquel elle sortit une petite boĂźte rectangulaire. Elle avait achetĂ© cette derniĂšre, deux jours plus tĂŽt avant de faire son entrĂ©e Ă Poudlard, dans un petit magasin de moldus Ă Londres. Sur cette boĂźte Ă©tait inscrit en grosse lettre Teinture instantanĂ©e pour cheveux Rouge de changement sâĂ©tait effectuĂ© dans la vie de la jeune poufsouffle ces derniers temps. Elle avait changĂ© de pays, changer dâĂ©cole et maintenant elle avait envie de changer de look. Elle sentait quâune nouvelle couleur de cheveux lâaiderait Ă vivre pleinement ce changement de vie. Ce serait comme un nouveau dĂ©part pour elle et elle nâen Ă©tait nullement attristĂ©e. Un changement une fois de temps en temps ne faisait que rendre la vie plus nâavait-elle pas effectuĂ© ce changement de look avant son arrivĂ©e Ă Poudlard? Mylah nâĂ©tait pas tout Ă fait certaine de la rĂ©ponse. Peut-ĂȘtre parce quâelle avait senti le besoin de visiter cette cĂ©lĂšbre Ă©cole sous son apparence initiale. Mais peu importait maintenant. Elle se pencha sur les instructions au dos de la boĂźte et les suivies Ă la lettre. Elle se fit sĂ©cher magiquement les cheveux, quelques minutes plus tard, et observa le rĂ©sultat final, un sourire aux teinture avait donnĂ© le rĂ©sultat souhaitĂ©. Une couleur flamboyante qui allait Ă merveille avec le tempĂ©rament excentrique de la sang-mĂȘlĂ©. Elle qui ne souhaitait pour rien au monde passĂ© inaperçus, ne risquait pas de lâĂȘtre avec cette couleur. Elle se regarda une derniĂšre fois dans le miroir avant de se retourner et de tomber face Ă face avec une jeune fille transparente. Cette derniĂšre fit le tour trois fois de Mylah, affichant un air maussade. Alors? Comment trouves-tu mes nouveaux cheveux?»Câest... Affreux!» RĂ©pondit le fantĂŽme avec un rire aigu et en faisant des acrobaties dans le la remarque, Mylah lui demanda, plus par politesse que par curiositĂ©, car elle connaissait dĂ©jĂ la rĂ©ponse Tu es Mimi Geignarde, câest bien ça?»Le fantĂŽme Ă©clata en un sanglot exagĂ©rĂ© avant de plonger tĂȘte premiĂšre dans la cuvette de toilette la plus proche. La jeune poufsouffle resta figer un instant, sourcils levĂ©s en se demandant ce quâelle avait bien pu dire de mal. Voyant que Mimi ne revenait pas, elle jeta son sac Ă dos sur son Ă©paule et sortit dans les couloirs.[Fin du RP.] InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Sam 1 Sep - 1208 { Rp avec Manon, Mylah, Megane, Jana et Angel }Angel attendait avec impatience lâheure de rendez-vous avec Manon et Mylah, la nuit Ă©tait tombĂ©e et il se tenait prĂȘt Ă partir. Il avait mit dans sa besace tous les ingrĂ©dients nĂ©cessaires pour prĂ©parer une potion de Polynectar. Celle-ci permet Ă un humain de prendre lâapparence dâun autre humain durant une heure. Les trois jeunes Ă©lĂšves voulaient juste sâamuser un peu et voir les effets de cette potion sur eux. Une expĂ©rience un peu tordu, mais quand on y rĂ©flĂ©chit bien elle Ă©tait amusante, prendre lâapparence dâune autre personne nâĂ©tait pas quelque chose dâordinaire. Angel avait proposĂ© aux deux filles de prendre les cheveux sur eux, comme ça Angel deviendrait Mylah ou Manon pendant une heure et lâune dâelle prendrai son apparence. Rien quâĂ lâidĂ©e, le brun se mit Ă rire tout seul dans son Ă©tait maintenant lâheure quâil les rejoigne, il sortit sans faire de bruit de son lit, puis il descendit les escaliers du dortoir en essayant dâĂȘtre le plus discret possible. En arrivant dans la salle commune, il marcha dâun pas rapide pour rejoindre les toilettes de Mimi Geignarde. Angel en avait beaucoup entendu parlĂ©, mais il nâavait encore jamais mit les pieds lĂ -bas. Ce soir il allait dĂ©couvrir pleins de choses, les effets dâune potion quâil nâavait jamais fabriquĂ© et un lieu peu banal quâil ne connaissait encore pas. Il avait dĂ©jĂ visitĂ© bien dâautres endroits, mais celui-ci nâĂ©tait encore pas Ă son actif. Il marchait Ă pas de loup dans les couloirs et les escaliers, les tableaux marmonnaient des choses Ă son passage, il devait sĂ»rement ĂȘtre dĂ©ranger par le peu de bruit quâil Ă©mettait. Le brun nâen fit pas cas et il continua son petit bonhomme de chemin jusquâaux fameux toilettes. Il pĂ©nĂ©tra Ă lâintĂ©rieur tout en scrutant les moindres dĂ©tails, mais il sursauta quand il entendit une voix derriĂšre lui qui ne ressemblait en rien Ă Manon ou Ă Mylah. Qui vient me dĂ©ranger Ă une heure aussi tardive⊠Tu viens te moquer de moi câest ça ! »La voix de cette fille Ă©tait un mĂ©lange dâironie et de tristesses, il se tourna vivement vers⊠Il Ă©carquilla les yeux devant le fantĂŽme de Mimi Geignarde, il savait quâelle se trouvait dans cet endroit, mais il ne pensait pas la croiser aussi rapidement. CâĂ©tait une jeune fille, petite et trapue avec le visage maussage Ă demi cachĂ© sous de longs cheveux pendants et une paire de lunettes aux verres Ă©pais. Le jeune Gryffondor lui rĂ©pondit dâune voix posĂ©eâŠ- Bien sĂ»re que non je ne vois pas pourquoi je le ferai ! Je suis Angel Snape et toi tu es Mimi câest ça ?Elle prit un petit air enfantin et se trĂ©moussa vers lui avec un sourire espiĂšgle. Oui câest moi hihi⊠Bonjour Angel ! Alors tu viens pas te moquer⊠Alors que viens tu faire ici ! »Elle avait prononcer les derniers mots sur une voix plus stridente et forte, comme-ci elle lui en voulait de venir la dĂ©ranger en pleine nuit. Il entendit des bruits de pas derriĂšre lui et il se tourna pour voir si il sâagissait dâune des filles avec qui il avait rendez-vous ou si câĂ©tait un professeur ou quelquâun du personnel de Poudlard qui avait entendu leurs voix. Il reporta son attention sur Mimi pendant une fraction de seconde mais celle-ci câĂ©tait dĂ©jĂ envolĂ©. Il la chercha un court instant du regard puis il le reporta vers la porte ou les pas se rapprochaient. InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Sam 1 Sep - 2104 Megane ne dormait pas. Elle n'avait pas d'insomnie ou autre, non. Si elle Ă©tait encore Ă©veillĂ©e c'Ă©tait de son plein grĂ©. En fait elle s'Ă©tait plongĂ©e rĂ©cemment dans un livre sur l'Histoire de Poudlard et depuis elle ne pouvait s'empĂȘcher d'y passer les plus claires de ses soirĂ©es. Cela faisait peu de temps qu'elle Ă©tait Ă Poudlard mais elle Ă©tait dĂ©jĂ fascinĂ©e alors elle lisait. Oui en ce moment elle lisait dans l'un des fauteuils de sa Salle Commune. Seule la lumiĂšre que produisait sa baguette Ă©clairait la piĂšce, ou plutĂŽt la page du livre. Si quelqu'un arrivait elle pourrait se cacher Ă©tant donnĂ© qu'elle avait l'ouĂŻe dĂ©veloppĂ©e. La question Ă©tait maintenant de savoir pourquoi elle lisait dans la Salle Commune plutĂŽt que dans son dortoir. Tout simplement car elle ne dĂ©rangerait personne et car elle ne serait dĂ©rangĂ©e par personne. Ă cette heure-ci tout le monde dormait, c'Ă©tait une Ă©vidence. Enfin, c'est ce que Megane croyait. En effet, un bruit attira son attention, dans la direction du dortoir des garçons. La Rouge & Or n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas ici depuis longtemps mais elle avait trĂšs vite mĂ©morisĂ©e les diffĂ©rents endroits de la Tour des Gryffons, et on peut dire que ça lui servait Ă autre chose qu'Ă se repĂ©rer. La Lionne alla se cacher tout au bout du canapĂ©, sur le cĂŽtĂ© plus prĂ©cisĂ©ment, de façon Ă ce que le garçon - si s'en Ă©tait un - ne la voit pas. Et cela fonctionna. La Curtis dĂ©crocha un petit sourire, satisfaite. DĂšs que le bruit de pas fut estompĂ©, la Gryffone referma son livre et le laissa sur la table, trop curieuse de savoir qui avait quittĂ© son dortoir et plus particuliĂšrement la Salle Commune et pour aller oĂč. Elle se dirigea donc hors de la Salle Commune dans le plus grand silence qu'elle pouvait fournir puis suivit de loin la silhouette qui montrait que c'Ă©tait bel et bien un garçon qui Ă©tait sorti de la Salle. Elle traversa les nombreux couloirs menant Ă ...* Les toilettes des filles ??? *La Rouge & Or fronça les sourcils, ne comprenant pas pourquoi un garçon se rendrait dans un tel lieu, surtout en pleine nuit. Lorsqu'il entra dans la piĂšce, Megane se plaqua sur le mur extĂ©rieur, juste Ă cĂŽtĂ© de la porte, de façon Ă Ă©couter ce qu'il s'en suivrait. Une voix fĂ©minine retentit, cependant ses paroles n'avaient aucun sens aux yeux de la Lionne. Mais c'est lorsque le garçon rĂ©pondit que Megane fut surprise. En effet il venait de se prĂ©senter et ce nom n'Ă©tait pas inconnu Ă la jeune fille.* Angel Snape... Qu'est-ce qu'il peut bien faire ici Ă cette heure ? *La Gryffondor Ă©couta la suite. Cependant elle ne voyait pas la scĂšne, elle entreprit donc de s'avançait un peu de façon Ă voir le visage de celle qui dialoguait avec le Gryffon. Elle se retira bien vite lorsqu'il se retourna puis dĂšs que le silence reprit, Megane s'avança dans la piĂšce puis prit la parole, en rĂ©fĂ©rence Ă la derniĂšre phrase de la Ă©trange, j'allais te poser la mĂȘme question... Qu'est-ce que tu fais ici... En pleine nuit ? InvitĂ© Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherInvitĂ©, le Dim 2 Sep - 959 [HRPG Pour ce RP je ne veux pas qu'on tienne compte de mon nouveau statut de prĂ©fĂšte. Ce sera, on va dire mon dernier RP en Ă©tant juste Ă©lĂšve]Ce soir-lĂ , Manon Ă©tait d'une rare excitation. En effet, elle avait prĂ©vu plutĂŽt dans la journĂ©e avec Mylah et Angel, ses amis, de confectionner du polynectar. Ce n'Ă©tait pas pour un cours et encore moins utile par la suite, non les trois jeunes gens voulaient simplement s'amuser un peu avec les effets de cette potion. Prendre l'apparence de quelqu'un d'autre semblait assez attrayant. Elle s'imagina quelques instants avec le physique de la rousse ou pire du jeune homme, cela allait ĂȘtre vraiment drĂŽle. Elles avaient confiĂ© au Gryffondor le soin de prendre tous les ingrĂ©dients pour la rĂ©ussir, car c'Ă©tait le meilleur des trois en la matiĂšre. Ăa y est l'heure du rendez-vous Ă©tait arrivĂ©e. Manon se leva le plus discrĂštement de son lit en poussant avec soin son Ă©dredon de soie bleue azur. Elle se mit sur la pointe des pieds, pour ne pas rĂ©veiller un Serdaigle. Une fois le dortoir et la salle commune passĂ©s, elle arriva dans le couloir et se rendit d'un pas rapide dans les toilettes de Mimi route, elle ne croisa personne exceptĂ© les tableaux qui rĂąlaient des "Ă©lĂšves qui ne respectent plus rien". C'est donc avec un grand soulagement qu'elle arriva Ă destination sans embĂ»che. Il est vrai que les Serdys n'avaient pas la rĂ©putation d'enfreindre le couvre-feu et elle ne voulait pas faire perdre de point Ă sa maison. C'Ă©tait seulement une folie qu'elle s'accordait ici, elle ne le ferait pas tous les jours c'est certain. Alors qu'elle s'apprĂȘtait Ă ouvrir la porte, elle entendit une voix fĂ©minine qui parlait. Enfin plutĂŽt qui demandait Ă quelqu'un ce qu'il faisait ici. D'ailleurs ce quelqu'un devait ĂȘtre Angel ou Mylah sans aucun doute. La blonde ne voulait pas laisser un de ses amis se faire prendre tout seul car ils Ă©taient tous les trois fautifs. Elle rentra donc en pensant voir une professeure. Quelle fĂ»t la surprise quand elle s'aperçut que ce n'Ă©tait qu'une Ă©lĂšve de Gryffondor plus jeune qu'eux. Elle s'adressait Ă Angel qui lui Ă©tait Ă cĂŽtĂ© de Mimi Geignarde. Elle n'avait d'ailleurs jamais vu ce fantĂŽme et au vu de son caractĂšre que certains qualifiaient "d'infernal" elle s'en serait bien avoir fait un rapide constat de la situation, elle se demanda ce que faisait la jeune lionne ici. Comment avait-elle pu les trouver ? Elle les salua dans un premier temps "Hey Angel ! Bonsoir mademoiselle."Puis elle se tourna vers l'or et rouge, le regard interrogateur et ajouta "Pourquoi elle est ici ? Tu as invitĂ© une personne de plus ?" Re [Toilettes de Mimi Geignarde] DrĂŽle d'endroit pour se cacherContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
semoquer de quelqu'un v. make fun of someone ; mock someone ; laugh at someone. Commenti addizionali: Per inserire un commento devi essere connesso. Aggiungere un commento Ăš facile e prende solo qualche secondo. In alternativa registrati/o fai il login al tuo account Reverso. Dizionario Collaborativo Francese-Inglese . se moquer de. exp. to make fun of
+7davina_jacksonJennydu78Lucieeloniemanon ze fanjenymissjusoleil11 participantsAuteurMessagemissjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 1844 Jâavais besoin dâexpliquer ca, jâespere que je ne vous gonflerais pas trop. Je veux vous parlez de quelquâun qui redonne de lâespoir a ceux qui lâavaient perduJe vais en cours a longjumeau. Pas loin de mon lycĂ©e, il y a une affiche annoncant le concert de gregory lemarchal dans la ville. Et souvent, quand les lyccĂ©ens passent devant, ils sortent des phrases desagrĂ©ables le concernant, qui depasse souvent le seuil de la politesse, si vous voyez ce que je veux comprend trĂšs bien que des jeunes nâaiment pas la musique de ce jeune homme. Moi je ne suis pas vraiment fan. Mais jâai entendu des phrases blessantes concernant sa lemarchal est atteind de la mucoviscidose. Mon copain aussi. Et des centaines dâenfants, et dâadolescents atteinds de cette maladie genetique grave ont retrouvĂ© lâespoir et le sourire grace a ce jeune mucoviscidose est une maladie qui vous cause de graves problemes respiratoires et digestifs. Il est extrĂšmement rare de voir une personne atteindre lâage de 50 homme donne espoir a des centaines de personnes qui combatent chaque jour cette maladie. Il est trĂšs touchĂ© par cela et offre une grande partie de son temps et de son argent a ceux qui vivent la meme chose que lui, mais souvent en plus il serait bien de respecter ce jeune homme, mĂȘme si sa musique nâest pas au gout de de gens connaissent cette maladie, et câest bien dommage, car elle est ****************** jenyLangue pendueNombre de messages 281Age 36Localisation 95, 02Date d'inscription 02/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 1850 tu as raison de mettre se message. cette maladie peut erraiver a tt le monde. et elle est trsĂš dĂ©sagreable a on peut critiquer ses chansons sa facon de chanter ou je ne sais quoi mais pas sa maladie. certes il a fait la star ac, ... mais chacun ses gout. mais dela a critiquer sa maladie NON. Soyer plus indulgent. manon ze fanMembre trĂšs actifNombre de messages 5661Age 28Localisation 49Date d'inscription 05/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 1854 c'est vrai tu as raison et de toutes facon il en faut pour tous les gouts non?il y en a qui aime bien ilona!Quoi qu'il en soit mĂȘme si il n'Ă©tait pas malade ce n'est pas une raison pour faire des remarques blessantes sur lui! missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 1941 deux personnes qui m'ont comprises....merci Ă vous, parce que cette maladie pourri la vie, et c'est dur tous les ****************** elonieLangue pendueNombre de messages 273Localisation metzDate d'inscription 06/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 2112 c'est incroyable comment peux on se moquer dune maladie,je ne comprends pas ,pourquoi et comment peut-on etre aussi suis entierement daccord avec toi missjusoleil,ce nest pas parce quon naime ou napprecie pas quelqu'un qui faut etre intolerant!!la santĂ© est ce que nous avons de plus precieux... LucieMembre trĂšs actifNombre de messages 3062Age 31Localisation 78!Date d'inscription 29/08/2005Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 2138 Ah non mais vraiment, ya vraiment des gens dĂ©biles sur Terre. Je ne suis pas particuliĂšrement fan, mais je trouve que GrĂ©gory est quelqu'un de trĂšs courageux, qui mĂ©rite d'ĂȘtre le modĂšle pour beaucoup, hĂ©las il y en a beaucoup, de malades. Merci Ă lui, et merci Ă toi pour ce message, tu as raison de faire passer le message. Jennydu78Membre trĂšs actifNombre de messages 1515Age 38Localisation 78Date d'inscription 30/12/2005Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 2149 Comment pt on arriver au point de se moquer d une maladie??? Y a des gens c vraiment du n importe quoi, certes je ne suis pas specielemtn fan, j ecoute seschansons sans plus, mais meme si les gens ne l aiment pas, ce ets pas une raison pour se autant plus que comme tu l as precise miss, Grgory donne enromement de son temps et de son argent aux gens atteints de la mmee maladie que avant de parler, reflechissez un minimum et dites vous que ca pt arriver a n imorte qui. davina_jacksonMembre trĂšs actifNombre de messages 5339Age 34Date d'inscription 21/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 2150 DĂ©cidement des imbĂ©ciles il y en aura toujours!C'est lamentable de voir ca!J'ai connu quelqu'un il y a quelques annĂ©es qui Ă©tait atteint de la mucovicidose et qui est malheureusement dĂ©cĂ©dĂ© des suites de cette maladie a l'age de 21 je peut vous dire que vivre avec cette maladie n'est vraiment pas facile d'aprĂ©s ce que j'en ai ĂȘtre fan j'admire beaucoup GrĂ©rory lemarchal non seulement parcequ'il a une voix magnifique, mais Ă©galement pour cette rage de vaincre et cette dĂ©termination qu'il garcon a beaucoup de merite. missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 2211 ca fait plaisir de voir que quelques personnes sont du meme avis que moi, je vous mettrez le lien d'un blog, celui de lawry. celle qui ne pleurera pas, c'est qu'il y a un probleme !_________________ ****************** missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 2259 voila un skyblog qui parle de la vie d'un malade de la mucoviscidose. mon copain est atteint de cette maladie, alors a tous ceux qui jugent les gens, mettez vous quelques minutes a nos places et a celle de skyblog doit etre lu en entier, sans passer de pages svp, vous comprendrez beaucoup ****************** AariciamodĂ©rateur principalNombre de messages 3549Age 45Localisation GrenobleDate d'inscription 14/09/2005Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Lun 24 Avr 2006 - 2303 Merci pour le lien je le visiterai demain, promis! et pour ton message !Malheureusement, il y a des gens qui pensent que l'on peut rire de tout... parfois, la connerie atteint des niveaux de bassesse extrĂšme..._________________ €€ laurie33PipeletteNombre de messages 1340Age 33Localisation 77Date d'inscription 02/03/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mar 25 Avr 2006 - 106 je trouve ca quand mme irrespectueux envers ces personnes qui ont une maladie ! et moi juste pour a tu vois j'aierais bien qu'ils l'aient mais cen'est pas mĂ©chant juste une journĂ©e pour qu'ils voient ce que ca fait. peut ĂȘtre qu'ils ne verront pas la vie de la meme façon. juste pour une journĂ©e pour qu'ils comprennent ce que c'est. trinitysoleilLangue pendueNombre de messages 122Localisation AngersDate d'inscription 12/03/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mar 25 Avr 2006 - 910 merci pour ce message et ce lien, la France est de moins en moins tolĂ©rante par rapport aux personnes "diffĂ©rentes" que ce soit sur la "couleur" ou sur la "maladie".si grace a grĂ©gory, des enfants ou meme des adultes retrouvent le sourire et l'espoir moi je dis longue vie Ă lui!!!!les personnes qui se moquent non rien vĂ©cu, c'est de la mĂ©chancetĂ© gratuite, ils ne diront plus la meme chose si leur pĂšre leur mĂšre leur frĂšre ou leur copine choppent une de ses saloperies...Ă bon entendeur salut!!et battez vous jusquau bout on es tous avec vous...bisous a tous missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mar 25 Avr 2006 - 1720 il n'y a pas a me remercier. mais je crois qu'aujourd'hui les gens ont bien changĂ©s, c'est chacun pour sa gue*** et c'est esperant que beaucoup de gens visiteront ce lien, car c'est un blog trĂšs beau, mais surtout qui nous parle de la vie telle qu'elle est ****************** MiMysoleilmodĂ©rateurNombre de messages 2954Age 31Localisation Tout prĂšs d'un Marchand de RĂȘves...Date d'inscription 29/10/2005Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mar 25 Avr 2006 - 1727 GrĂ©gory... la premiĂšre fois que je l'ai entendu chanter il m'avait mis des frissons... C'est quelque jours aprĂšs que j'ai su qu'il Ă©tait atteint de cette maladie... j'ai Ă©tĂ© trĂšs Ă©tonnĂ©... Il a donnĂ© beaucoup d'espoir a beaucoup de personne comme tu le dis, Il a fait preuve de beaucoup de courage!_________________Photos de Annso42 sur ma BanniĂšre elonieLangue pendueNombre de messages 273Localisation metzDate d'inscription 06/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mar 25 Avr 2006 - 2101 missjusoleil a Ă©crit voila un skyblog qui parle de la vie d'un malade de la mucoviscidose. mon copain est atteint de cette maladie, alors a tous ceux qui jugent les gens, mettez vous quelques minutes a nos places et a celle de skyblog doit etre lu en entier, sans passer de pages svp, vous comprendrez beaucoup merci enormenent pour le suis toute retournĂ©e ,merci encore.. missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mar 25 Avr 2006 - 2110 de rien c'est normal. mais surtout merci a toi de l'avoir ****************** missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mer 26 Avr 2006 - 1957 juste pour vous dire que l'affiche du concert a Ă©tĂ© taguĂ©e. il y a beaucoup de choses ecrites dessus, dont la phrase " rentre chez toi et tes squelettes".les mucoviscidistes sont souvent trĂšs maigres, et aparament cela deplait a certains....._________________ ****************** elonieLangue pendueNombre de messages 273Localisation metzDate d'inscription 06/04/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mer 26 Avr 2006 - 2039 missjusoleil a Ă©crit juste pour vous dire que l'affiche du concert a Ă©tĂ© taguĂ©e. il y a beaucoup de choses ecrites dessus, dont la phrase " rentre chez toi et tes squelettes".les mucoviscidistes sont souvent trĂšs maigres, et aparament cela deplait a certains..... excusez du mot mais c'est degeulasse!!!c'est mechant...nous vivons vraiment dans un monde ou il ya de plus en plus intolerance... missjusoleilAccroNombre de messages 7584Age 32Localisation essonne 91Date d'inscription 31/01/2006Sujet Re l'espoir d'une communautĂ©. Mer 26 Avr 2006 - 2137 tu as tout a fait raison......des gens " bien" ont carĂ©ment Ă©tĂ©s enlevĂ© l'affiche, parce que la ca devient du n'importe quoi. je deteste ****************** Contenu sponsorisĂ© l'espoir d'une communautĂ©.
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10phrases pour encourager quelqu'un 10 phrases pour encourager et vaincre la peur de l'Ă©chec. Encourager quelqu'un que vous apprĂ©ciez pour qu'il commence Ă se sentir mieux o simplement parce-qu'il en a besoin. Ces 10 phrases sĂ©lectionnĂ©es vous aideront Ă trouver les mots justes pour redonner confiance Ă un ĂȘtre cher. Les mots d'encouragement ne sont jamais en trop, loin de
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Rienn'est si aisé que d'apercevoir un ridicule ou un vice, et de s'en moquer. François-René de Chateaubriand ; Les pensées, réflexions et maximes (1848) Un fourbe me tend un piÚge dont je sais me garantir : je ris de sa mauvaise volonté. Je n'en tirerai pas d'autre vengeance, ni de honteuses pensées, je m'en moque.
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pour PHRASE IRONIQUE SE MOQUANT DE QUELQU'UN de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de CodyCross pour "PHRASE IRONIQUE SE MOQUANT DE QUELQU'UN" CodyCross Saisons Groupe 77 Grille 2 1 0 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! CODYCROSS Saisons Solution 77 Groupe 2 Similaires
VIOLENCEVERBALE : LâIRONIE. Au hit-parade des violences verbales, personnellement, je placerais lâironie en tĂȘte. Au moins, quand vous vous insultez, quand vous vous abreuvez de tous les noms dâoiseaux que vous connaissez, câest une joute de mots Ă©quitable et sans Ă©quivoque : vous vous renvoyez la balle avec un crescendo de mĂ©chancetĂ©s sensĂ©es
Terminator, le retour [TerminĂ©]Avant d'ĂȘtre fauchĂ©, Ethan adorait se rendre Ă diverses soirĂ©es. Il adorait ce genre de trucs ! Il faisait toujours des rencontres trĂšs intĂ©ressantes. Alors, ce soir, puisqu'il n'avait clairement rien de mieux Ă faire, Ethan avait rĂ©ussi Ă prendre une douche dans une douche commune, et s'Ă©tait habillĂ© plus correctement que d'habitude. Il voulait vraiment s'incruster quelque part. Il Ă©tait douĂ© pour bluffer, mentir. C'est sans grand mal qu'il arrivera Ă cacher son statut du moment ! L'homme marche dans les rues qu'il commence Ă connaitre comme sa poche, Ă force d'y trainer. Les bars, les boites de nuit, ça ne le branche pas ! En plus c'est payant ! Il n'a vraiment pas que ça Ă faire, que d'utiliser son argent dans ce genre de au loin, il voit beaucoup de lumiĂšre, et entend du bruit. Il continue de marcher, curieusement. Apparemment, il a de la chance. C'est une sorte de rĂ©ception Ă l'extĂ©rieur ! Ethan esquisse un sourire satisfait et avance en direction de l'endroit. Il y a un peu de monde, il n'aura pas de mal Ă se fondre dans la foule ! C'est trĂšs facile. Il s'intĂšgre facilement. Alors, l'air de rien, il marche entre les personnes prĂ©sentes, prend un petit four, au passage ! Se retenant de se jeter dessus, il balaye l'endroit du regard. Non vraiment, il n'avait rien de mieux Ă faire XD! Cependant, la mise en place Ă©tait vraiment parfaite pour l'occasion, tiens xMalgrĂ© ça, il ne savait pas encore que terminator Ă©tait de la partie aDerniĂšre Ă©dition par Ethan Williams le Jeu 18 FĂ©v - 120, Ă©ditĂ© 1 fois Re Terminator, le retour [TerminĂ©] par Audrey Parker Mer 17 FĂ©v - 106La semaine est passĂ©e extrĂȘmement vite, mais elle n'a pas encore son week-end de libre ! C'est samedi, et comme bien souvent, sa mĂšre lui demande de venir pour l'aider. Elle a donc fait le traiteur une nouvelle fois, avec un menu qu'elle a proposĂ© d'elle-mĂȘme. Dans la cuisine, Audrey est vraiment douĂ©e ! Tellement qu'elle pourrait faire sa propre affaire ! Mais elle n'a pas le temps pour ça, trop surchargĂ©e avec ses trois sa petite blouse blanche, Audrey est vĂȘtue d'une robe noire avec une ceinture rouge autour de sa taille. Comme chaussures, elle a optĂ© pour des converses de la mĂȘme couleur que sa ceinture XD Ca fait un vĂ©ritable contraste, mais il fallait qu'elle soit Ă l'aise dans ses pompes ! Ses cheveux sont relevĂ©s et forment une queue assez haute, pour ne pas dĂ©ranger ses plats. Quelques mĂšches tombent sur ses yeux joliment maquillĂ©s d'un crayon se tourne vers les plateaux qu'elle a apportĂ© en se disputant avec sa mĂšre, comme souvent. En se retournant avec le plateau en main, la jeune femme arque un sourcil, surprise. Tout en posant ce qu'elle tient en main sur le comptoir, elle ne quitte pas l'homme du regard et s'exclame Qu'est-ce que tu fous lĂ , toi ?Demande Terminator, attendant une rĂ©ponse. Audrey regarde les lĂšvres de l'inconnu, pour lire dessus et comprendre sa rĂ©ponse. Sa mĂšre se mĂȘle Ă la tu pourrais parler autrement aux invitĂ©s !Audrey !! Regarde-moi quand je te parle >< Arg ! Il soupire, alors que le serveur se confond en !C'est pas de votre faute, c'est elle XDLance Ethan en arquant un sourcil. Il esquisse un sourireVous me devez 20 dollars XD Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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CodycrossPhrase ironique se moquant de quelqu'un Voici toutes les solution Phrase ironique se moquant de quelqu'un. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par Fanatee. Ătes-vous Ă la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun.
LâIRONIE chapitre 3 RAILLERIE ET ANTIPHRASE Lâironie dans la traÂdiÂtion rhĂ©torique DĂšs lâantiquitĂ©, les rhĂ©ÂtoÂriÂciens ont cherÂchĂ© Ă clasÂser lâironie parÂmi les tropes au sens Ă©troit du terme oĂč la signiÂfiÂcaÂtion dâun mot, dâune expresÂsion ou dâune phrase Ă©tait supÂpoÂsĂ©e faire locaÂleÂment lâobjet dâun transÂfert concepÂtuel. Lâironie Ă©tait ainÂsi dĂ©fiÂnie comme un trope dâopposition â dĂ©siÂgnĂ© par la suite comme une antiÂphrase â consisÂtant Ă expriÂmer quelque chose en signiÂfiant le contraire, par pur effet de style. En attriÂbuant dans ce cas au verbe dire le sens de signiÂfier pluÂtĂŽt que dâaffirÂmer, CicĂ©Âron souÂtient notamÂment que lâironie dit le contraire de ce que lâon veut faire entendre et est trĂšs agrĂ©able dans un disÂcours lorsquâelle est traiÂtĂ©e sur un ton, non pas oraÂtoire, mais famiÂlier » 1971, 84. Le plus ancien tĂ©moiÂgnage dâune telle concepÂtion de lâironie se trouve dans la RhĂ©ÂtoÂrique Ă HerenÂnius qui stiÂpule quâun trope traÂduit en latin par le terme de perÂmuÂtaÂtio » peut insÂtauÂrer une relaÂtion dâopposition contraÂrium » entre une signiÂfiÂcaÂtion priÂmaire assiÂmiÂlĂ©e Ă une forme linÂguisÂtique verÂbis » et une signiÂfiÂcaÂtion dĂ©riÂvĂ©e, ou figuÂrĂ©e, sous-jacente Ă ce que le locuÂteur exprime senÂtenÂtia ». Les exemples proÂpoÂsĂ©s sont bel et bien des exemples dâironie[1]Le texte prĂ©Âcise encore, dans un pasÂsage non traÂduit par Le Guern, que la perÂmuÂtaÂtion serait fonÂdĂ©e sur une oppoÂsiÂtion, par exemple, si lâon traiÂtait iroÂniÂqueÂment dâĂ©ÂcoÂnome et de parÂciÂmoÂnieux un proÂdigue et un dĂ©penÂsier » RhĂ©ÂtoÂrique Ă HerenÂnius, 1989, 189. Jâai prĂ©ÂfĂ©ÂrĂ©, lorsque cela Ă©tait posÂsible, citer les excelÂlentes traÂducÂtions proÂpoÂsĂ©es par Le Guern dans son article traiÂtant de lâhisÂtoire de la notion dâiÂroÂnie dans la traÂdiÂtion rhĂ©ÂtoÂrique. La perÂmuÂtaÂtion consiste Ă donÂner au fond un sens difÂfĂ©Ârent de la forme [PerÂmuÂtaÂtio est oraÂtio aliud verÂbis aliud senÂtenÂtia demonsÂtrans]. Elle revĂȘt trois aspects simiÂliÂtude, arguÂment, oppoÂsiÂtion [âŠ]. Pour lâopposition, par exemple, nous appelÂleÂrions ĂnĂ©e un homme impie qui aura frapÂpĂ© son pĂšre, HipÂpoÂlyte un dĂ©bauÂchĂ© et un adulÂtĂšre. Le Guern, 1976, 50 Cette concepÂtion de lâironie comme figure de mot implique que le mot ĂnĂ©e signiÂfie dans ce cas, par un transÂfert de signiÂfiÂcaÂtion, homme impie qui a frapÂpĂ© son pĂšre, que le mot HipÂpoÂlyte signiÂfie dĂ©bauÂchĂ© et adulÂtĂšre ou encore, pour prendre un exemple qui ne soit pas assorÂti dâune antoÂnoÂmase, que les mots Ă©coÂnome et parÂciÂmoÂnieux signiÂfient proÂdigue ou dĂ©penÂsier dans lâexemple citĂ© en note. Une telle concepÂtion de lâironie sera sans cesse reforÂmuÂlĂ©e dĂšs CicĂ©Âron â pour qui les mots sont inverÂsĂ©s quand CrasÂsus, plaiÂdant pour AcuÂlĂ©o [âŠ] contre GraÂtiÂdiaÂnus dont lâavocat Aelius Lamia Ă©tait, vous le savez, extrĂȘÂmeÂment laid, dit EcouÂtons ce beau garÂçon » Le Guern, 1976, 51 â jusquâĂ DumarÂsais qui prĂ©Âcise bien que les mots dont on se sert dans lâironie ne sont pas pris dans le sens propre et litÂtĂ©Âral » 1988, 156. Dans les deux cas lâironie est conçue comme une figure de mot consisÂtant Ă inverÂser une signiÂfiÂcaÂtion litÂtĂ©Ârale, assoÂciĂ©e Ă la forme linÂguisÂtique dâun Ă©nonÂcĂ©, de maniĂšre Ă insÂtauÂrer poncÂtuelÂleÂment une signiÂfiÂcaÂtion figuÂrĂ©e qui soit adapÂtĂ©e Ă ce qui est exprimĂ©. AprĂšs avoir posÂtuÂlĂ© que lâironie peut ĂȘtre un trope au sens Ă©troit, en contreÂpoint Ă sa preÂmiĂšre dĂ©fiÂniÂtion illusÂtrĂ©e par lâexemple de CrasÂsus, CicĂ©Âron aborde lâironie sous un autre angle en lâassimilant non plus Ă une figure de mot mais Ă une figure de pensĂ©e Câest une chose spiÂriÂtuelle encore que la disÂsiÂmuÂlaÂtion, quand on dit autre chose que ce que lâon pense, non pas selon cette catĂ©ÂgoÂrie dont jâai dĂ©jĂ parÂlĂ©, oĂč lâon dit le contraire, comme CrasÂsus Ă Lamia, mais en sâappliquant, par une railleÂrie contiÂnue, disÂsiÂmuÂlĂ©e sous un ton sĂ©rieux, Ă parÂler autreÂment que lâon ne pense [âŠ]. FanÂnius, dans ses Annales, dit que notre ĂmiÂlien, le second AfriÂcain, excelÂlait dans ce genre et lâappelle dâun mot grec eĂŻron [lâironique], mais, suiÂvant ceux qui connaissent lâantiquitĂ© mieux que moi, je pense que câest Socrate qui lâa emporÂtĂ© sur tous dans cette iroÂnie et cette disÂsiÂmuÂlaÂtion par lâagrĂ©ment et par la culture. Le Guern, 1976, 51 Pour CicĂ©Âron lâironie semble donc tenir, soit Ă une antiÂphrase poncÂtuelle oĂč simÂpleÂment les mots sont inverÂsĂ©s » dans lâexpression de la penÂsĂ©e, soit Ă une railleÂrie contiÂnue, disÂsiÂmuÂlĂ©e sous un ton sĂ©rieux », consisÂtant Ă expriÂmer autre chose que ce que lâon pense », Ă parÂler autreÂment que lâon ne pense ». Les mots conservent alors leur signiÂfiÂcaÂtion pour perÂmettre au locuÂteur de railler, de se moquer de quelquâun, appaÂremÂment en feiÂgnant de croire, de prendre Ă son compte une penÂsĂ©e que lâon rejette. Vers la fin du preÂmier siĂšcle, QuinÂtiÂlien proÂpose une disÂtincÂtion anaÂlogue entre lâironie consiÂdĂ©ÂrĂ©e comme trope » et lâironie consiÂdĂ©ÂrĂ©e comme figure » Lâironie donc, consiÂdĂ©ÂrĂ©e comme figure, ne difÂfĂšre Ă peu prĂšs en rien, quant au genre, de lâironie comme trope ; car, en lâune et en lâautre, il faut touÂjours comÂprendre le contraire de ce quâon y dit. Mais si on les exaÂmine de prĂšs, on nâaura pas de peine Ă voir que ce sont des espĂšces difÂfĂ©Ârentes. PreÂmiĂšÂreÂment, le trope se laisse pĂ©nĂ©Âtrer plus aisĂ©Âment, et, bien quâil prĂ©Âsente un sens et en renÂferme un autre, ce derÂnier sens est moins dĂ©guiÂsĂ© car tout le contexte est Ă peu prĂšs au sens propre [âŠ]. DâoĂč il suit en second lieu que le trope est ausÂsi plus court. Dans la figure, au contraire, on feint tout Ă fait de penÂser ce quâon ne pense pas, mais dâune maniĂšre qui est pluÂtĂŽt appaÂrente que vĂ©riÂtaÂbleÂment accuÂsĂ©e lĂ ce sont des mots pour dâautres mots, ici câest un sens quâon cache sous des mots qui en expriment matĂ©ÂrielÂleÂment un autre [âŠ]. La vie entiĂšre dâun homme peut nâĂȘtre quâune iroÂnie contiÂnuelle, comme parut lâĂȘtre celle de Socrate. AusÂsi lâappelait-on eĂŻron, parce quâil contreÂfaiÂsait lâignorant, et faiÂsait semÂblant dâadmirer les autres comme des sages. En un mot, de mĂȘme quâune mĂ©taÂphore proÂlonÂgĂ©e devient une allĂ©ÂgoÂrie, de mĂȘme une sucÂcesÂsion dâironies qui, prises isoÂlĂ©Âment, forÂmeÂraient autant de tropes, constiÂtue la figure de lâironie. Le Guern, 1976, 52â53 AinÂsi, selon QuinÂtiÂlien, en tant que trope lâironie se rĂ©duit Ă une simple antiÂphrase, mais en tant que figure elle comÂprend une autre comÂpoÂsante, par laquelle le locuÂteur feint tout Ă fait de penÂser ce quâil ne pense pas ». En tant que figure lâironie consiste Ă feindre dâadhĂ©rer Ă ce qui est expriÂmĂ© dans le but dâune part de se moquer â Socrate contreÂfait lâignorance et lâadmiration naĂŻve afin de railler celui quâil prend pour cible â et dâautre part de comÂmuÂniÂquer sa propre penÂsĂ©e par antiÂphrase. Lâironie ne sauÂrait alors ĂȘtre assiÂmiÂlĂ©e Ă une simple inverÂsion de la signiÂfiÂcaÂtion des mots et des phrases puisquâelle consiste avant tout Ă se moquer de quelquâun en feiÂgnant dâadhĂ©rer et de cherÂcher Ă faire croire Ă ce qui est prĂ©ÂciÂsĂ©Âment expriÂmĂ© litÂtĂ©ÂraÂleÂment. Non seuleÂment lâironie ne se rĂ©duit pas Ă une simple antiÂphrase, mais cette derÂniĂšre ne consiste pas dans ce cas Ă inverÂser la signiÂfiÂcaÂtion dâun mot ou dâune phrase de la langue. Lâantiphrase iroÂnique porte alors sur ce qui est expriÂmĂ© litÂtĂ©ÂraÂleÂment dans un Ă©nonÂcĂ© Ă lâaide de mots et de phrases dont la signiÂfiÂcaÂtion demeure tout Ă fait inchangĂ©e. Cette disÂtincÂtion entre lâironie consiÂdĂ©ÂrĂ©e comme trope et lâironie consiÂdĂ©ÂrĂ©e comme figure est Ă lâorigine dâune quesÂtion qui prend sa source Ă la fois chez CicĂ©Âron et chez QuinÂtiÂlien et que lâon retrouve sous diverses formes tout au long de la traÂdiÂtion rhĂ©ÂtoÂrique. Elle peut somÂmaiÂreÂment ĂȘtre forÂmuÂlĂ©e comme suit faut-il rapÂproÂcher lâironie de la mĂ©taÂphore en la consiÂdĂ©Ârant comme un trope au sens Ă©troit, comme une figure de mot » qui ne concerne prĂ©ÂciÂsĂ©Âment que la signiÂfiÂcaÂtion des mots sans touÂcher Ă la penÂsĂ©e du locuÂteur, ou faut-il consiÂdĂ©Ârer lâironie comme une figure de penÂsĂ©e », anaÂlogue Ă lâallĂ©gorie, oĂč le sens des mots reste inchanÂgĂ© mais oĂč la penÂsĂ©e expriÂmĂ©e litÂtĂ©ÂraÂleÂment nâest pas rĂ©elÂleÂment comÂmuÂniÂquĂ©e par le locuÂteur ? Comme le relĂšve trĂšs jusÂteÂment FinÂlay, la traÂdiÂtion rhĂ©ÂtoÂrique nous lĂšgue ainÂsi deux concepÂtions difÂfĂ©Ârentes de lâironie, quâil est nĂ©cesÂsaire de contiÂnuer Ă dissocier We theÂreÂfore have divergent tenÂdenÂcies within the rheÂtoÂriÂcal traÂdiÂtion which must be sorÂted out before we can derive any rheÂtoÂriÂcal or new- rheÂtoÂriÂcal theoÂries and defiÂniÂtions of iroÂny. For the forÂmer, the use of rheÂtoÂriÂcal iroÂny would be conceiÂved as a gramÂmar of laws, figures or tropes making up a fixed synÂtacÂtic and semanÂtic strucÂtures [âŠ]. While for the latÂter an undersÂtanÂding of the pragÂmaÂtic aspects of iroÂny would lead to a concepÂtion of iroÂny as a disÂcurÂsive act, invoÂking contexÂtual posiÂtioÂning and comÂmuÂniÂcaÂtioÂnal comÂpeÂtenÂcies. 1988, 12 A lâaube du XVIIĂšme siĂšcle, le HolÂlanÂdais VosÂsius assoÂcie ces deux concepÂtions antaÂgoÂnistes de lâironie aux approches oppoÂsĂ©es de ceux quâil appelle les rhĂ©ÂtoÂriÂciens » et les Ă©crivains » Les rhĂ©ÂtoÂriÂciens semblent utiÂliÂser ce terme autreÂment que les Ă©criÂvains. Pour ces derÂniers en effet, lâironie câest la disÂsiÂmuÂlaÂtion [disÂsiÂmuÂlaÂtio], lâart de dĂ©roÂber sa penÂsĂ©e [disÂsiÂmuÂlanÂtia]. CicĂ©Âron, en effet, traÂduit le terme grec dâeĂŻroÂneĂŻa par ces deux termes, il nous atteste Ă©gaÂleÂment que si Socrate a Ă©tĂ© surÂnomÂmĂ© eĂŻron, câest parce que, dans lâart de dĂ©roÂber sa penÂsĂ©e, il surÂpasÂsait de loin tous ses contemÂpoÂrains en esprit et en culture. [âŠ] Mais pour les rhĂ©ÂtoÂriÂciens, il y a iroÂnie quand, au traÂvers de ce que nous disons, nous signiÂfions le contraire. 1978, 498 Selon VosÂsius, les rhĂ©ÂtoÂriÂciens » dĂ©fendent une concepÂtion de lâironie comme figure de mot alors que les Ă©criÂvains » la conçoivent comme lâart de dĂ©roÂber sa penÂsĂ©e derÂriĂšre ce quâon exprime », câest-Ă - dire, selon CicĂ©Âron notamÂment, Ă parÂler autreÂment que lâon ne pense », Ă expriÂmer une penÂsĂ©e que lâon ne prend pas rĂ©elÂleÂment Ă son compte[2]Ce sera Ă©gaÂleÂment, beauÂcoup plus proche de nous, lâapÂproche des romanÂtiques alleÂmands, dont FrieÂdrich SchleÂgel, qui conçoivent lâiÂroÂnie comme le prinÂcipe mĂȘme de la litÂtĂ©ÂraÂture, puisÂquâelle perÂmet Ă lâauÂteur de se dĂ©taÂcher, de sâĂ©ÂleÂver au-desÂsus de ce qui, dans lâoeuvre, est forÂcĂ©Âment condiÂtionÂnĂ© par la nĂ©cesÂsiÂtĂ© de laisÂser libre cours Ă lâenÂthouÂsiasme et Ă lâiÂmaÂgiÂnaÂtion du narÂraÂteur ou du hĂ©ros.. La notion de trope au sens Ă©troit, appliÂquĂ©e Ă un transÂfert concepÂtuel, ayant Ă©tĂ© exclue dâentrĂ©e de jeu de nos consiÂdĂ©ÂraÂtions, câest Ă une concepÂtion de lâironie comme figure de penÂsĂ©e â telle que la conçoivent, selon VosÂsius les Ă©criÂvains » de la traÂdiÂtion rhĂ©ÂtoÂrique â que nous allons nous rĂ©fĂ©Ârer dans cette Ă©tude. Câest Ă une figure de penÂsĂ©e et non de mot que nous allons assiÂmiÂler lâironie. La concepÂtion de ceux que VosÂsius appelle rhĂ©ÂtoÂriÂciens » ne perÂmet en effet de dĂ©crire, ni le proÂcĂ©ÂdĂ© de lâironie dans toute sa comÂplexiÂtĂ© qui consiste notamÂment Ă mettre en jeu une forme de railleÂrie, ni le proÂcĂ©ÂdĂ© de lâantiphrase en parÂtiÂcuÂlier[3]Une telle concepÂtion ne convient quâĂ cerÂtaines iroÂnies comÂplĂšÂteÂment lexiÂcaÂliÂsĂ©es comme câest du joli, excuÂsez-moi du peu, mais en aucun cas Ă lâiÂroÂnie vive ou vivante au sens de Ricoeur, 1975, oĂč les mots conservent leur signiÂfiÂcaÂtion.. AinÂsi chez DumarÂsais, par exemple, lâironie ne consiste nulÂleÂment Ă expriÂmer une penÂsĂ©e que lâon juge erroÂnĂ©e, de maniĂšre Ă la fois Ă se moquer de quelquâun et Ă comÂmuÂniÂquer indiÂrecÂteÂment une penÂsĂ©e contraire. Elle consiste Ă expriÂmer la penÂsĂ©e du locuÂteur en inverÂsant simÂpleÂment la signiÂfiÂcaÂtion de cerÂtains mots employĂ©s iroÂniÂqueÂment. Non seuleÂment lâironie est ainÂsi pureÂment et simÂpleÂment antiÂphrase mais cette antiÂphrase nâa pas pour objet une penÂsĂ©e, de forme proÂpoÂsiÂtionÂnelle, corÂresÂponÂdant Ă ce qui est expriÂmĂ© dans lâĂ©noncĂ©. Lâantiphrase porte alors sur une forme concepÂtuelle assoÂciĂ©e Ă un mot ou Ă un groupe de mots Ă lâintĂ©rieur dâune phrase Lâironie est une figure par laquelle on veut faire entendre le contraire de ce que lâon dit ainÂsi les mots dont on se sert dans lâironie, ne sont pas pris dans le sens propre et litÂtĂ©Âral. BoiÂleau, qui nâa pas renÂdu Ă QuiÂnault toute la jusÂtice que le public lui a renÂdue depuis, a dit par iroÂnie Je le dĂ©clare donc, QuiÂnault est un VirÂgile. Il vouÂlait dire un mauÂvais poĂšte. 1988, 156 Il est intĂ©ÂresÂsant dâobserver que FonÂtaÂnier prend la peine, avant de souÂteÂnir que lâironie est bel et bien notamÂment une forme de railleÂrie, de reproÂcher Ă DumarÂsais sa dĂ©fiÂniÂtion de lâironie comme antiÂphrase â dĂ©fiÂniÂtion non seuleÂment incomÂplĂšte mais surÂtout qui exclut, dans sa forÂmuÂlaÂtion mĂȘme, toute espĂšce dâamendement Cette dĂ©fiÂniÂtion ne prĂ©Âsente-t- elle pas une sorte de renÂverÂseÂment dâordre dans les idĂ©es ? Ne semble-t- elle pas supÂpoÂser que le contraire de ce quâon dit doit ĂȘtre entenÂdu avant quâon le dise, ou, ce qui revient au mĂȘme, quâon veut faire entendre presque avant que de dire ? Par consĂ©Âquent, ne semble-t-elle pas supÂpoÂser que lâeffet de la figure prĂ©ÂcĂšde la figure ? Il eĂ»t Ă©tĂ©, si je ne me trompe, plus natuÂrel et plus exact de dire que lâironie est une figure par laquelle on dit le contraire de ce quâon veut faire entendre. Câest la dĂ©fiÂniÂtion que donne lâAcadĂ©mie, et on la retrouve dans presque toutes les rhĂ©ÂtoÂriques. CepenÂdant je crois que cette dĂ©fiÂniÂtion est encore incomÂplĂšte, [âŠ] il me semble que ce qui fait le caracÂtĂšre parÂtiÂcuÂlier de lâironie, câest touÂjours une sorte de railleÂrie ou plaiÂsante ou amĂšre, et quâainsi on donÂneÂrait une idĂ©e un peu plus exacte de cette figure, si on disait quâelle consiste Ă dire, par maniĂšre de railleÂrie, tout le contraire de ce quâon pense ou de ce quâon veut faire penÂser aux autres. 1967, 199â200 Pour expliÂquer en quoi consiste la railleÂrie iroÂnique, FonÂtaÂnier juge nĂ©cesÂsaire de prĂ©ÂciÂser quâavant de faire entendre le contraire de ce quâil dit, lâironiste comÂmence par expriÂmer une penÂsĂ©e quâil ne prend pas rĂ©elÂleÂment Ă son compte. Câest Ă parÂtir de lĂ quâil est Ă la fois en mesure de railler et de comÂmuÂniÂquer sa propre penÂsĂ©e par antiÂphrase[4]Je rapÂpelle que FonÂtaÂnier conçoit lâiÂroÂnie, de mĂȘme que par exemple lâalÂlĂ©ÂgoÂrie et lâhyÂperÂbole, comme un trope improÂpreÂment dit » qui ne tient pas aux mots mais au disÂcours », et sâopÂpose ainÂsi aux tropes proÂpreÂment dits » que sont Ă ses yeux la mĂ©taÂphore et la mĂ©toÂnyÂmie.. Dans un article de LâEncyclopĂ©die, BeauÂzĂ©e sâopposait dĂ©jĂ ferÂmeÂment Ă DumarÂsais, Ă proÂpos du mĂȘme exemple de BoiÂleau, en insisÂtant sur le fait que lâironie nâest pas une figure de mot mais une figure de penÂsĂ©e. Ses comÂmenÂtaires Ă ce sujet annoncent la posiÂtion qui sera dĂ©fenÂdue dans cette Ă©tude QuinÂtiÂlien disÂtingue deux espĂšces dâironie, lâune trope, lâautre figure de penÂsĂ©e. Câest un trope, selon lui, quand lâopposition de ce que lâon dit Ă ce que lâon prĂ©Âtend dire ne consiste que dans un mot ou deux. [âŠ] Câest une figure de penÂsĂ©e lorsque, dâun bout Ă lâautre, le disÂcours Ă©nonce prĂ©ÂciÂsĂ©Âment le contraire de ce que lâon pense. [âŠ] La difÂfĂ©Ârence que QuinÂtiÂlien met entre ces deux espĂšces est la mĂȘme que celle de lâallĂ©gorie et de la mĂ©taÂphore. Nây aât-il pas ici quelque inconÂsĂ©Âquence ? [âŠ] M. du MarÂsais, plus consĂ©Âquent, nâa regarÂdĂ© lâironie que comme un trope, par la raiÂson que les mots dont on se sert dans cette figure ne sont pas pris, dit-il, dans le sens propre et litÂtĂ©Âral mais ce gramÂmaiÂrien ne sâest-il pas mĂ©pris lui-mĂȘme ? Les tropes, dit-il, sont des figures par lesÂquelles on fait prendre Ă un mot une signiÂfiÂcaÂtion qui nâest pas prĂ©ÂciÂsĂ©Âment la signiÂfiÂcaÂtion propre de ce mot ». Or il me semble que dans lâironie, il est essenÂtiel que chaque mot soit pris dans sa signiÂfiÂcaÂtion propre, autreÂment lâironie ne serait plus une iroÂnie, une moqueÂrie, une plaiÂsanÂteÂrie, illuÂsio », comme le dit QuinÂtiÂlien. Par exemple, lorsque BoiÂleau dit QuiÂnault est un VirÂgile, il faut, 1° quâil ait pris le nom indiÂviÂduel de VirÂgile dans un sens appelÂlaÂtif pour signiÂfier, par antoÂnoÂmase, excellent poĂšte ; 2° quâil ait conserÂvĂ© Ă ce mot ce sens appelÂlaÂtif que lâon peut regarÂder en quelque sorte comme propre relaÂtiÂveÂment Ă lâironie. [âŠ] AinÂsi le nom de VirÂgile est pris ici dans la signiÂfiÂcaÂtion que lâantonomase lui a assiÂgnĂ©e, et lâironie nây fait aucun chanÂgeÂment. Câest la proÂpoÂsiÂtion entiĂšre, câest la penÂsĂ©e qui ne doit pas ĂȘtre prise pour ce quâelle paraĂźt ĂȘtre ; en un mot, câest dans la penÂsĂ©e quâest la figure. 1967, 906â907 AprĂšs avoir reproÂchĂ© Ă QuinÂtiÂlien quelque inconÂsĂ©Âquence » Ă vouÂloir traiÂter lâironie Ă la fois comme un trope au sens Ă©troit et comme une figure de penÂsĂ©e, BeauÂzĂ©e sâen prend alors Ă DumarÂsais qui, pour ĂȘtre plus consĂ©Âquent de nâavoir regarÂdĂ© lâironie que comme un trope » au sens Ă©troit, comme une figure de mot, ne se mĂ©prend pas moins graÂveÂment puisque lâironie doit au contraire ĂȘtre assiÂmiÂlĂ©e Ă une figure de penÂsĂ©e. Selon BeauÂzĂ©e, si lâironie est moqueÂrie », plaiÂsanÂteÂrie », câest en verÂtu de la prise en charge simuÂlĂ©e â et cepenÂdant bel et bien revenÂdiÂquĂ©e â de ce qui corÂresÂpond Ă une penÂsĂ©e expriÂmĂ©e litÂtĂ©ÂraÂleÂment et câest par consĂ©Âquent sur cette penÂsĂ©e que va porÂter lâantiphrase. Dans cette persÂpecÂtive, dâune part lâironie ne se rĂ©duit pas Ă une simple antiÂphrase puisquâelle consiste Ă©gaÂleÂment Ă railler celui quâelle prend pour cible, et dâautre part cette antiÂphrase nâest pas conçue comme un proÂcĂ©ÂdĂ© touÂchant Ă la signiÂfiÂcaÂtion dâun mot ou dâune phrase. BeauÂzĂ©e souÂligne trĂšs expliÂciÂteÂment que lâantiphrase iroÂnique ne consiste aucuÂneÂment Ă inverÂser le sens des mots. Lâironie ne proÂcĂšde en rien, selon BeauÂzĂ©e, dâune figure de mot consisÂtant Ă employer un mot ou un groupe de mots pour un autre, avec une autre signiÂfiÂcaÂtion, mais dâune figure de penÂsĂ©e consisÂtant Ă prĂ©Âtendre dire une chose et Ă vouÂloir en dire une autre.
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Harry Potter 2005 ~€~ Londres ~€~ Rues de LondresPage 1 sur 1Une nuit trop Ă©clairĂ©e [En cours]Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Une nuit trop Ă©clairĂ©e [En cours]Elhiya Ellis, le Mer 8 Juil - 1959 Saison 31 DĂ©but dâĂ©tĂ©En venant de lĂ â«LAs partagĂ©sUn pas dans lâherbe, un second sur un petit caillou, ta prise se lĂąchait, tes doigts le libĂ©raient et tu prenais une inspiration profonde les bras Ă©cartĂ©s, le nez levĂ© au ciel. Une seconde, deux secondes, trois secondes mirettes fermĂ©es, tu te retournais brusquement vers le brun qui nâĂ©tait pas Lui. Et maintenant quoi, hein ? » bah oui, maintenant quoi ? Tu ne savais pas, tu faisais face Ă un tourbillon dâĂ©motions qui ne voulaient pas se calmer. Tu lui en voulais tellement de ne pas ĂȘtre lui, tu lui en voulais de tâavoir suivi et de prouver sa bonne volontĂ© a demi ensommeillĂ© que le ton avait Ă©tĂ© rĂ©probateur, tu lui en voulais pour des annĂ©es auparavant, tu lui en voulais pour avoir mis tant de temps Ă rĂ©pliquer quand tu portais le masque. Et pourtant tu nâarrivais pas Ă le lui dire, serrant le bois-ami entre tes doigts avant de le sortir de ta poche. Et maintenant ?... IInterstellas » Certainement pas ce Ă quoi il sâ astres au-dessus de ton nez se liaient les uns aux autres, illuminant le ciel dâune lueur dĂ©sormais amĂšre. Par le passĂ© tu aimais regarder les Ă©toiles danser, tu souriais en les regardant, tu les chĂ©rissais tendrement, mais aujourdâhui, sans surprise, ce nâĂ©tait que de simples lucioles accrochĂ©es sur un manteau dâOmbre. Lâironie voulait que lâAmoureux soit prof dâAstronomie et que vous nâayez jamais pris le temps de regarder les beautĂ©s nocturnes ensembles quand elles signifient encore quelque chose pour toi. Et maintenant, dis-moi, tu comptes vraiment ĂȘtre lĂ alors que plus personne ne lâest plus ? » Opales froides vers les lueurs Ă la morsure polaire pour lâĂąme, dĂ©sir de les faire toutes sâĂ©teindre comme elles sâĂ©taient fanĂ©es en toi. On peut les faire chuter de leur piĂ©destal tu crois ? » et les faire sâĂ©craser au sol en million dâexplosions pour un maximum de dommage collatĂ©ral ? Et si⊠Ango Nubes on les effaçait tout simplement ? »Bien sĂ»r, former un nuage noir Ă©trangleur dans les airs pour essayer dâatteindre des Ă©toiles nâavait pas pour aspiration Ă etre un sortilĂšge efficace. Mais la tĂȘte inclinĂ©e sur le cĂŽtĂ©, tu dirigeais ton amas asphyxieur toujours plus haut, insensible Ă la petite chauvesouris qui avait dĂ» passer dedans et qui tombait au sol. Une autre bestiole alla le rejoindre, rebondissant non loin dâEthan sans que tu ne tâen Ă©meuve bien plus. Ethan TurnerSerdaigle Re Une nuit trop Ă©clairĂ©e [En cours]Ethan Turner, le Sam 11 Juil - 1219 For all of the times...Pv ElhiyaElle a mon â« âȘSans un mot, elle t'avait attrapĂ© par le bras, et t'avait sorti de ta chambre, de ton bureau, du chĂąteau... La descente des escaliers t'avait fait reprendre un peu plus conscience, quittant finalement le monde des rĂȘves, ou Ă©tait-ce que ton corps avait abandonnĂ© l'idĂ©e de retrouver ton lit, celui-ci Ă©tant maintenant trop loin pour y arriver sans effort? Vous parcouriez le parc de Poudlard dans un silence relatif, l'infirmiĂšre semblant de plus en plus pressĂ©e de quitter les lieux. Tu n'osais pas lui poser de questions. Tu avais dit que tu serais lĂ pour elle, et elle avait besoin de toi cette nuit, poser des questions auraient probablement signifiĂ© d'Ă©mettre des doutes et une rĂ©servation sur ta volontĂ© d'ĂȘtre prĂ©sent, alors tu prĂ©fĂ©rais t'abstenir. Tu te doutais par contre qu'elle devait vouloir transplanner, tu te demandais seulement oĂč vous alliez atterrir. Plus la grille se faisait proche, et plus tu redoutais qu'elle t'emmĂšne dans un bar oĂč vous alliez passĂ© le reste de la soirĂ©e Ă boire jusqu'Ă l'oubli. Tu avais dĂ©jĂ mal au crĂąne d'avoir eu ta nuit ainsi coupĂ© en deux, tu te voyais mal ingurgitĂ© plus que quelques verres sans t'endormir sur le comptoir du bar. Le moment tant attendu arriva, et tu te prĂ©paras mentalement au transplannage d'escorte, qui arriva, rĂ©glĂ© telle une montre, au premier pas fait Ă l'extĂ©rieur de l'enceinte du chĂąteau. Le paysage avait changĂ©, mais vous sembliez toujours ĂȘtre dans la nature, ce qui te surpris pendant une fraction de seconde. C'Ă©tait... un parc? Tu n'Ă©tais pas certain de la ville exacte, mais ce n'Ă©tait probablement pas important. La blondinette avait dĂ©sormais les yeux fermĂ©s, et semblait respirer l'air frais de la nuit, profitant d'un calme qui Ă©tait ironiquement plus bruyant que celui de l'Ă©cole. Peut-ĂȘtre dĂ©sirait-elle seulement de la distance? S'enfuir l'histoire d'une nuit, fuyant Ă©galement la solitude par la mĂȘme occasion? PrĂ©fĂ©rait-elle ĂȘtre accompagnĂ©e par une seule personne qui se souciait d'elle, plutĂŽt que de dizaines sur qui elle devait veiller continuellement? Ăa paraissait maintenant assez logique...La serpentine jeune femme crĂ©a, l'histoire d'une longue seconde, un certain doute dans ton esprit, lorsque celle-ci sortit sa baguette de sa poche. Le sortilĂšge ne tarda pas Ă ĂȘtre incantĂ©, et tu te laissas ĂȘtre Ă©merveillĂ©. Il y a quelque chose de magique qui se produit lorsqu'on s'attend Ă quelque chose de nĂ©gatif, et que la vie nous offre un simple moment de beautĂ©. Les Ă©toiles s'illuminaient, se liaient entre elles, et les noms des constellations s'affichaient au-dessus de celles-ci. C'Ă©tait un spectacle simplement magnifique, tu comprenais parfaitement ce qui pouvait attirer les Ă©tudiants au cours d'astronomie. AprĂšs quelques secondes Ă regarder les astres ainsi rĂ©vĂ©lĂ©s, ton amie s'Ă©tait finalement mise Ă table, te demandais si tu Ă©tais sincĂšre dans ton dĂ©sire d'ĂȘtre lĂ pour elle, alors que plus personne ne l'Ă©tait. Cette phrase te fit de nouveau mal; chaque rappel que la demoiselle Ă©tait seule serrait ton coeur un peu plus. Comment Elhiya, celle qui semblait amie avec la moitiĂ© de Poudlard pouvait ĂȘtre devenue aussi seule au monde? Ă quel point la vie en dehors du chĂąteau avait Ă©tĂ© injuste pour la jeune femme?-Je suis lĂ , maintenant, et je compte bien y ĂȘtre demain et le jour suivant Ă©galement... on a beaucoup de temps Ă rattraper... et je sais que c'est ma elle s'Ă©tait focussĂ© sur les Ă©toiles, telle une enfant dĂ©sirant jouer avec les cieux, ou comme une infirmiĂšre qui souhaite s'Ă©vader de sa vie, cesser de penser Ă ses problĂšmes, pour se tourner vers la féérie, vers l'imaginaire, et la libĂ©ration qu'il savait apporter. Tu jouais le jeu, toi aussi, ayant bien besoin de dĂ©crocher Ă©galement. Tu gardais tout de mĂȘme ton esprit vif, ne t'y abandonnant pas complĂštement. Ce moment Ă©tait pour elle, et tu ne voulais pas manquer un signal de sa part parce que tu Ă©tais trop occupĂ© Ă te perdre dans le noir sĂ©parant les blonde demoiselle te demanda si on pouvait faire chuter les Ă©toiles, selon toi. Alors que des souvenirs d'un certain bal renaissaient en toi, et que tu t'apprĂȘtais Ă rĂ©pondre que vous aviez dĂ©jĂ créé des galaxies entiĂšres tous les deux, et que de faire chuter une simple Ă©toile devrait ĂȘtre un jeu d'enfant pour elle, la mĂ©dicomage invoqua un sortilĂšge qui te fit frissonner quelques instants, tentant d'effacer les Ă©toiles? C'Ă©tait le sortilĂšge du nuage Ă©trangleur, qu'elle avait dĂ©jĂ utilisĂ© sur ta propre personne, lors de votre prĂ©cĂ©dente rencontre, au tournant d'un couloir. Le choix de sortilĂšge t'en disait long sur l'Ă©tat d'esprit de la femme Ă tes cĂŽtĂ©s. Il existait en effect un sortilĂšge bien plus facile d'utilisation, qui aurait un effet bien plus consĂ©quent pour effacer les Ă©toiles, mais le nuage tueur t'indiquait qu'elle avait beaucoup de rage Ă faire sortir d'elle, que vous n'Ă©tiez pas lĂ simplement pour vous Ă©loigner de la vie, mais pour lui rendre des comptes Ă©galement. Le fait qu'elle ne bronche aucunement alors que son nuage commençait Ă lentement dĂ©cimer les animaux passant par lĂ confirmait sans l'ombre d'un doute l'analyse que tu venais de faire de la situation. Tu avais posĂ© ton regard sur elle, un regard quelque peu triste, quelque peu penseur. Tu te demandais si elle avait prĂ©vu quelque chose pour cette nuit, ou si vous avanciez Ă l'aveuglette sur le chemin de la sais, il y a de meilleurs moyens de se dĂ©fouler, si tu veux. Avais-tu agrĂ©mentĂ© d'un sourire simple, tendre, toujours quelque peu triste. Elhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re Une nuit trop Ă©clairĂ©e [En cours]Elhiya Ellis, le Mar 14 Juil - 1633 Saison 31 DĂ©but dâĂ©tĂ©En venant de lĂ Je lâavais pas gardĂ©e pour ça mais tant pis 0 06 Rattraper du temps. Comme sâil Ă©tait possible de rĂ©cupĂ©rer des grains de sable perdus pour les rĂ©injecter dans un sablier fĂȘlĂ©... Les mĂšches blondes avaient dodelinĂ© de droite et de gauche, fixant le vide, se contentant de ricaner dans leur coin⊠Stupide proposition⊠Stupide espoir... Comme si ce genre de chose Ă©tait possible⊠Le temps des promesses dâenfants Ă©tait fini, celui de la confiance absolue Ă©galement. Le temps des Ă©toiles et de leur caresse aussi. CâĂ©tait bien pour cela que tu les fixais de prunelles amĂšres dĂ©sireuse de les voir sâĂ©teindre. Tu savais pourtant que tu ne pouvais rien y faire, ta magie nâĂ©tait pas assez forte pour cela, mais celle de quelquâun lâĂ©tait-elle vraiment ? MĂȘme celle du maitre ne suffirait pasâŠ.0 58 Les phalanges blanchies sur le bois tu tâĂ©tais contentĂ©e dâessayer de faire quelque chose pour Ă©teindre le ciel, te moquant royalement de ce qui pouvait tomber Ă vos pieds pendant que tu jouais. Les bruits sourds au sol ne te perturbaient pas, tu sentais juste le poids mort rĂ©sonner sous tes pieds, tu sentais le masque sâamuser du parcours du nuage, Ă©tirant tes lĂšvres en un rictus lĂ©ger, chuchotant quâil reprenait la suite de la soirĂ©e, avec plaisir. Il avait Ă dire au professeur, il voulait jouer avec lui Ă nouveau..1 30 Il serait le frĂȘne plus fort, murmurait plus fort, ravivait la dĂ©lectation de ton geste guidĂ© par ses envies. Le souffle de ses pensĂ©es accaparait ton esprit. Pouffant Ă la proposition de lâenseignant qui ignorait combien tu Ă©tais dâaccord avec lui. Hochant juste dâun signe de tĂȘte Ă son offre. Dâaccord »1 47 Tu voulais bien, toi, te dĂ©fouler autrement quâen asphyxiant la faune nocturne. Tu voulais bien sortir de cette zone sĂ©cure oĂč rien ne pouvait se passer. Tu voulais bien laisser Ă 65 la possibilitĂ© de se balader librement. Tu voulais bien laisser les pulsions sâexprimer et se dĂ©velopper. Tu voulais bien cesser de prĂ©tendre et sourire faussement. Tu voulais bien, justement lĂącher ce qui semblait te consumer. Et tu proposes quoi ? » Interrogation vĂ©ritable alors que tu lĂąchais ton nuage dâombre, tournant brusquement la tĂȘte vers le brun qui se voulait trop doux. [color=lightpink] Quelque chose plus comme ça âŠ.? confringo »[/blur] dirigĂ© toujours vers les 21 Le sortilĂšge fusait plus haut, filant droit vers les Ă©toiles. Explosion soudaine plusieurs mĂštres au-dessus de vous. Une victime volatile de plus qui te faisais juste hausser les Ă©paules, moqueuse. Ah ouai bah non, yâa forcĂ©ment des intrus sur la route hein⊠» Simple constat pendant que tu secouais les bras pour dĂ©coller des plumes qui tâĂ©tais tombĂ©es dessus. Tu proposes quoi alors hein ? je suis sure que tu es plus pour du ⊠Aqua fullonum » balancĂ© en sa direction avec une moue semi mĂ©prisante semi provocante. De simples bulles de savons venant sâĂ©craser sur sa frimousse en de petit pops picotant Ă la limite les 47 Mutisme volontaire pour observer ses rĂ©actions. il avait toujours, Ă tes yeux, ses airs de petit garçon. Impossible de le voir autrement. Dommage, tu ne pourrais rĂ©ellement te dĂ©fouler. Re Une nuit trop Ă©clairĂ©e [En cours]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumL'univers d'Harry Potter est la propriĂ©tĂ© de la Warner Bros ainsi que de droits rĂ©servĂ©s sur ce site ©Copyright Bureau RPG.
abj1. 5i8svc3s9f.pages.dev/2665i8svc3s9f.pages.dev/2915i8svc3s9f.pages.dev/4695i8svc3s9f.pages.dev/155i8svc3s9f.pages.dev/2385i8svc3s9f.pages.dev/605i8svc3s9f.pages.dev/2565i8svc3s9f.pages.dev/357
phrase ironique pour se moquer de quelqu un